la course ou la vie
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- caroline
- Fana de JdL
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- Inscription : 25 juil. 2013, 11:38
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : raconter et lire des histoires
les jeux, les liens serrés, - Ce que je déteste : l'obscénité, la vulgarité, la minoration de la femme
- Localisation : bretagne
Re: la course ou la vie
je vais écrire la suite..dès que je suis en forme...je sais pas quand , bientôt j'espère , elle commence à me trotter dans la tête dans mes insomnies 

Dernière modification par caroline le 23 mai 2014, 19:17, modifié 1 fois.
- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
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- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: la course ou la vie
Repose toi et porte toi bien ( et bien entendu là suite quand tu seras sur pied et que tu le voudras)
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
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- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : ligoter des jeunes filles mais le tout avec douceur
- Ce que je déteste : que cela dure trop longtemps
Re: la course ou la vie
Pas mal ton histoire Caroline continue, tu as un sacré talent ! 

- Sayanel
- Passionné(e) de JdL
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- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Utiliser les cordes comme une méditation, pour trouver une réponse , la femme idéale.
- Ce que je déteste : La vulgarité
Re: la course ou la vie
nous sommes tous haletant de connaitre la suite...
reviens vite Caroline

L'amour consiste à ouvrir des portes et des fenêtres, pas à bâtir des prisons.
Jylhano.kabook.fr
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- caroline
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Re: la course ou la vie
enfin..j'ai pu écrire une suite.
après?..c'est vous qui direz!
CHAPITRE 3
- Peut être jamais ?
Cette phrase résonne encore dans ma tête.
- Peut être jamais !
Maintenant je sais que ce n’était pas une boutade.
Ces mots disaient exactement ce qu’il projetait, et moi, pauvre gourdasse aveuglée par l’amour, assoiffée de jouissance, j'ai répondu :
«j’espère bien»,déclenchant chez lui un rire sarcastique.(là encore j'aurais dû être alertée.)
Je me mets à hurler comme si mes cris étouffés pouvaient effacer ma naïveté, ma connerie et ma colère.
Il me pince la cuisse « on se calme jeune fille ».
Je grogne de plus en plus en gigotant sur son épaule.
Il stoppe net, me dépose sans ménagement sur le bord herbeux du chemin et appuie un pied sur mes reins.
- Tu arrêtes ou je te laisse seule dans le bois ?
- An e boi, je baragouine derrière mon bâillon en le fusillant d’un regard révolver, ma seule arme, hélas dérisoire.
- Dans le bois, c’est ça que tu dis ?
Je hoche la tête avec insolence.
- Ok , puisque c’est ça que tu veux.
Pourquoi ai je dit ça ? Suis je complètement folle ?
Il fouille dans son sac à dos et en sort un rouleau de corde qu’il jette sur ma tête.
Cette odeur de corde !
Comment ai je pu aimer être attachée ?
Comment ai je pu trouver ces jeux délicieusement excitants et valorisants?
Je me rappelle encore cette 1ère fois quand il m’a jetée sur le lit après avoir ligoté mes poignets.
Et mes frissons en rebondissant sur le matelas et en me retournant sur le dos, les yeux bandés, les bras coincés, la jupe relevée, les cuisses écartées !
Je me croyais le centre du monde, la princesse de sa vie.
- Onnnn nnoon..aaarrgghh onnn ...! je gueule après moi de honte et de rage.
- Tu vois comment tu es, dit il accroupi près de moi avec un ton paternel exaspérant, tu ne sais jamais ce que tu veux. Je suis obligé de décider pour toi.
Il tapote ma joue et caresse mes cheveux comme si j’étais une petite chienne.
- Laisse toi faire ! il noue la corde autour de mon cou (Oh non! Angoisse!) et la tire vers lui par petites secousses qui la serrent étroitement.
- Allez debout !
A demi étranglée, je réussis péniblement à obéir à la traction de la laisse.
Il s’enfonce dans le bois sans se retourner, me traînant à travers une végétation noire et hostile qui griffe mon corps et pique mes pieds.
Il s’arrête.
- Voilà ! Ca me semble bien ici tu ne trouves pas ?
rrhhrarrgghh, ! cet air satisfait que je hais !
Une petite clairière éclairée par la lune et les étoiles avec un grand arbre au milieu.
Pour cacher ma détresse je me contente de hausser les épaules genre « je m’en fous »
- C’est là que tu vas dormir..ou essayer de le faire ma chérie. Il ricane.
- Euk.. ! je lève un doigt dans mon dos.
Une tension brève et brutale de mon collier de corde me projette en avant sur le sol.
- Tu es maso ou tu es stupide ?
Va te faire voir !
Stupide ? Oui Je l’ai été quand je t’ai fait confiance.
Maso ? Non je n’aime pas souffrir mais je ne te supplierai plus !
Mon doigt tendu à nouveau vers lui résume mes pensées.
Il empoigne mes cheveux et mon t-shirt pour me jeter sous l’arbre comme un sac de patates.
A plat ventre sur le sol, j’essaye de vider ma tête, de m’évader.
Je mords une nouvelle fois le chiffon sale aussi fort que je peux.
Son odeur et son goût ne m’écoeurent même plus.
Oublier les douleurs, oublier les liens!
Ne plus avoir peur ! Ne plus me plaindre! Ne plus lui donner ces plaisirs !
Résiste ! la la la la la la..Résiste !
Je ne sais plus qui est la chanteuse, mais ce refrain tourne en boucle dans ma tête.
Résiste Caro !
Ses mains tripotent la corde qui attache mes poignets.
Je me prépare à être attachée comme une cochonne .
Il appelle ça « hogtie ». Mais c’est lui le sale porc !
Au lieu de cela, mes bras s’élèvent lentement vers le ciel, tirés par une force invisible qui décolle mon buste du sol. …« aiiiie.. » je gémis quand ils sont presque à la verticale, tirant douloureusement mes épaules en arrière.
- Tu as mal? me souffle t ‘il doucement dans l’oreille. Tu devrais t’agenouiller avant que je t’attache les chevilles. Après ce sera plus dur pour toi et je veux t’épargner des souffrances. Tu veux que je t’aide ?
Et je dois te dire merci aussi ? Connard !
Jamais je n’ai été attachée comme ça.
S’il m’attache les pieds, je vais rester comme ça, couchée sur le ventre, mes bras tirés en l’air, les épaules décollées.
Je n’arriverai pas à me relever et j’aurai mal,très mal…j’ai déjà mal !
Merde, je suis fichue !
En plus c’est moi qui lui ai dit que je voulais rester dans le bois !
Je suis encore manipulée, culpabilisée !
Résiste Caro ! Résiste ! Ce n’est pas de ta faute !
Je retiens mes pleurs et mes cris.
Je ferme les yeux.
Je fuis dans ma tête, refusant de coopérer.
Je suis sa chose, son objet.
Il ne m’a jamais aimée.
Il voulait juste me posséder.
Il me jettera à la poubelle quand je ne l’amuserai plus,
quand je ne lui plairai plus.
C’est un psychopathe et je suis tombée dans son piège.
Et il se prend pour un philosophe, pire pour un poète !
Ah Ah Ah ! Morte de rire !
Quelle prétention !
Je le méprise.
Mes chevilles sont jointes et liées par plusieurs tours de corde autour et entre elles avec des noeuds serrés et intouchables.
Il s’assied sur mes fesses, saisit une poignée de cheveux de chaque côté de ma tête et tire dessus comme si c’était des rênes en poussant des cris stupides en cadence avec les va et vient de son corps.
Tu crois me posséder parce que me chevauches comme une jument?
Un autre fuck le doigt levé.
Ca t’énerve une chose, un objet qui résiste, pas vrai ?
Tu n’auras pas ma soumission !
Mes souffrances c’est sûr.
Mon corps sans doute.
Ma mort peut être,
Mais plus jamais mon esprit.
Plus jamais mon cœur !
Résiste !…Caro….Résiste. !
Je fredonne à travers mon bâillon.
Ses mains palpent mes seins.
Ses doigts tournent autour de mes pointes.
Et dire que j’ai adoré ça !
Il me bande les yeux.
- Comme ça tu auras moins peur des monstres de la forêt quand ils viendront te contempler....et pire ! dit il rieur en se relevant après m’avoir mordillé le cou.
Et il se croit drôle ce con !
Mon collier de corde s’élève lentement (sans doute par dessus une branche ) en m’étranglant progressivement.
Mon corps glisse sur le sol avant de s'élever dans les airs.
Un noeud coulant? Il ne va pas me pendre ! Sinon il ne m’aurait pas attachée comme ça !
Mes doigts se cramponnent désespérément à la corde qui tire mes bras vers le haut mais celle- ci devient molle et je perds leur soutien, suspendue par le cou, secouée de soubresauts.
Je ne peux plus respirer. Ma nuque va se briser.
Son rire démoniaque pousse le brouillard noir qui envahit mon crâne .
Des éclairs brûlants où défilent des visages amis transpersent l'obscurité .
Le film de ma vie en quelques fractions de secondes....
Rideau!
Plus de son , plus d'image.
Tout s'éteint d'un coup.
Tout se tait d'un coup.
à suivre?
après?..c'est vous qui direz!
CHAPITRE 3
- Peut être jamais ?
Cette phrase résonne encore dans ma tête.
- Peut être jamais !
Maintenant je sais que ce n’était pas une boutade.
Ces mots disaient exactement ce qu’il projetait, et moi, pauvre gourdasse aveuglée par l’amour, assoiffée de jouissance, j'ai répondu :
«j’espère bien»,déclenchant chez lui un rire sarcastique.(là encore j'aurais dû être alertée.)
Je me mets à hurler comme si mes cris étouffés pouvaient effacer ma naïveté, ma connerie et ma colère.
Il me pince la cuisse « on se calme jeune fille ».
Je grogne de plus en plus en gigotant sur son épaule.
Il stoppe net, me dépose sans ménagement sur le bord herbeux du chemin et appuie un pied sur mes reins.
- Tu arrêtes ou je te laisse seule dans le bois ?
- An e boi, je baragouine derrière mon bâillon en le fusillant d’un regard révolver, ma seule arme, hélas dérisoire.
- Dans le bois, c’est ça que tu dis ?
Je hoche la tête avec insolence.
- Ok , puisque c’est ça que tu veux.
Pourquoi ai je dit ça ? Suis je complètement folle ?
Il fouille dans son sac à dos et en sort un rouleau de corde qu’il jette sur ma tête.
Cette odeur de corde !
Comment ai je pu aimer être attachée ?
Comment ai je pu trouver ces jeux délicieusement excitants et valorisants?
Je me rappelle encore cette 1ère fois quand il m’a jetée sur le lit après avoir ligoté mes poignets.
Et mes frissons en rebondissant sur le matelas et en me retournant sur le dos, les yeux bandés, les bras coincés, la jupe relevée, les cuisses écartées !
Je me croyais le centre du monde, la princesse de sa vie.
- Onnnn nnoon..aaarrgghh onnn ...! je gueule après moi de honte et de rage.
- Tu vois comment tu es, dit il accroupi près de moi avec un ton paternel exaspérant, tu ne sais jamais ce que tu veux. Je suis obligé de décider pour toi.
Il tapote ma joue et caresse mes cheveux comme si j’étais une petite chienne.
- Laisse toi faire ! il noue la corde autour de mon cou (Oh non! Angoisse!) et la tire vers lui par petites secousses qui la serrent étroitement.
- Allez debout !
A demi étranglée, je réussis péniblement à obéir à la traction de la laisse.
Il s’enfonce dans le bois sans se retourner, me traînant à travers une végétation noire et hostile qui griffe mon corps et pique mes pieds.
Il s’arrête.
- Voilà ! Ca me semble bien ici tu ne trouves pas ?
rrhhrarrgghh, ! cet air satisfait que je hais !
Une petite clairière éclairée par la lune et les étoiles avec un grand arbre au milieu.
Pour cacher ma détresse je me contente de hausser les épaules genre « je m’en fous »
- C’est là que tu vas dormir..ou essayer de le faire ma chérie. Il ricane.
- Euk.. ! je lève un doigt dans mon dos.
Une tension brève et brutale de mon collier de corde me projette en avant sur le sol.
- Tu es maso ou tu es stupide ?
Va te faire voir !
Stupide ? Oui Je l’ai été quand je t’ai fait confiance.
Maso ? Non je n’aime pas souffrir mais je ne te supplierai plus !
Mon doigt tendu à nouveau vers lui résume mes pensées.
Il empoigne mes cheveux et mon t-shirt pour me jeter sous l’arbre comme un sac de patates.
A plat ventre sur le sol, j’essaye de vider ma tête, de m’évader.
Je mords une nouvelle fois le chiffon sale aussi fort que je peux.
Son odeur et son goût ne m’écoeurent même plus.
Oublier les douleurs, oublier les liens!
Ne plus avoir peur ! Ne plus me plaindre! Ne plus lui donner ces plaisirs !
Résiste ! la la la la la la..Résiste !
Je ne sais plus qui est la chanteuse, mais ce refrain tourne en boucle dans ma tête.
Résiste Caro !
Ses mains tripotent la corde qui attache mes poignets.
Je me prépare à être attachée comme une cochonne .
Il appelle ça « hogtie ». Mais c’est lui le sale porc !
Au lieu de cela, mes bras s’élèvent lentement vers le ciel, tirés par une force invisible qui décolle mon buste du sol. …« aiiiie.. » je gémis quand ils sont presque à la verticale, tirant douloureusement mes épaules en arrière.
- Tu as mal? me souffle t ‘il doucement dans l’oreille. Tu devrais t’agenouiller avant que je t’attache les chevilles. Après ce sera plus dur pour toi et je veux t’épargner des souffrances. Tu veux que je t’aide ?
Et je dois te dire merci aussi ? Connard !
Jamais je n’ai été attachée comme ça.
S’il m’attache les pieds, je vais rester comme ça, couchée sur le ventre, mes bras tirés en l’air, les épaules décollées.
Je n’arriverai pas à me relever et j’aurai mal,très mal…j’ai déjà mal !
Merde, je suis fichue !
En plus c’est moi qui lui ai dit que je voulais rester dans le bois !
Je suis encore manipulée, culpabilisée !
Résiste Caro ! Résiste ! Ce n’est pas de ta faute !
Je retiens mes pleurs et mes cris.
Je ferme les yeux.
Je fuis dans ma tête, refusant de coopérer.
Je suis sa chose, son objet.
Il ne m’a jamais aimée.
Il voulait juste me posséder.
Il me jettera à la poubelle quand je ne l’amuserai plus,
quand je ne lui plairai plus.
C’est un psychopathe et je suis tombée dans son piège.
Et il se prend pour un philosophe, pire pour un poète !
Ah Ah Ah ! Morte de rire !
Quelle prétention !
Je le méprise.
Mes chevilles sont jointes et liées par plusieurs tours de corde autour et entre elles avec des noeuds serrés et intouchables.
Il s’assied sur mes fesses, saisit une poignée de cheveux de chaque côté de ma tête et tire dessus comme si c’était des rênes en poussant des cris stupides en cadence avec les va et vient de son corps.
Tu crois me posséder parce que me chevauches comme une jument?
Un autre fuck le doigt levé.
Ca t’énerve une chose, un objet qui résiste, pas vrai ?
Tu n’auras pas ma soumission !
Mes souffrances c’est sûr.
Mon corps sans doute.
Ma mort peut être,
Mais plus jamais mon esprit.
Plus jamais mon cœur !
Résiste !…Caro….Résiste. !
Je fredonne à travers mon bâillon.
Ses mains palpent mes seins.
Ses doigts tournent autour de mes pointes.
Et dire que j’ai adoré ça !
Il me bande les yeux.
- Comme ça tu auras moins peur des monstres de la forêt quand ils viendront te contempler....et pire ! dit il rieur en se relevant après m’avoir mordillé le cou.
Et il se croit drôle ce con !
Mon collier de corde s’élève lentement (sans doute par dessus une branche ) en m’étranglant progressivement.
Mon corps glisse sur le sol avant de s'élever dans les airs.
Un noeud coulant? Il ne va pas me pendre ! Sinon il ne m’aurait pas attachée comme ça !
Mes doigts se cramponnent désespérément à la corde qui tire mes bras vers le haut mais celle- ci devient molle et je perds leur soutien, suspendue par le cou, secouée de soubresauts.
Je ne peux plus respirer. Ma nuque va se briser.
Son rire démoniaque pousse le brouillard noir qui envahit mon crâne .
Des éclairs brûlants où défilent des visages amis transpersent l'obscurité .
Le film de ma vie en quelques fractions de secondes....
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Plus de son , plus d'image.
Tout s'éteint d'un coup.
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- Mad Hatter
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Re: la course ou la vie


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- caroline
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- Localisation : bretagne
Re: la course ou la vie
merci de ton post Mad
cette histoire est la réaction d'une fille contre les "maitres-dominateurs" qui font de la femme un objet qu'ils manipulent pour leur jouissance exclusive sans se soucier de ce qu'elle peut vivre.
j'ai voulu rentrer dans la peau d'une victime , dire ce qu'elle ressent, ses débats internes ...
elle ne veut plus rentrer dans ce jeu pervers...
y arrivera t'elle?
je ne sais pas encore ce qu'il va se passer, seul le psychopathe le sait .
vous avez des idées là dessus?
je continue?
euh..bah oui....Mad Hatter a écrit : les dernières lignes me font froid dans le dos

cette histoire est la réaction d'une fille contre les "maitres-dominateurs" qui font de la femme un objet qu'ils manipulent pour leur jouissance exclusive sans se soucier de ce qu'elle peut vivre.
j'ai voulu rentrer dans la peau d'une victime , dire ce qu'elle ressent, ses débats internes ...
ce n'est pas vraiment un ravisseur car la fille s'est livrée à lui et elle s'en veut d'avoir été si conne et si naïve , mais le manipulateur a été très fort.Mad Hatter a écrit : le ravisseur à des idées vraiment inquiétantes en tête... quel suplice a t-il en tête
elle ne veut plus rentrer dans ce jeu pervers...
y arrivera t'elle?
je ne sais pas encore ce qu'il va se passer, seul le psychopathe le sait .
vous avez des idées là dessus?
je continue?
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Re: la course ou la vie
Bien sûr! Maintenant que l' affaire est bien engagée on aimerait bien connaître la suite! En tout cas tu ferais une bonne romancière! 
