Julie

[LaCrampe]

Bonjour,
Je suis nouveau sur le site, mais ça fait longtemps que je lis vos belles histoires.
Donc je me lance, soyez franc !


Julie serait belle ce soir, avec sa jupe noire moulante et son débardeur blanc. Julie était une fille intelligente, toujours studieuse, et un brin séductrice. Disons qu'elle aimait avoir les hommes qui lui tournent autour.
Sa crinière blonde, ses yeux bleux, en laissaient peu impassibles, et son sourire avait fait tourner la tête à plus d'un. Aujourd'hui, elle avait donc opté pour une jupe noire assez courte, qui moulait bien ses fesses, et un débardeur blanc qui ne faisait rien paraitre mais laissait tout deviner. Elle portait également un soutien gorge noir, qu'on pouvait deviner à travers son débardeur, et le string noir qui allait avec. On ne sait jamais ce qui pourrait se passer ce soir. En plus de cela, elle avait un collier magnifique, de la couleur de ses yeux.

La soirée de ce soir était prévue avec sa meilleur amie Marion, et un copain sur qui elle avait certaines vues, mais qui semblait lui résister. Pas pour longtemps, se dit-elle. Au programme, une soirée tranquille, dîner et plus si affinité... En arrivant devant la porte, elle se relooka encore une fois et rajusta son soutien-gorge. C'est bon, il ne pourrait pas lui résister.
Elle sonna:
"- Oui !
- C'est moi.
- Entre !" Suivi d'un gloussement.
J'espère qu'elle n'était pas non plus en train de le draguer... En entrant dans la pièce, elle vu qu'il parlait et que Marion l'écoutait. Elle était habillée d'une robe rouge, plutot sexy, assise sur un tabouret, les mains posées sur les cuisses. Marion était belle aussi, c'est ce qui l'avait rapprochée de Julie au début. Par ce phénomène étrange qu'ont les filles belles à trainer ensemble, comme pour démultiplier leurs pouvoirs sur les hommes.
Elle ne tourna même pas la tête pour la saluer, absorbée. Julie un peu offusquée, se placa derrière elle et lui couvrit les yeux de la main.
" C'est quiiiiiii ?
- mmmhhh, je me demande bien !
- Alors, on ne dit plus bonjour à sa meilleur amie ? "
Elle lui prit alors la tête entre les mains, et l'embrassa sur la bouche, sans lui laisser le choix.
"mmmm, mais arrête ! Depuis quand tu aimes m'embrasser ??
- Depuis toujours, mais normalement, c'est plus tard dans la soirée !
- Très drole !"
Elle s'approcha alors de lui et se demanda si elle allait faire la même chose. Il était beau ce soir. Elle le désirait déjà.
"Pour moi, la bise ca ira !"
Rires de Marion. Il lui résistait encore, elle aimait ça. Elle lui fit donc la bise mais se cambra bien en avant, pour lui laisser voir un peu de son décolleté. Marion en profita pour lui mettre une claque aux fesses.
" Mais ca va pas !" Dit elle en se redressant d'un coup.
Il rigola.
"Moi aussi je peux ??"
Plus tard mon coeur, pensa-t-elle.
La soirée pouvait commencer.

Une ou deux bouteilles de vin plus tard, Julie se sentait bien. L'alcool semblait avoir fait son effet, elle se sentait plus libre, plus audacieuse. Elle n'hésitait pas à le toucher, le prendre par la main. Et il semblait aimer ça, du moins, il se laissait faire. Il se laissait faire aussi avec Marion ceci dit, qui était encore plus téméraire, n'hésitant pas à l'embrasser sur la joue, et le serrer dans ses bras à la moindre occasion. Il semblait profiter des deux femmes, comme assistant à une compétition dont il était l'objectif. Tu m'étonnes se dit Julie, qui n'aimerait pas être à sa place ?
Il fallait absolument qu'elle trouve un moyen de se débarrasser de Marion. En même temps, on était chez elle, ça ne serait pas facile.
L'occasion se présenta comme par magie:
"Je vais chercher le gâteau, ne faites pas de bêtises tous les deux !" S'exclama t elle, en se levant.
Julie sauta sur l'occasion. Aussi tôt Marion partie dans la cuisine. Elle se pencha sur lui, le prit par les épaules, et sauta sur ses genoux, face à lui, jambes écartées. Il resta scotché sur sa chaise, éblouit par la vue. Julie en profita pour l'embrasser langoureusement. Il ne résista pas.
Dans cette position, elle sentit rapidement qui lui aussi était très excité par la situation. Il l'empoigna des deux mains par les fesses, faisant remonter sa jupe le long de ses cuisses.
Elle ne put s'empêcher de gémir.
"mmmmm"
Mais Marion serait bientôt de retour.
Elle s'arrêta.
" Julie, je... "
Elle lui plaqua aussitôt une main sur la bouche, l'empêchant de parler.
"Chut, pas de bruits. Marion ne doit pas savoir, elle serait trop jalouse."
Elle ne lachait pas prise, lui se laissait faire.
"Ecoute, je te trouve mignon, je te veux ce soir, ici. Alors, tu vas rester dormir et moi aussi.
Je m'occupe de Marion. "
Elle le lacha, se rassit sur sa chaise et rajusta sa jupe. Lui ne bouga pas, toujours sous le choc.
Marion profita de ce moment pour revenir avec le gâteau.
"Eh bien, dis donc vous n'êtes pas très bavards tous les deux. Heureusement que je suis la pour mettre l'ambiance !
Vous voulez le goûter ce gateau ??"
Elle fit alors quelque chose auquel Julie ne s'attendait pas. Au lieu de s'asseoir sur sa chaise, elle s'assit sur les genoux de sa proie, exactement dans la même position que Julie tout à l'heure. Ses jambes écartées laissaient clairement entrevoir sa culotte rouge, ce qui n'échappa pas au regard du garçon.
Elle prit alors une part de gâteau et lui fourra dans la bouche.
"mmmmhhh"
La bouche pleine, il ne pouvait articuler un mot. Elle en profita alors pour l'embrasser et lécher le chocolat qui dégoulinait autour de ces lèvres. Julie était bouche bée, elle n'arrivait pas à croire qu'il ne se défendait même pas, alors qu'elle lui avait promis une soirée ensemble. Comme si une femme ne lui suffisait pas.
Marion se tourna alors vers Julie, avec un sourire triomphant.
"Julie, mon chou et moi, on aimerait bien être tranquille ce soir, si tu vois ce que je veux dire."
Sentant qu'il allait se mettre à contester, elle le baillonna avec la main, sans détourner le regard de Julie.
"Euh, je peux pas rentrer chez moi.
- Pourquoi ?
- Eh bien, je suis venu à pied, et... ca craint dans la rue à cette heure ci. Je ne veux pas rentrer toute seule.
- Bon. Ba tu peux toujours dormir dans la chambre d'invité.
Mais je t'y enferme ! Et tu n'écoutes pas à travers le mur !
- OK, ca me va"
Lui écoutait les deux femmes se battrent pour lui, toujours bâillonné.
"Eh bien allons-y"
Les deux femmes se levèrent et partirent dans la chambre, laissant leur partenaire tout seul, n'ayant meme pas son mot à dire.


A suivre

[Yopo1]

Je suis curieux de savoir de qui Julie ou Marion aura le dessus sur l'autre...

La suite stp ...

[Télémaque]

Belle histoire bien écrite.
La suite est attendue bien entendu !

[dark gentleman]

C'est un bon début, c'est bien écrit et visiblement ce n'est pas ta première histoire, mais...
Car oui il y a un "mais", tu n'es pas passé par la case présentation... et il va falloir y remédier

[LaCrampe]

Merci pour vos avis positifs, c'est la première fois que j'écris une histoire dans ce genre en tout cas !
Voilà la suite:


Une fois dans la chambre, Julie s'adressa à son amie, le regard sévère.
" Tu es gonflée Marion.
- Eh, pour une fois que c'est moi que préfère un garçon. Tu peux me le laisser !"
Julie s'assit sur le lit, un peu perdue. Marion s''était déjà déshabillée, un string rouge qui mettait en valeur ses fesses, et la poitrine à l'air. Julie se rendit compte à quel point son amie était belle ce soir. Son triomphe l'avait rendu plus sûre d'elle, plus sexy. Elle avait finalement opté pour un corset noire, qui mettrait en valeur sa poitrine, d'ailleurs plus grosse que celle de Julie.
La jalousie devint insupportable, elle serait prête à n'importe quoi pour empêcher Marion de lui piquer son amour.
"Dis donc ce n'était pas la chambre dans laquelle tu t'envoyais en l'air avec ton prof de maths ??
- Oh oui, on travaillait très dur, sur ce bureau là ! Il vient toujours me voir de temps en temps."
Julie ouvrit le tiroir de la commode, curieuse.
"Eh bien dis donc, tu te fais plaisir toi !"
Elle tira une paire de menottes du tiroir et la montra à Marion.
" Oh tu sais les hommes, moi, j'aime bien les mater.
- Coquine."
Elle jeta les menottes sur le lit, en riant. Mais soudain, une idée lui vint. Une idée bizarre, qu'elle n'aurait sûrement pas eu sans l'aide de l'alcool. Mais là, tout lui semblait possible, même les choses les plus saugrenues. Elle se sentit machiavélique, prête à tout.
Elle regarda Marion intensément, pouvait-elle faire ça à sa meilleur amie ?
" Qu'est ce qu'il y a ? Tu as ton regard mauvais.
- Mais non, viens t'asseoir à côté de moi. Tu ne vas quand meme pas partir sans me souhaiter bonne nuit ??"
Marion alla la rejoindre, toujours en petite tenue. Julie était prête, sûr d'elle. Elle était judokate après tout, elle savait que son amie ne faisait pas le poids contre elle.
Elle jeta un dernier regard aux menottes, et serra son amie dans ses bras.
"Dis donc tu es sentimentale toi ce soir!"
Julie posa ses lèvres sur les siennes, et l'embrassa. Marion se laissa faire, elle avait toujours eu une espèce de fascination pour Julie, devant sa beauté sauvage. Elle se sentait libre, belle et n'avait aucune limite ce soir.
Mais le contact froid du métal contre ses poignets la fit sursauter.
"mmh ?
- Désolé ma chérie"
Julie repoussa sa proie sur le lit, qui avait déjà les mains attachées dans le dos.
"Julie ?? T'es folle ?"
Mais Julie ne voulait pas l'entendre, pas de remords. Elle se jeta sur elle, et la bâillonna avec ses deux mains.
Leurs seins étaient collés, les yeux dans les yeux, elle pouvait ressentir le moindre mouvement que faisait Marion.
"mmmmmmmmmhhhhhhhhhhh"
Marion commençait à comprendre ce qui lui arrivait et se débattait.
Mais ses cris étouffés ne devaient pas arriver jusqu'au salon.
"Je vais te faire taire, ma petite.
-NNNhhhhhhhhhhhh"
Marion haletait, complètement abasourdie. Julie n'avait jamais fait ça à quelqu'un et n'avait aucune idée de la façon de la bâillonner efficacement. Son regard se posa sur la taie d'oreiller. En libérant une main de la bouche de Marion, elle prit la taie, et la passa autour de sa tête. Celle-ci gesticulait encore plus fort, secouant sa tête dans tous les sens, et donnait des coups de bassin.
Le tissu rentra dans la bouche, glissa entre les deux mâchoires, et libre de ses deux mains, Julie pu faire un noeud à l'arrière de la tête.
"hhhhhhhhnnnnnnnooonnnn"
Mince, le bâillon ne marchait pas vraiment, il allait tout entendre.
Julie, tout en replaçant ses mains sur la bouche de Marion, réfléchit.
"Tais-toi !
- mmmhhh"
Il faut que je lui mette quelque chose dans la bouche. Sa culotte. D'une main, elle prit le string de Marion, et le roula en boule.
" Tiens, il est mouillé " se dit-elle.
Elle enleva sa main de la bouche de Marion et y enfonca le string.
Celle-ci n'eut le temps que d'émettre un petit cris.
"aahhhmmmmmmm
- chuuuuttt, calme toi, je te libérerais après."
Ce n'était pas assez, il restait encore de la place dans la bouche. Ma culotte. Elle porta alors ses mains à ses fesses, sous sa jupe, et enleva son string qu'elle fourra de nouveau dans la bouche de Marion. Ah enfin, ca semblait faire l'affaire, la bouche restait maintenant légèrement ouverte, remplie des deux culottes. Et presque aucun son ne sortait.
Marion faisait les gros yeux, elle n'arrivait pas à croire ce qu'il lui arrivait.
"....ghhh...
- Je suis désolé mon coeur, mais ce mec est pour moi."
Avant qu'elle ne recrache tout, Julie reprit la taie, et fit deux tours autour de la tête de Marion, serrant très fort. Le bandeau semblait maintenant collé à ses lèvres. Julie l'embrassa, c'était décidément excitant.
Marion était légèrement calmée, mais jetait toujours des regards noirs à Julie. Il fallait régler maintenant les détails, elle trouva des ceintures dans la commode et entreprit de ligoter son amie. Chevilles, genoux... tout y passa.
Une fois l'affaire finie, elle regarda son travail. Le baillon qui barrait la bouche de Marion semblait tenir, et les sangles qui enserrait ses membres faisait ressortir ses formes. Plutôt sexy comme vue en fait. Elle s'attarda sur le sexe de Marion, remarqua qu'il était humide, et y passa le doigt.
"Dis donc ma chère, tu sembles aimer ça, il faudrait qu'on se refasse ça à l'occasion.
- n....H"
Marion était rouge de honte.
"Je te laisse, et je vais profiter de notre ami. Peut être que je te le rendrais quand j'en aurais fini.
A toute."
Sur ce, elle fit demi-tour et sortit de la pièce, la fermant à double tour.

[alias]

j'aime beaucoup!