Re: le tournage d'Alisson
Publié : 21 févr. 2015, 12:29
je cours derrière alias...
Chapitre 6
- Reviens là 2 secondes !
Il parle à l’impératif maintenant. Il est sur la bonne voie.
Mais il a l’air gêné. Tout juste si il ne s’excuse pas.
J’obéis, soulagée qu’il prenne la direction des opérations. Debout devant lui, j’attends passivement ses décisions.
Neuf heures et quinze minutes.
Il sort du sac la paire de menottes à deux maillons. Enfin ! Je reprends espoir. J’entends à peine ce qu’il dit. Il veut avoir mon engagement ?
« On est d’accord ? » J’hallucine…
Bah non. Je suis juste venue prendre un café. Je passais par là. J’ai vu de la lumière. Et c’est pour boire un café que j’avais ce sac et son contenu.
Je me borne à hocher la tête pour ne pas exploser.
-Je veux entendre une réponse. Va falloir que tu parles un peu parce que sinon la journée va être longue. Pour tous les deux.
Genre corvée ennuyeuse ?...Super!.. Il veut qu’on tchatte ?
- Est-ce qu'on est d'accord?...
Reste cool Ali. Sois positive. Laisse le prendre ses marques.
- Oui…( Je ne peux pas en dire plus)
- Tends moi tes mains.
Je m’empresse de lui obéir et détourne la tête pour cacher mon trouble et mon impatience. Trop excitée.
Je savoure le cliquetis et la pression progressive des bracelets sur mes poignets. Moins serrés que dans la réserve, mais cette fois je n’ai pas de clé.
Je suis à sa merci.
Embarrassée. Je ne sais pas où mettre mes mains que je laisse finalement retomber sur ma jupe. Gêne. Honte.
Enflammée. Son regard brûle mon corps. Je le sens remonter sous ma jupe et sous mon chemisier. Frissons. Chaleurs.
- Je retourne faire la vaisselle ou tu veux continuer à me reluquer? (Je l’ai provoqué sciemment. Limite insolente.)
Mister Lux, je suis ta prisonnière. Ne me laisse pas faire. Lâche toi. Regarde moi. Mate moi. J’adore.
- Vas-y, je vais me doucher. Mais fais attention au ton que tu prends quand tu t'adresses à moi. Après tout, je suis ton supérieur pour la journée.
Il est encore hésitant, se sent obligé de se justifier.
« Après tout, je suis ton supérieur…». On dirait un gentil papa qui parle à sa petite fille « Après tout je suis ton père… »
Ne parle pas. Agis !
Je continue ma provoc’ « Compris chef ! » en le saluant comme une militaire, les mains menottées près de mon front.
Je garde la pose pour mettre en valeur mon corps cambré et mes poignets enchainés, consciente de l’éclat rieur-moqueur de mes yeux.
Pourvu que la douche le réveille.
Neuf heures et trente minutes.
Les tasses sont lavées, essuyées, rangées. La douche se prolonge. Il ne se presse pas. Grrrrrr…Et moi alors ?
Je refais le tour du living. Curieuse. Fouilleuse.
Ses livres (Eh Eh! « Cinquante nuances de Grey » au milieu de livres plus classiques ), ses DVD, ses CD, ses BD..
Je kiffe son loft. Il a bon goût. La classe, Mister Lux !
Ca bouge là haut. Il a fini de se doucher. Vite, je m’assieds dans le fauteuil club. Pas facile de vérifier ma queue de cheval avec mes menottes. Tant pis. Je soigne ma posture. Les jambes croisées, les mains sur les genoux. J’attends. La pression monte.
- Que me réserve t’il ? Ai je été imprudente ? Et si c’était un pervers ?
- Non T’inquiète Ali....Il est trop gentil. Et tu verras bien. En plus c’est un peu tard non ?
- Il devrait avoir hâte de s’occuper de moi. Il perd du temps.
- Ne sois pas orgueilleuse Ali…Et 24 heures, c’est long !
Des bruits de porte et de pas dans la mezzanine. Il sourit, appuyé sur la rambarde. Je me lève aussitôt. Le moment de vérité . Tu vas savoir.
Il descend lentement l’escalier, les yeux fixés sur moi, semblant se régaler d’avance.
Le loup évalue sa proie et se lèche les babines ? Mister Lux ou Mister Loup ?
- Mieux réveillé ? Je le défie pour me rassurer.
Je me sens très mal quand il enlève mes menottes sans un mot, sans un regard. Figée, liquéfiée, désolée, envie de me gifler.
Trop conne Alissonne ! Une ancienne invective qui me mettait en rage remonte dans ma tête. Mais cette fois, c’est moi qui me la lance et qui la mérite. Il en a marre de moi. Soit tu te moques, soit tu te tais. Alissonne tu déconnes!
- Tourne toi ! Waouh ! Son ordre inattendu est une délivrance. Je comprends tout de suite ce qu’il veut faire et pivote à toute vitesse.
Dire que j’étais prête à m’excuser, à le supplier. Je tends mes poignets en arrière en retenant mon envie de crier ma joie.
Heureusement qu’il ne me voit pas.
-Chaque fois que tu te moqueras, je serrerais un cran de plus. Compris?
Je réalise que les menottes sont plus serrées. Tant mieux. Je me tourne vers lui, prête à tout accepter, impatiente et presque euphorique.
-Compris. Qu'est-ce qu'on fait maintenant?
-Maintenant, je vais t'attacher à la rampe de l'escalier. Je dois préparer deux trois choses, et je ne veux pas que tu te ballades tranquillement chez moi quand je n'y suis pas.
-Et pourquoi je ne viens pas avec toi?
-Parce que je l'ai décidé.
Déçue, intriguée, impuissante, je suis poussée en arrière et enchainée à la rampe de l’escalier. Il prend vraiment les commandes.
C’est la première fois qu’il est aussi directif.
-Si tu t'ennuies, tu peux monter et descendre les marches pendant mon absence. Ca te fera faire du sport.
Et en plus, il se moque de moi.
- Ahaha. Très drôle. Qu'est-ce que je rigole!
Non seulement ma réplique ironique ne le touche pas mais elle déclenche un cran de serrage supplémentaire de mes bracelets.
Je grogne, me tortille pour trouver une position confortable, boudeuse.
- Faut savoir ce que tu veux Ali. Quand il est timide, tu n’es pas contente. Quand il est ferme, tu es vexée et tu râles. Rappelle toi que c’est toi qui a voulu tout ça.
- Ce n’est pas une raison pour me laisser là et se foutre de moi. Je ne sais même pas pour combien de temps.
- Sois sage ! Son murmure tranquille à mon oreille met fin à mon dialogue interne et à mes états d’âme.
Hum il sent bon. Quelle est son eau de toilette ? Et il a bonne haleine.
Je me sens très fille. Je le sens très mec.
Séduite ? Attention Ali, ne succombe pas. Ne le charme pas.
Neuf heures et quarante minutes.
Il prend son manteau et quitte le loft après un dernier clin d’œil.
Je me retrouve seule, un peu désemparée.
Ok. Tu es menottée. C'est bien ce que tu voulais ?.. Ouep..Mais pas que...Tu voulais aussi qu’on te regarde et plus... pas vrai?
Je me tords le cou pour regarder derrière moi et évaluer ma situation.
Je teste le bracelet fixé sur la rampe. Aucune chance de l’enlever.
Les menottes irritent ma peau à chaque mouvement. Je vais être marquée c’est sûr.
Qu’est ce que je peux faire ?
M’asseoir ? C’est impossible. Je ne suis pas en caoutchouc. Souple Ok, mais pas à ce point. Je ne peux même pas m’agenouiller. Quand je me tiens droite, adossée à la rambarde, la menotte de fixation est tendue au maximum. Si je veux avoir un peu de mou, je dois lever mes bras en arrière.
Monter et descendre ? Ok. C’est parti pour la montée à reculons et en crabe dans un bruit de chaine et de métal raclant sur le bois.
Merde ça bloque. Mister Lux s’est moqué de moi. Je me retords le cou. Toutes les trois marches, un barreau métallique vertical fixe la rampe sur la rambarde et arrête le bracelet. Ma liberté de déplacement est très limitée. De toutes façons ça ne m’aurait pas apporté grand chose.
Patienter ? C’est tout ce qu’il me reste. Pas facile sans avoir la moindre idée du temps d’attente. Donc je fais ce que je sais faire….Je rêve…
Je me fais du cinéma... La star qui entre dans le loft … Mister Lux qui devient méchant et pervers…ou doux et caressant .…Moi vendue aux enchères …
Mes rêves me droguent..…Une douleur aigue dans mes poignets et mes bras me réveille à temps. J’étais en train de tomber.
J’ai peur…Et s’il avait un accident ?...Je tremble .…Ali Calme toi.
Ca fait longtemps que je suis seule. J’ai mal partout. J’essaye de détendre mes jambes, mes bras et mon cerveau en faisant des exercices.
Dix heures et quarante minutes.
Un bruit de serrure. La porte s’ouvre.
Il revient. Je revis.
Ali. Ne te plains surtout pas .Ne lui montre pas tes peurs. Souris. Sois rebelle.
- Enfin! J'ai cru que j'allais mourir d'ennui.
- huummm… Je grimace. Il ne peut pas serrer davantage. Les bracelets ne coulissent plus. C’est comme dans la réserve.
Quand il me libère de la rampe, je me demande ce qu’il est allé faire et ce qu’il a préparé.
Il n’a rien ramené. Il est seul. J’ai beau chercher, je ne trouve pas pas.
Je l’interroge du regard.
je suis encore loin du tournage d'alias..
Chapitre 6
- Reviens là 2 secondes !
Il parle à l’impératif maintenant. Il est sur la bonne voie.
Mais il a l’air gêné. Tout juste si il ne s’excuse pas.
J’obéis, soulagée qu’il prenne la direction des opérations. Debout devant lui, j’attends passivement ses décisions.
Neuf heures et quinze minutes.
Il sort du sac la paire de menottes à deux maillons. Enfin ! Je reprends espoir. J’entends à peine ce qu’il dit. Il veut avoir mon engagement ?
« On est d’accord ? » J’hallucine…
Bah non. Je suis juste venue prendre un café. Je passais par là. J’ai vu de la lumière. Et c’est pour boire un café que j’avais ce sac et son contenu.
Je me borne à hocher la tête pour ne pas exploser.
-Je veux entendre une réponse. Va falloir que tu parles un peu parce que sinon la journée va être longue. Pour tous les deux.
Genre corvée ennuyeuse ?...Super!.. Il veut qu’on tchatte ?
- Est-ce qu'on est d'accord?...
Reste cool Ali. Sois positive. Laisse le prendre ses marques.
- Oui…( Je ne peux pas en dire plus)
- Tends moi tes mains.
Je m’empresse de lui obéir et détourne la tête pour cacher mon trouble et mon impatience. Trop excitée.
Je savoure le cliquetis et la pression progressive des bracelets sur mes poignets. Moins serrés que dans la réserve, mais cette fois je n’ai pas de clé.
Je suis à sa merci.
Embarrassée. Je ne sais pas où mettre mes mains que je laisse finalement retomber sur ma jupe. Gêne. Honte.
Enflammée. Son regard brûle mon corps. Je le sens remonter sous ma jupe et sous mon chemisier. Frissons. Chaleurs.
- Je retourne faire la vaisselle ou tu veux continuer à me reluquer? (Je l’ai provoqué sciemment. Limite insolente.)
Mister Lux, je suis ta prisonnière. Ne me laisse pas faire. Lâche toi. Regarde moi. Mate moi. J’adore.
- Vas-y, je vais me doucher. Mais fais attention au ton que tu prends quand tu t'adresses à moi. Après tout, je suis ton supérieur pour la journée.
Il est encore hésitant, se sent obligé de se justifier.
« Après tout, je suis ton supérieur…». On dirait un gentil papa qui parle à sa petite fille « Après tout je suis ton père… »
Ne parle pas. Agis !
Je continue ma provoc’ « Compris chef ! » en le saluant comme une militaire, les mains menottées près de mon front.
Je garde la pose pour mettre en valeur mon corps cambré et mes poignets enchainés, consciente de l’éclat rieur-moqueur de mes yeux.
Pourvu que la douche le réveille.
Neuf heures et trente minutes.
Les tasses sont lavées, essuyées, rangées. La douche se prolonge. Il ne se presse pas. Grrrrrr…Et moi alors ?
Je refais le tour du living. Curieuse. Fouilleuse.
Ses livres (Eh Eh! « Cinquante nuances de Grey » au milieu de livres plus classiques ), ses DVD, ses CD, ses BD..
Je kiffe son loft. Il a bon goût. La classe, Mister Lux !
Ca bouge là haut. Il a fini de se doucher. Vite, je m’assieds dans le fauteuil club. Pas facile de vérifier ma queue de cheval avec mes menottes. Tant pis. Je soigne ma posture. Les jambes croisées, les mains sur les genoux. J’attends. La pression monte.
- Que me réserve t’il ? Ai je été imprudente ? Et si c’était un pervers ?
- Non T’inquiète Ali....Il est trop gentil. Et tu verras bien. En plus c’est un peu tard non ?
- Il devrait avoir hâte de s’occuper de moi. Il perd du temps.
- Ne sois pas orgueilleuse Ali…Et 24 heures, c’est long !
Des bruits de porte et de pas dans la mezzanine. Il sourit, appuyé sur la rambarde. Je me lève aussitôt. Le moment de vérité . Tu vas savoir.
Il descend lentement l’escalier, les yeux fixés sur moi, semblant se régaler d’avance.
Le loup évalue sa proie et se lèche les babines ? Mister Lux ou Mister Loup ?
- Mieux réveillé ? Je le défie pour me rassurer.
Je me sens très mal quand il enlève mes menottes sans un mot, sans un regard. Figée, liquéfiée, désolée, envie de me gifler.
Trop conne Alissonne ! Une ancienne invective qui me mettait en rage remonte dans ma tête. Mais cette fois, c’est moi qui me la lance et qui la mérite. Il en a marre de moi. Soit tu te moques, soit tu te tais. Alissonne tu déconnes!
- Tourne toi ! Waouh ! Son ordre inattendu est une délivrance. Je comprends tout de suite ce qu’il veut faire et pivote à toute vitesse.
Dire que j’étais prête à m’excuser, à le supplier. Je tends mes poignets en arrière en retenant mon envie de crier ma joie.
Heureusement qu’il ne me voit pas.
-Chaque fois que tu te moqueras, je serrerais un cran de plus. Compris?
Je réalise que les menottes sont plus serrées. Tant mieux. Je me tourne vers lui, prête à tout accepter, impatiente et presque euphorique.
-Compris. Qu'est-ce qu'on fait maintenant?
-Maintenant, je vais t'attacher à la rampe de l'escalier. Je dois préparer deux trois choses, et je ne veux pas que tu te ballades tranquillement chez moi quand je n'y suis pas.
-Et pourquoi je ne viens pas avec toi?
-Parce que je l'ai décidé.
Déçue, intriguée, impuissante, je suis poussée en arrière et enchainée à la rampe de l’escalier. Il prend vraiment les commandes.
C’est la première fois qu’il est aussi directif.
-Si tu t'ennuies, tu peux monter et descendre les marches pendant mon absence. Ca te fera faire du sport.
Et en plus, il se moque de moi.
- Ahaha. Très drôle. Qu'est-ce que je rigole!
Non seulement ma réplique ironique ne le touche pas mais elle déclenche un cran de serrage supplémentaire de mes bracelets.
Je grogne, me tortille pour trouver une position confortable, boudeuse.
- Faut savoir ce que tu veux Ali. Quand il est timide, tu n’es pas contente. Quand il est ferme, tu es vexée et tu râles. Rappelle toi que c’est toi qui a voulu tout ça.
- Ce n’est pas une raison pour me laisser là et se foutre de moi. Je ne sais même pas pour combien de temps.
- Sois sage ! Son murmure tranquille à mon oreille met fin à mon dialogue interne et à mes états d’âme.
Hum il sent bon. Quelle est son eau de toilette ? Et il a bonne haleine.
Je me sens très fille. Je le sens très mec.
Séduite ? Attention Ali, ne succombe pas. Ne le charme pas.
Neuf heures et quarante minutes.
Il prend son manteau et quitte le loft après un dernier clin d’œil.
Je me retrouve seule, un peu désemparée.
Ok. Tu es menottée. C'est bien ce que tu voulais ?.. Ouep..Mais pas que...Tu voulais aussi qu’on te regarde et plus... pas vrai?
Je me tords le cou pour regarder derrière moi et évaluer ma situation.
Je teste le bracelet fixé sur la rampe. Aucune chance de l’enlever.
Les menottes irritent ma peau à chaque mouvement. Je vais être marquée c’est sûr.
Qu’est ce que je peux faire ?
M’asseoir ? C’est impossible. Je ne suis pas en caoutchouc. Souple Ok, mais pas à ce point. Je ne peux même pas m’agenouiller. Quand je me tiens droite, adossée à la rambarde, la menotte de fixation est tendue au maximum. Si je veux avoir un peu de mou, je dois lever mes bras en arrière.
Monter et descendre ? Ok. C’est parti pour la montée à reculons et en crabe dans un bruit de chaine et de métal raclant sur le bois.
Merde ça bloque. Mister Lux s’est moqué de moi. Je me retords le cou. Toutes les trois marches, un barreau métallique vertical fixe la rampe sur la rambarde et arrête le bracelet. Ma liberté de déplacement est très limitée. De toutes façons ça ne m’aurait pas apporté grand chose.
Patienter ? C’est tout ce qu’il me reste. Pas facile sans avoir la moindre idée du temps d’attente. Donc je fais ce que je sais faire….Je rêve…
Je me fais du cinéma... La star qui entre dans le loft … Mister Lux qui devient méchant et pervers…ou doux et caressant .…Moi vendue aux enchères …
Mes rêves me droguent..…Une douleur aigue dans mes poignets et mes bras me réveille à temps. J’étais en train de tomber.
J’ai peur…Et s’il avait un accident ?...Je tremble .…Ali Calme toi.
Ca fait longtemps que je suis seule. J’ai mal partout. J’essaye de détendre mes jambes, mes bras et mon cerveau en faisant des exercices.
Dix heures et quarante minutes.
Un bruit de serrure. La porte s’ouvre.
Il revient. Je revis.
Ali. Ne te plains surtout pas .Ne lui montre pas tes peurs. Souris. Sois rebelle.
- Enfin! J'ai cru que j'allais mourir d'ennui.
- huummm… Je grimace. Il ne peut pas serrer davantage. Les bracelets ne coulissent plus. C’est comme dans la réserve.
Quand il me libère de la rampe, je me demande ce qu’il est allé faire et ce qu’il a préparé.
Il n’a rien ramené. Il est seul. J’ai beau chercher, je ne trouve pas pas.
Je l’interroge du regard.
je suis encore loin du tournage d'alias..