l autostopeuse perverse

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thierrydelille59800
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l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

Bonjour a tous
voiici une histoire avec une fin ouverte, Faites vous plaisir pour écrire la suite

Thierry était en voiture sur la route, il rentrait de dunkerque
Une jeune femme vêtue d’une jupe très courte en cuir noir faisait du stop elle ne partait ni bas ni collant laissant ses longues jambes nues elle portait également un chemisier très décolleté
Thierry s arrêta a sa hauteur et lui demanda « vous allez ou ? », vous réponds « je remonte sur Lille », il répondit « monte j’y vais aussi »
La jeune femme monta à l’avant
Sur la route ils firent connaissance la jeune femme s appelait Camile
Une fois arrivé presque a la sortie d’Armentières Camille fouilla dans son sac et sortit Un FLINGUE
Elle dit « tu vas prendre la prochaine sortie et suivre mes indications pour le trajet »
Thierry réponds en tremblant « ok mais me faite de mal je ferais ce que vous voudrez »
La jeune femme répondit« t as intérêt »
Elle guida Thierry sur des petits chemins et finalement nous arrivons à un endroit désert
« Arrête la voiture et gare toi sur le coté »
Thierry obéis
Elle fouilla dans son sac et sors une corde
« Met tes bras derrière ton dos «
Thierry obéis
Elle lui attacha solidement les mains dans le dos à hauteur des poignets
« Aie c’est serré »
« Ta gueule « « bon je vais te bâillonner maintenant »
Elle sortit un foulard et dit « ouvre la bouche et mors sur le foulard »
Thierry fis ce que Camille lui dit elle serra ensuite très fort le foulard derrière la tète
« Bon maintenant on va sortir de la voiture et marcher jusqu’ a une camionnette garé u peu plus loin, essaye pas de t’enfuir ou tu le regretteras «
Thierry obus et marcha en suivant tes indications
Une fois arrivé à la camionnette Camille ouvrit la portière arrière
« Monte et allonge par terre sur le ventre «
Thierry obéit à nouveau et vit dans la camionnette plusieurs rouleaux de corde et un gros rouleau de ruban adhésif noir
Camille s asseye sur lui attacha les bras au dessus et en dessous des coudes, serra très fort et pris son temps pour attacher Thierry en prenant soin de serrer chaque tour de corde et chaque nœud elle jubilait en faisant cela
Puis elle ordonna a Thierry « maintenant retourne toi sur le dos «
Thierry obéit il était terrorisé
Elle lui enleva ses chaussures, ses chaussettes et déboutonna son pantalon et lui ôta également
Puis elle lui attacha les jambes au niveau des chevilles en dessous et au dessus des genoux puis au niveau des cuisses vous serres si fort que la corde me brule la peau
« mmmfpmffmmffp » je fais derrière le bâillon
Elle regarda Thierry et dit « bon je vais devoir te bâillonner un peu mieux «
Elle passa sa main sous sa jupe et retira son string
« Je vais ôter le premier bâillon et tu vas gentiment ouvrir la bouche sans crier «
Thierry ouvrit la bouche une fois que Camille eut desserré le premier bâillon, et ne cria pas
Camille lui ‘enfonça le string roulé en boule dans la bouche lentement puis pis le rouleau d’adhésif noir et vous fais une quinzaine de tour autour de sa tète
Elle s allongea sur Thierry et lui dit « bon j’en ai pour trois de route environ, je n’ai pas de chloroforme pour t’endormir mais je te préviens que si j’entends le moindre son pendant le trajet, je m’arrête et t’assomme a coup de batte de base bal puis une fois arrivé chez moi ce sera 30 coup de cravache en plus, alors vous vas rester sage ? »
Thierry hocha la tète
Camille de mit au volant de la camionnette et démarre, Thierry ne fis pas le moindre son
Qu’allait il advenir de Thierry, ou camille allait elle l’emmener ? Pourquoi avait il été kidnappé ?
A vous d’écrire la suite

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MacWilly
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Re: l autostopeuse perverse

Message par MacWilly »


OK, le texte qui précède est une sorte de défi. Je relève le gant ! Peut-être apprécierez-vous la suite que je propose ? Peut-être ne plaira-t-elle pas à tout le monde ? Au moins elle n’enfreint aucun règlement ?



Thierry est solidement ligoté dans la camionnette. Il a tiré sur ses liens. Il est solidement attaché. La garce a bien serré les cordes et les nœuds. A force de tenter de se libérer les mains il a cependant réussi à desserrer un peu ses liens. Il est cependant toujours ligoté et bâillonné.
Thierry n’est pas rassuré. Il ne sait pas quel sort l’attend. La peste qui l’a enlevé ne lui réserve certainement pas un sort enviable.
Le voyage dure un temps incertain. Elle a utilisé la mystérieuse expression « trois de route ». Comprenne qui pourra.
Thierry a eu le temps d’élaborer un plan. Il s’est dit qu’il valait mieux prendre des risques plutôt que de subir passivement.

Finalement la camionnette arrive à sa destination.
Elle pénètre une propriété. Une sorte de jardin qui entoure une maison en pierres.
Thierry a calculé que la bougresse lui délierait ses jambes lorsqu’il devrait sortir de la camionnette. Son calcul se vérifie. Camille se laisse un instant distraire par les sous-vêtements de Thierry. Voici son occasion. Il lance ses jambes autour du cou de Camille, et d’un violent coup de reins il projette la tête de la drôlesse contre la paroi de la camionnette. Pour faire bonne mesure un vigoureux coup de genou dans le menton achève de l’envoyer au pays des songes.
OK, Thierry a gagné un répit. Il descend rapidement du véhicule. Il se trouve dans un jardin entouré de murs. Il y a des arbres et des buissons dans le jardin. La maison a l’air inoccupé.
Le cœur battant la chamade, il se dirige vers la maison. La base est construite en pierres de taille. Ces pierres sont rugueuses à souhait. Vite, énergiquement, il frotte la corde qui lui lie ses poignets contre une arête.
Bientôt la corde cède.
Maintenant au tour des cordes à ses coudes. Là : la portière de la camionnette. Le mécanisme de fermeture. Thierry se contorsionne pour y accrocher la corde autour de ses coudes. Il tire vivement. C’est douloureux. La corde lui brûle la peau sous ses manches. La corde glisse.
Ce n’est pas fini. La putain lui a mis une deuxième corde autour des coudes.
Thierry reprend son opération.
Il est libre.
Il retire son bâillon.
Ses bras le brûlent. Il relève ses manches : sa peau est griffée et égratignée sur toute une plage de ses bras.
Enfin, il est libre. Il mettra de l’antiseptique tout à l’heure.

D’abord reprendre une attitude décente. Il remet ses vêtements.
Il examine l’arme en se disant : « Curieux ! Un pistolet automatique de type Lüger ».

Une tache rouge décore le visage de Camille. Le sang a colorié le côté sur lequel elle est tombée.
Thierry dispose de cordes. Il se met en devoir de lui lier solidement ses mains. Devant elle. Il lui attache aussi ses chevilles. Il vaut mieux être prudent.
Il ouvre la porte du garage. Il avise le plafond. Il monte sur un escabeau pour fixer une corde au plafond. Il retourne dans la camionnette, saisit sa tortionnaire, la porte dans le garage. Il lui lie ses mains à la corde qui pend du plafond et tire. Ceci ranime Camille.

Camille se trouve maintenant sur la pointe des pieds, les mains tirées au-dessus de sa tête par la corde fixée au plafond.
Camille a un regard qui trahit sa douleur et qui montre sa colère.

Thierry : - Je reprends tes paroles : vous va rester sage.
Thierry lui retire sa jupe qui tombe sur les pieds de Camille.
Thierry : - Pas de collant, pas de bas donc pas féminité mais bestialité.
Thierry : - Quand tu as dit « allonge par terre » j’ai compris, tu ne parles pas bien le français. Alors je trop traduis. Je vais trop te donner du switch.

Là-dessus, Thierry se saisit d’une branche et se met à ‘frictionner’ vigoureusement les fesses de sa victime.
Lorsque les fesses ont viré au rouge vif, Thierry se moque :
- Comment disais-tu ? Quand tu t’es présentée ? Camile ? Au lieu de Camille ? Heureusement que tu n’as pas bégayé, sinon, cela faisait caca1000.

Thierry abandonne la suppliciée et se met à visiter la maison.

Dans le bureau il trouve plusieurs cartes bleues, appartenant à diverses personnes. Thierry comprend. Cette créature avait prévu de le battre, de l’humilier, jusqu’à ce qu’il lui révèle ses codes de cartes bancaires. Une fois détroussé, il aurait été libéré. Ce genre d’extorsion s’est déjà produit. Normalement, les victimes, honteuses du traitement subi, ne portent pas plainte, préférant digérer le préjudice, plutôt que de l’exposer en public et de revivre les humiliations subies.



Soudain Thierry se met à trembler. Il pâlit. Il se met à transpirer. Il a oublié quelque chose. Quelque chose de capital !
Il doit réagir. Vite ! Il se dirige vers Camille.
Il lui met ses mains à son cou. Il serre. Camille, empêchée de respirer, devient rouge.
Thierry relâche son étreinte. Il demande :
- Où ranges-tu tes papiers d’identité ?
Camille râle pour reprendre de l’air dans ses poumons. Elle répond :
- Le buffet, sous le porte-manteau.

Rapidement Thierry se rend à l’endroit indiqué. Il ne tarde pas à découvrir que Camille est née le 23 février 2007. Elle a donc 18 ans et quelques jours. Elle est majeure.
Thierry soupire de soulagement. Il se dirige vers le salon. Il se verse un généreux verre de whisky.
Il se souvient d’une discussion qu’il a eue avec son ami Andrew. Son ami lui avait demandé quel était le crime le plus abominable imaginable en France ?
Après réflexion, la réponse s’est imposée : un facho raciste de l’extrême droite qui égorge un gentil migrant sans papiers en criant ‘Vive la France’.
Pourtant, il existe un crime infiniment plus horrible. Andrew lui a parlé d’un procureur. Madater qu’il s’appelle. Il a des particularités curieuses : il est intraitable, intransigeant, il signe toujours à l’encre rouge. Ce procureur envoie en comparution immédiate, l’insupportable ultravilain qui lierait une fille qui n’aurait pas encore atteint sa majorité. La peine capitale est encore trop douce pour un tel hypercriminel. Disons que le mégabandit serait immédiatement extradé aux Etats-Unis où il serait exécuté par injection létale et par chaise électrique. Aucun appel n’est envisageable, compte tenu de la sentence !
Thierry prend une gorgée de whisky. Il n’a pas mis de lien à une fille mineure. Il l’a échappé belle. L’alerte a été chaude. Il n’a commis que des espiègleries ‘bon enfant’, selon les propres paroles du procureur.


Thierry est confortablement installé dans un fauteuil. Il apprécie le bon whisky, courtoisie de son hôte.
Il faut tout de même penser à rentrer. Bon, que faire de la perverse ?
Thierry réfléchit.
Ah ! Son ami Andrew lui avait parlé d’une histoire enfantine qu’il a lue dans un site internet. Ça s’appelait « une fête très cordiale » ou quelque chose de comme ça. Il va s’en inspirer.

Il décroche Camille du plafond. Il lui remet sa jupe. Il la tape (traduction : il la ligote étroitement avec du ruban adhésif). Il la bâillonne. Il la porte dans la camionnette. Il se dirige vers la place du village. La nuit est tombée. La place est déserte.
Thierry dépose son ‘paquet’ au milieu de la place.
Il se met en route pour rejoindre son automobile.

En conduisant, il se demande s’il n’a pas usé de violence abusive. Il se souvient d’une autre histoire que son ami Andrew lui avait racontée. Dans cette histoire, publiée dans un site internet, le ‘bon’ clouait le ‘méchant’ contre un mur. Le ‘méchant’ était mutilé puis le ‘bon’ utilisait un pistolet à clous pour tuer le ‘méchant’. Une histoire suave et bon enfant. La censure n’avait rien trouvé à redire.
Thierry pense que les nuits sont fraîches en cette saison. Il a été gentil. Il a utilisé du ruban adhésif, pas du tape qui se contracte spontanément comme dans ‘la fête très cordiale’. Il n’a pas mis en œuvre cette pointe de sadisme. Et puis, dans ‘la fête très cordiale’, ce sont deux filles qui sont abandonnées, la nuit, au milieu de la nature. En grands dangers (endroit désert, animaux sauvages, hypothermie). Thierry, lui, a abandonné sa ‘victime’ au milieu de la place du village. L’air frais va lui rafraîchir les fesses, elle n’a pas à craindre un animal sauvage et elle sera secourue au matin…

thierrydelille59800
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Re: l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

Bonne suite bravo
j aurais préféré subir d autres ligotage mais tu ecris tres bien
quelq un veut relever le defi pour une autre suite à mon histoire ou une suite a celle ci

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fredchl
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Re: l autostopeuse perverse

Message par fredchl »

Ces deux parties sont très interessantes et bien écrites. J'ai récupéré le texte et je m'amuserai à écrire une petite suite !

Parce que tout peut encore arriver à Thierry... Rien n'est impossible... :D

thierrydelille59800
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Re: l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

j ai uine suite en préparation
la vengeance est un plat qui se mange froid

thierrydelille59800
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Re: l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

et voila la suite
c'est aussi une fin ouverte donc a vous de jouer pour la suite


Cela faisait six mois que Thierry avait subi sa mésaventure avec Camille et il n y pensait plus
Camille en revanche elle n n’avait pas oublié l’humiliation que lui avait fait subir Thierry une fois qu’il s’était libéré et elle s’était juré qu’elle allait se venger. La vengeance est un plat qui se mange froid et moi j dore le manger glacé se disait elle. Thierry allait bientôt l apprendre à ses dépens
Ce que Thiery ignorait c’est que Camille avait pris le temps de consulter son adresse après l avoir ligoté et elle savait ou Thiery habitait ? Pendant 6 mois elle l’avait suivi, épiait dans l’ombre et elle connaissait la moindre de ses habitudes. Elle savait où et quand frapper
Elle avait chois un jeudi soir, Thierry allait faire du karaoké dans un bar et rentrai généralement vers ine heure du matin
Thierry ne prêta pas attention à la camionnette qui était garé en face de son immeuble. C’était pourtant le même véhicule dans l avait Camille l avait ligoté. Il recherchait son badge pour ouvrir la porte de son immeuble quand soudain un mouchoir lui couvrit la bouche et le nez
« SURPRISE »
Thierry reconnut la vois il essaya de se débattre mais l'attaque avait été trop soudaine et le chloroforme dont était imbibé le mouchoir avait déjà commencé à faire son effet il finit par perdre conscience
Camille l’entraina à l’intérieur de la camionnette, le déshabilla presque complètement. Elle ne lui laissa que son caleçon
Elle lui attacha les mains dans le dos au niveau des poignets et les chevilles avec des cordes très serrées. Elle rajouta aussi une paire de menottes aux poignets et aux chevilles qu’elle sera au maximum. Elle ouvrit la bouche de Thierry et lui enfonça une petite culotte a l’intérieur puis elle plaça un bâillon boule qu’elle serra derrière sa nuque au dernier cran. Elle recouvrit ensuite le bâillon boule de scotch noir type électricien en faisant une dizaine de tour autour de la tête de Thierry.
Elle ne rajouta pas d aitre lien, elle voulait que Thierry soit réveillé quand aller le ligoterait, elle voulait qu’il sente la corde mordre ses bras es ses cuisses.
Elle se mit au volant et prit la route
Au bort de deux heures Thierry commença à se réveiller, il gémit derrière son bâillon
Camille gara la camionnette et se dirigea vers Thierry, elle était vêtue d’un mini short en jean très court et très serrée ainsi que d’un chemisier dont elle avait laissé ouvert les deux premiers boutons dévoilant un soutien gorge rouge vif très sexy . Elle regarda Thierry et lui dit « et oui tu vois jambes au naturel comme tu me l as fait remarqué quand tu m as attaché, je suis bestial en effet et tu n imagine pas a quel point. Maintenant tu vas souffrir »
Elle retourna Thierry sans ménagement et l attacha de la même façon que la première fois mais cette fois ci elle prit son temps serrant chaque nœud petit à petit en se délectant du gémissement de Thierry. Elle retourna a nouveau Thierry sur le ventre et s’assit sur lui ; elle prit le mouchoir et versa du chloroforme dessus puis endormit a nouveau Thierry en lui ayant dit auparavant « je vais t emmener très loin cette fois ci donc il faut que tu dormes »
Quelques heures plus tard la camionnette s’arrêta devant une maison isolée et Camille donna un coup de klaxon
Elle ouvrit la porte de la camionnette
Entre temps une jeune femme aux très longs cheveux roux qui lui descendait jusqu’au bas du dos sortît de la maison et se dirigea vers la camionnette ; Thierry dormait encore il fut réveillé par une claque sur les fesses qui lui avait donné la jeune femme rousse. Thierry ouvrit les yeux et l’aperçu. Elle était vétue d’une mini jupe en cuir noir, ne portait ni bas ni collant et d’un bustier en cuir noir également très ouvert qui dévoilait une voluptueuse poitrine. Elle ne portait pas de soutien gorge
Elle se retourna vers Camile et dit
« C’est lui »
Camille hocha la tète
« Bien on l’emmène dans le salon »
Elle portèrent Thierry a l’intérieur de la maison puis l attachèrent sur une chais sans défaire les autres liens
La jeune fille se présenta à Thierry
« Bonjour Thierry je m appelle Katarina, je suis la sœur de Camille je vais enlever ton bâillon il est inutile de crier car la maison est complètement isolé et en plus elle est totalement insonorisé mais si tu le fais j’utiliserai ceci » elle lui montra un tasser
Thierry hocha la tète pour dire qu’il avait compris
Katarina ôta le bâillon et Thierry ne dit pas un mot
« Bien tu es obéissant maintenant tu vas me donner le code de ta carte bleue »
« Non » répondit Thierry
« Très bien alors on va te torturer »
Katarina se mit a califourchon, sur les genoux de Thierry puis lui attrapa la tète el plongea dans sa poitrine. Thierry eut l impression d’étouffer Katarina maintien la pression pendant une vingtaine de seconde puis laissa Thierry reprendre son souffle
Entre temps Camille était parti chercher un sac plastique elle arriva derrière Thierry et lui plaça le sac plastique sur la tète qu’elle serra violement
Tour a tour ils échangèrent le moyen d’étouffer Thierry c’était tantôt Katarina qui lui mettait la tète dans sa poitrine tantôt Camille elle alternait les deux méthodes d’étouffement
Thierry résista une heure et demie mais la fatigue eut raison de lui et il donna mes codes de sa carte
Katarina se retourna vers Camille
« il est plutôt mignon celui-ci j’ai envie de la garder »
Camile répondit « moi aussi mais mon nouveau donjon n’est pas encore prêt il y a encore une semaine de travaux donc je vais te laisser pour une semaine »
« Merci »
Bon je vais le rebailloner
Katarina alla chercher un bas qu’elle enfonça lentement dans la bouche de Thierry qui n’avait plus la force de résister ou de protester
Puis elles portèrent Thierry dans la chambre et rajoutèrent des cordes pour l’attacher au lit
Camille regarda sa sœur et lui dit « bon a dans une semaine amuse toi bien »
« Pas de soucis ca va être très amusant pour moi en revanche pour lui…. »
Les deux sœurs éclatèrent de rire laissant Thierry tremblant
Quel sort lui était réservé

A suivre

thierrydelille59800
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Re: l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

ben alors personne pour relever le defi d ecrire une suite ?

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MacWilly
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Re: l autostopeuse perverse

Message par MacWilly »

Pauvre Thierry. Le voici cruellement ligoté, bâillonné, impuissant. Bien sûr il a tenté de se libérer. Sans se faire d’illusions. D’abord ses liens sont rudement serrés, ensuite il est aussi attaché au lit. Même s’il se trouvait un objet tranchant dans la chambre, il ne pourrait pas l’atteindre.
Il ne peut qu’attendre de voir ce que ces perverses lui réservent.
Pour passer le temps il réfléchit à un plan qui lui permettrait de s’évader. Il ne connaît pas les lieux, il ne connaît pas les qualifications de Katarina, et surtout il est désespérément ligoté.
Une demi-heure plus tard, il n’a toujours pas élaboré l’ombre d’un plan.

La porte s’ouvre doucement. Une jeune fille entre silencieusement. Thierry ne la connaît pas. Elle mesure près d’1 mètre 80. Elle a des cheveux longs, châtain foncé. Ses yeux sont gris-bleus. Elle porte un pullover noir et une jupe courte en jean. La ceinture en cuir brun qui maintient la jupe porte aussi plusieurs petites sacoches en cuir sombre. Ses jambes sont gainées d’un collant brun chocolat. Elle est plutôt mignonne et sa corpulence est athlétique. Elle pratique certainement plusieurs sports.

Elle s’adresse à Thierry :
- Surtout ne faites aucun bruit !

Elle extrait deux petites tiges métalliques, à méplats, d’une de ses sacoches. Elle tripatouille les menottes avec ces tiges. Rapidement Thierry est libéré de ses menottes.
- mmmmhh ??
- Chut !

La fille sort maintenant un petit couteau suisse d’une des poches de sa jupe. Elle ne déplie pas la lame mais une pointe. A l’aide de cette pointe elle défait les nœuds des liens qui tombent l’un après l’autre.

Thierry est maintenant libre. La fille l’invite à le suivre, en murmurant :
- Il nous faut éviter de rencontrer les perverses. Privé de vos chaussures vous pouvez vous déplacer sans bruit.
Thierry remarque que l’inconnue est chaussée de mocassins en daim, à semelles caoutchoutées. Elle marche silencieusement.

Les deux personnes progressent silencieusement. La chance est avec elles. Elles ne sont pas repérées. Elles arrivent à une voiture.
L’inconnue invite Thierry à prendre place pendant qu’elle ouvre le coffre. Puis elle vient s’installer derrière le volant. Elle tend à Thierry une sorte de tablette de chocolat, entourée de papier doré. Thierry s’étonne :
- Du chocolat ?
- Je vois que votre humour est intact, monsieur Delille ! Il s’agit bien sûr d’une couverture de survie biface.

Thierry est en train de déplier la couverture. Il commence à se recouvrir.
La fille sourit : - Ne plaisantez pas ! Mettez la face argentée à l’extérieur, la face dorée contre vous.
La fille lui tend son téléphone portable :
- Tenez, faites opposition sur vos cartes de crédit. Ensuite je vous ramène chez vous, à moins que vous ne préfériez retourner sur vos pas pour aller régler vos comptes ? Mais je dois vous prévenir que si vous choisissez de confronter les perverses je ne vous viendrai pas en aide.

Après avoir un peu réfléchi, Thierry a estimé que sans vêtement décent, il n’était pas en posture d’affronter les deux perverses. Il explique :
- Ramenez-moi chez moi. Vous avez raison. Tenons-nous à distance des deux perverses. Elles sont dangereuses.
La fille démarre la voiture.
- Peuh ! D’une part je suis armée. D’autre part, même si je n’étais pas armée je serais parfaitement capable de neutraliser ces deux minables. Encore plus facilement qu’il semble que l’une d’elle est repartie.
- Je ne comprends pas ?
- C’est parce que je suis traquée. Je dois me montrer discrète, ne pas me montrer.

La voiture s’éloigne maintenant du repaire des perverses. Thierry commence à se détendre.
- Je ne vous ai pas encore remerciée d’être venue à mon aide. A ce propos, comment est-ce possible ?
- C’est simple. Mon ami, Andrew, est parti se consacrer à d’autres affaires. Avant de partir il m’avait chargée de vous suivre de temps à autre. C’est comme ça que j’ai découvert que les deux perverses préparaient leur revanche. Je n’ai pas agi car je ne pouvais pas les arrêter pour leurs intentions.
- Vous êtes de la police ?
- Détective privée.
- Andrew, c’est votre ami ?
- Un très bon collègue de travail avec qui je m’entends bien, rien de plus.

Thierry est soulagé d’être tiré d’affaire.
Mais quelque chose le turlupine. Cette fille est compétente. Elle n’a pas froid aux yeux. Elle a dit qu’elle est traquée ? Il doit savoir. Il lui demande :
- Vous avez dit que vous êtes traquée.
- Par le procureur Madater et le commissaire Fredzel.
- Le commissaire Bretzel ?
- Très drôle ! Mais il est vrai qu’il tortille la loi comme un bretzel ! Allez donc lui raconter vos malheurs. Vous avez été enlevé, torturé, ligoté, volé et vous alliez subir Dieu sait quels outrages. Fredzel vous dira qu’il a bien rigolé, que vous lui aurez raconté une belle histoire. Il n’y a même pas de quoi ouvrir une enquête pour ces broutilles insignifiantes.
- Bien sûr vous êtes traquée à tort, vous êtes innocente, n’est-ce pas ?
- Non, ça c’est dans les romans et dans les films. Les faits que ces autorités me reprochent sont réels.

Thierry est songeur. Sa curiosité l’emporte : - Je peux savoir ?
- Voilà : je suis complice de quelqu’un qui a, un jour, attaché une fille. La corde a égratigné les poignets de la fille. Elle en a perdu quelques gouttes de sang. Il s’agit d’un crime sanglant, extrêmement violent, impardonnable, inacceptable, révoltant.
Thierry a l’air confus : - Ceci me paraît injuste ?
- La vie est souvent injuste.


La voiture arrive devant le domicile de Thierry.
- Vous reverrai-je un jour ?
- C’est très improbable monsieur Delille, étant donné que je suis dans le collimateur des autorités. Je dois m’éclipser, m’éloigner, disparaître de la scène.
- Je ne connais même pas votre nom ?
- Néhalennia. Je suis Néhalennia.

Resté seul, Thierry se demande s’il n’a pas rêvé. Ou est-il encore en train de rêver ?


P.S.
Thierrrydelille59800 s’étonne dans son message précédent qu’il n’y a personne pour relever le défi d’écrire une suite.
Peut-être qu’un début d’explication se trouve dans le pamphlet qui précède ?

thierrydelille59800
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Re: l autostopeuse perverse

Message par thierrydelille59800 »

bonjour merci pour la suite
quelqu un va t il relever le defi pour une suite
les deeux perverses ne vont sans doute pas en rester la ?
ou thierry va t il chercher a se venger ?

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