Jeux entre femmes

[Floxy]

Bonjour ça fait un moment que je suis sur le forum, je participe peu mais je lis beaucoup les belles histoires de leurs auteurs, je vais vous faire maintenant partager l'une des miennes. Les critiques sont dur par ici, alors je vous demandes d'être tolérant autant sur les nombreuses et variés fautes de Français en général que pour ce qu'il y a dedans. Merci d'avance.
L’été commencé, j’arrive à la villa de luxe de ma chère tante pour retrouver mes cousines. Anna, ma tante était en plein préparatif de son voyage en Turquie. Mes cousines (Fanny, Anais, Léa et Karen) sont dans le salon à moitié nue, pas étonnant par cette chaleur.

Je monte mes valises dans ma chambre déjà prête et je m’installe et me couche sur le lit épuisé par la route. « Les vacances vont être très dur » me dis-je en soupirant. Fanny, l’ainé de la fratrie, entra dans ma chambre.
-Tu as fait bonne route ?
-Un peu de bouchon, mais en général ça allé.
-Contente que tu sois là, le jeux commence dès demain, repose toi. Me dit-elle en sortant de la chambre. Elle m’énerve celle-là avec son air hautain de dominatrice. Elle le sait très bien que ce n’est pas elle qui va se cacher pour échapper au ligotage. Oui car chez nous c'est un jeux, depuis toutes petites ont s'amuse a ce ligoter entre nous pendant les vacances. Et plus ont grandit plus ont prend un plaisir perverse à jouer.

Je prends mon livre de droit et continue à étudier jusqu’à que le sommeil m’attrape et m’endort. Ma tante me réveille pour m’annoncer son départ toutes réjouissante pour Venise où un beau rital millionnaire l’attend pour une magnifique croisière. Je lui souhaite bon voyage et l’accompagna jusqu’au taxi.
Il est 20 heures, je mange toute seul, un rouleau de tape traine sur le plan de travail, un signe pour me dire que le jeu commence bientôt. Je fini de mangé et je remonte dans ma chambre pour fumé un joint, avec la fatigue il me met HS en peu de temps. Je prends une douche et m’endort en songeant à la journée de demain.

Le réveille sonne à 9 heures, je descends pour le petit dej, les filles sont déjà dans la salle à manger, à voir leurs têtes de déterré et vaseux je devine qu’elles ont fumé toute la nuit et on du beaucoup réfléchir à leurs petit jeu. Je salut tout le monde et prépare mon déjeuner. Fanny ce leva est annonça le début des jeux.

Règlement du jeu :
Nous sommes quatre filles, chacune d’entre nous va être livrée à elle-même. Vous avez deux choix : être la ligoteuse ou la ligotée.
Nous allons choisir chacune une cible (on le garde pour soi).
Dès que nous savons notre cible il vous suffit de la ligoté par tous les moyens et de l’amenée au centre du salon et d’appuyer sur le buzzer.
Tous les coups sont permis.
La fille qui sera attaché au milieu du salon recevra un gage de 12h à 24h non négociable.
Le terrain s’étend sur toute la propriété. Tenue non exigé mais faite vous belle et élégante, les filles sont toujours plus belle attaché
Le jeu commence dans 15min dès que la corne sonne.
Bonne Chance.

Tout le monde ce dépêche a débarrassé le petit dej, Fanny posa une panière sur la table avec des bouts de papier. Je pioche un papier et regarde « Fanny ! ». Je la fixe tétaniser, elle me regarde en ce léchant les lèvres. Je fonce dans ma chambre et me met devant le miroir pour me donner le courage de ligoté Fanny.
Mon reflet me dit que je suis une lâche et une faible, parce que je sais qu’en réalité je vais faire semblant et je vais me laisser faire manipulée comme une poupée.

Je regarde ma montre, il me reste 10 minutes, je fouille dans mes valises et déniche une jolie robe rose nacrée, un collant couleur chair et des escarpins assortit, coiffure en chignon et un maquillage outrageux. Une envie provocante, pour commencer le jeu et pour donner gout à mes cousines.
Je sorti de ma chambre sur la pointe de mes talons, personne à l’horizon. J’entrai dans la grande salle de bain, et passa par la porte fenêtre. Il faisait chaud et lourd un orage s’annoncer. Quelques mètres après j’arrive à l’appartement d’amis, j’entre. Je regarde un peu partout.

Il y a un petit miroir sur la commode, je m’aperçoit de quelqu’un dans le reflet, elle met sa main sur ma bouche et me bloque les bras dans le dos. Trop bonne poire, je me laisse pousser sur le lit, je sens un métal froid et lourd qui se referme sur mes poignets, puis elle me tire par les bras pour me redresser.
-Tu as perdu chérie. Aller au salon pour le gage, me dit Fanny en me mettant une corde autour du cou. Elle m’emmena au salon et pris le malin plaisir d’appuyer sur le buzzer un bruit assourdissant sonna dans la grande demeure. Les filles arrivèrent au galop.

Mais quel va être le premier gage??? Mystère

La suite est déjà pré-écriture, vous la voulez? Ou ont s'arrête là?

[Paddy]

Je relance de 10 000 ... pour voir .... (lire, plutôt...)

Comme j'aime le concept des nanas qui se ligotent entre elles, et plus d'ailleurs, bien souvent, j'ai envie de lire la suite, ma chère Floxy.

[jeana1fr]

idem
merci d'avance

[alias]

encore!

[caroline]

L'idée de base du jeu est intéressante mais...

Nous sommes quatre filles

Mes cousines (Fanny, Anais, Léa et Karen) sont dans le salon

Toi + 4 =5 non ?

Excuse mais peut être que j'ai mal compris

et...

Attention aux effets secondaires manifestes des joints sur ....l'orthographe

C'est quand même bien de t'être lancée.
Donc ..continue...mais en fumant un peu moins...

[Floxy]

merci pour vos encouragement

[caroline]

Ok mais vous êtes combien?

[Floxy]

il y a Claire la narratrice est c'est 4 cousines plus d'autre femmes qui viendrons au fil de l'histoire

[beaugosse]

Mouais pas mal, cela dit je serais curieux de voir la suite!

[Floxy]

Je m'excuse pour le quiproquo au niveau des personnages donc : il y a Claire la narratrice et personnage principal et c'est 4 cousines Fanny, Anais, Léa et Karen... . Et trois autres femmes qui vont arriver dans peu de temps et "peut-être" encore une de plus. Donc 8 en tous a ceux ligotés entres-elles. Je tiens encore a m'excuser je vais faire attention dorénavant.
Et je te remercie Caroline, maintenant je fumerais moins et relirez mes textes avant de poster.

Maintenant la suite....

Je suis à genoux au milieu de la pièce dans l’attente du fameux gage. Mes cousines me font face et me disent qu’elles vont se retirer le temps qu’elles trouvent mon gage « à croire que nous sommes dans un tribunal » me dis-je. Avant de partir Fanny me bâillonne avec un foulard. Les minutes passes et les menottes commencent à me faire mal aux poignets.
-Ton gage a était délibéré : tu vas rester tout le reste de la journée ainsi que la nuit dans le chenil, tu seras enchainée et bâillonnée. L’une de nous viendra te donné à boire. Tu ne sortiras qu’à 6 heures du matin. C’est bien compris ? Elle me baissa le bâillon.
-Oui Fanny j’ai bien compris.
«Ca commence fort. Premier jour et déjà prisonnière dans un refuge pour chien de chasse. »

Fanny me remît le bâillon sur ma bouche, elle me redressa et me sorti dehors, accompagné de ses sœurs. Ont entrent dans le chenil, elles me collèrent contre le mur et m’enchainèrent les poignets avec des menottes reliés par une chaînes au-dessus. Elles m’enchainèrent également les chevilles. Les chiens sont séparés de moi par un grillage, Fanny m’enleva le bâillon.
-Tu es prêt pour ton gage ? me dit-elle
-Ai-je vraiment le choix ? Je lui réponds, Anais sort un chiffon de sa poche et me l’enfonça dans la bouche puis Léa serra un foulard épais par-dessus. Les filles me regardent de haut avec un air vainqueur et s’en allèrent en fermant la porte à clef. Les chiens aboient et me donne mal à la tête, ils reniflent mon odeur à travers le grillage et grogne, persuader qu’ils me dévoreraient s’y ils le pouvaient.

La nuit passe très lentement, il fait froid, je veux dormir mais les entraves ne donne rien de confortable, en plus l’odeur des chiens me donne des migraines et envie de vomir. Je ferme les yeux et tente de faire le vide mais impossible. Je pense a Fanny, cette garce qui aime attacher, humilier, diriger les femmes. J’ai envie de me venger d’elle mais l’idée qu’elle me ligote me donne des frissons de plaisir.

Vers 6 heures du matin, la porte du chenil s’ouvra. Les rayons du soleil commence à se levés et Karen ce présenta, elle porte des bottes en cuir sexy, un joli collant et une jupe noir, un joli haut en soi et un blouson en cuir pour conclure par un beau foulard en soie. La plus sexy des bikeuses s’avance vers moi et me détache des grosses menottes des poignets et des chevilles. Elle me donne de l’eau et je respire mieux après avoir enlevé mon hideux bâillon. Elle m’aide à me lever, les jambes toutes flageolante puis je la fixe dans les yeux pour comprendre que c’est la fin du gage. Elle se tourne et met les mains dans le dos avec une paire de menotte. Je ne sais pas ce qui me prend, j’arrache les menottes et lui ferme sur les poignets, elle ne bouge pas puis je dénoue sa belle étoffe de soie, pour le nouer sur sa jolie bouche fine et sensuel et sans dire un mot.

On arrive au garage et j’hésite : je la libère et rien ne s’est passé ou je la garde comme captive, ce qui n’a pas l’air de déranger. Option 2 pour le plaisir, je l’emmène dans ma chambre et je l’attache bien au radiateur, chance pour elle qui soit éteint. Je vais prendre une douche pendant 45min ; ça fait du bien pour laver cette nuit horrible.
Je retourne à ma chambre et enlève le bâillon de Karen, je m’assoie devant la coiffeuse et j’applique une crème pour enlevés les marques et la douleur des grosses menottes.
-Des collègues de l’institut de beauté de Fanny sont arrivés. Me dit-elle.
-Et alors ? C’est quelle genres de filles ?
-Le même que Fanny, elles sont vicieuse, profiteuse. Me répond-elle. Méfie-toi d’elles.
« C’est vacances, promet d’être très intense et violente ».