Jeux de Liens

Salut à toi qui lis ces lignes. Je propose ici ma toute première histoire depuis bien longtemps (la dernière étant une expression écrite pour le bac de français ). Ce petit scénario sera découpé en 5 parties que je publierais tout les lundi à partir d'aujourd'hui. Je m'excuse aussi par avance du nombre probablement conséquent de fautes d’orthographes présent dans ce récit, j'ai fais de mon mieux de ce côté mais ça reste difficile. M'enfin, trêve de discours pompeux et beaucoup trop long, je vous laisse avec le premier chapitre.

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PULSIONS - CHAPITRE I

« Allo oui ? Nan Tony ! C’est mon jour de repos, si tu as vraiment besoin d’aide sur ce dossier il va falloir attendre demain ou appeler quelqu’un d’autre. .. Et puis Nan, en plus de tout ça je dois encore m’occuper de l’affaire du Jewel Store, il va falloir que tu te débrouilles tout seul… je te laisse, je suis déjà en retard ! »
C’est pas possible… toujours des choses à faire… des rapports à rédiger. .. Des responsabilités. .. mais aujourd’hui devait être ma pause. Et là encore je suis en retard car ça doit déjà faire 15 minutes qu’Alex m’attend pour notre soirée dvd. Un mois qu’on a planifié ça et j’arrive qu’en même à être en retard. Donc voilà, je suis comme une cruche à courir au milieu de la route et pour couronner le tout, je me prend les pieds dans un truc qui traîne au sol et je m’étale par terre. Putain ! J’ai troué mon bas au niveau du genou en plus! Bon, tant pis, le plus important c’est que je n’ai pas la moindre égratignure. Je me relève vite et continu ma course pour essayer de rattraper mon retard.
Alex ne m’en voudra pas, lui qui est toujours si joyeux et souriant, il va sûrement rire un bon coup puis on lancera le film en mangeant des chips. J’arrive justement au pied de l’immeuble. Je vais vite au niveau de l’intercom, je trouve son nom et je sonne.
« Ha bah te voilà ! Je t’ouvre. »

Ça y est, elle est là. .. En bas de mon immeuble… probablement déjà en train de monter les escaliers… en voyant l’heure du rendez-vous passer j’ai cru qu’elle ne viendrait pas. J’ai cru avoir planifié tout ça pour rien. Mais c’est bon, la voilà qui approche, de plus en plus… je la sens… cette envie… ce désir obscure que je traine depuis tout ce temps… je vais pouvoir me rassasié. Enfin me rassasié. .. à ces dépends...
Driiiiing !
Elle est déjà à la porte ! J’ai une soudaine monté d’adrénaline, comme une pulsion. Je jette discrètement un œil par le judas de la porte. Eve, je la vois juste là, je sens une autre pulsion, plus forte cette fois, c’est enivrant ! Elle semble essoufflé, elle porte un débardeur et ça veste étant de travers je peux voir apparaître son épaule. Je vois la magnifique courbure de son cou… le doux dessin de ces clavicules... le délicieux pigment de sa peaux. .. UNE NOUVELLE PULSION ! je serre mon point tellement fort pour la contenir, je crois que je me suis ouvert la main avec mes ongles…
Driiiiing !

Déjà que je suis en retard, je devrais peut-être pas trop insister sur la sonnerie... Mais c’est bon, la porte s’ouvre.
« Salut Eve ! Tu vas bien ? »
C’est bon, il est tout souriant et enjoué comme à son habitude, je me disais bien qu’il ne serait pas rancunier pour se retard. Il me fait un câlin chaleureux comme lui seul à le secret et m’invite à entrer.
« Salut Alex, je suis vraiment désolé du retard. Tu sais ce que c’est, mon boulot accapare tout mon temps, j’ai plus une seconde à moi, je commence vraiment à saturer... »
J’entre et je commence à poser mes affaires quand j’aperçois une tâche rouge sur sa main.
« Qu’est ce qui est arrivé à ta main ? »
« Ça ? Nan c’est rien ha ha ! Je me suis coupé en préparant le repas, tu sais comme je suis doué ! »

Merde je suis vraiment trop con ! Je me suis laisser envahir par mes pulsions… si ça continue elle va finir par voir à travers mon masque ! Maintenant elle est rentrée chez moi, il faut que je me calme, si j’agis trop vite tout ça aura été inutile. Mais je ne peux m’empêcher de la regarder… la silhouette de ces jambes est dessinée par ces bas qui remontent au dessus des genoux. Et ça jupe est juste suffisamment haute pour laisser apparaître un ruban de peaux… ces cuisses… j’aimerais les tenir, les avoir entre mes mains ! Attend… mais son bas est troué, il ne faut pas qu’elle se soit blessé ! IL NE FAUT PAS QU’ELLE EST ABÎMÉE SON CORPS POUR CE SOIR ! 
« Un problème Alex ? »
« Quoi ? Euh non… t’inquiète ! Mais dis moi, qu’est ce que tu t’es fais à la jambe ? »
« Ha ça !? Je suis tombé en venant, je ne me suis pas fais mal mais j’ai qu’en même déchiré mon bas.»
« Ha… parfait… et du coup, tu nous as pris quoi comme film ? »
« Le silence des agneaux, tu connais ? »
« Ouais, j’en ai déjà entendu parlé. Du coup princesse, tu prépares le film et moi de mon côté je m’en vais en quête de notre repas pour te l’offrir sur un plateau d’argent ? »
« Ha ha ! On fait ça oui ! »

Je sais pas ce que je ferais sans lui, il a toujours été là pour me soutenir et me remonter le moral. Cette soirée est exactement ce qu’il me faut pour décompresser de toute cette pression.

Je ne dois pas aller trop vite ou elle verra la chose venir… tout est préparé, réglé au millimètre, chaque ustensile disposé aux endroits qu’il faut...

Alors… comment je mets le CD dans ce lecteur ?

Je dois respirer… garder mon calme… j’y suis presque…

Mais… pourquoi il y a des morceau de tissu posé sur le meuble télé ? Peut-être qu…

Maintenant !

MAIS… QUE SE PASSE-T-IL ?! Ha ! On a posé un tissu humide sur ma bouche! Je ne vois pas qui c’est... mes oreilles commencent à bourdonner. .. ma vision… devient flou… Alex… aux… secours…

Oui ! Voilà ! Je suis tout excité ! On va enfin pouvoir s’amuser…

Un peu difficile à suivre entre les 2 personnages mais c'est sympa ^^ . Quelle surprise l'attendra à son réveil ?

Je comprend le problème, je voulais qu'on puisse suivre les pensés des deux personnages en même temps et j'avoue que j'ai bien galéré pour avoir un semblant de lisibilité. Mais apparemment c'était pas suffisant donc j'ai retravaillé la mise en page et j'ai laissé au début de chaque paragraphe un indice pour qu'on puisse comprendre rapidement qui on suit. En tout cas merci à toi ! Content que ça te plaise, et si tu veux la suite je te la mets de suite. Bonne lecture

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PULSIONS - CHAPITRE II

Je me suis assoupie ? Mince, j’ai mal à la tête… mes bras sont tout engourdi. .. j’ai pas le temps de me reposer, j’ai encore trop de travail, trop d’obligations. Mais… mes bras, je n’arrive pas à les bouger. Et je ne travaillais pas aujourd’hui , j’étais chez Alex. On allait mettre le film… mais pourtant mes bras bougent, c’est juste mes mains qui restent collées l’une à l’autre… et on m’a attaqué par derrière je me souviens ! Qu’est ce qui se passe ? Je sens un truc autour de mes poignets, une corde ? Pourquoi je suis attaché ? C’est cette personne qui m’a attaqué par derrière ? Mon dieu ! Et Alex, où il est ? Bon sang j’espère qu’il ne lui est rien arrivé… qu’il pourra venir m’aider.
Je suis allongée par terre, sur le ventre, sur un carrelage blanc. J’essaye de me retourner mais mes mains restent solidement attachées dans mon dos et mes jambes sont encore engourdies. La pièce est sombre, mais je reconnais le salon d’Alex. La salle est vide, je ne vois personne. Attend… si ! Je vois une silhouette au fond, on dirais… oui ! C’est Alex ! Il va pouvoir venir m’aider !

Ça y est… Eve commence a se réveiller, je vois son corps commencer a remuer. Elle bouge ces mains mais la corde que j’ai soigneusement noué les contraignent l’une à l’autre. Quel plaisir lorsque je l’ai mise…
Après l’avoir endormie, j’ai commencé par la mettre sur le dos pour pouvoir poser sa tête sur mes genoux, elle est si belle quant elle est inconsciente. A partir de ce moment là, je pouvais faire ce que je voulais. Tout son corps, tout son être était à moi… sa poitrine, si ronde, si magnifiquement sculptée, à porté de main. Mais non ! Il faut que je suive mon plan, il faut être méthodique, organisé. C’est seulement comme ça que je pourrais profiter au mieux d’elle. J’enlève sa veste, la laissant ainsi en débardeur. Et je croise ces deux mains dans son dos. Elle a la peau si douce… je prend ma corde que j’avais soigneusement placé dans un tiroir du meuble télé pour l’avoir à disposition dès que je l’aurais endormi. Je l’enroule autour de ces poignets, doucement. Son corps inerte se laisse faire.
Quel plaisir de lui faire ça. Et maintenant, en voyant ces liens l’empêcher de bouger alors qu’elle se réveille, je sens cette excitation. Tu es prisonnière… tu es MA prisonnière. Mais voilà qu’elle tourne la tête vers moi. C’est bon, elle m’a vu.

« Alex ! Je ne sais pas ce qui c’est passé… quelqu’un m’a attaqué par derrière ! Je suis tellement rassurée de te voir ! Mais mon agresseur, il est peut-être encore là. »
« Sans aucun doute... »
Sans aucun doute ? Alors il a pu voir mon agresseur ? Mais alors pourquoi il est si calme ?
« Viens me détacher, vite ! »
C’est bon, Alex se lève et il s’approche. Mais pourquoi son regard est si sombre, lui qui est habituellement si expressif ? Il marche doucement vers moi, mais son comportement n’est pas le même que d’habitude. Il semble diffèrent. Et l’autre personne, mon agresseur, où est-il ? Il était dans l’appartement depuis le début ? Avant même que j’arrive ? Dans ce cas, pourquoi Alex ne l’a pas vu avant ? Et je ne vois n’y n’entend personne d’autre dans l’appartement. Et Alex lui… continu a avancer… doucement… Alex…
« Tu as l’air bizarre Alex… »
Je commence à avoir peur, mais lui ne répond pas. Il avance toujours vers moi avec cette tête, ce visage sombre et parfaitement inexpressif. Je commence a essayer de me lever, mais bien qu’elles réagissent mes jambes sont encore engourdies, et Alex approche. Je commence a ramper dans la direction inverse, mais avec mes mains attachées dans le dos c’est presque impossible. Et Alex approche. J’atteins l’intersection entre le mur et le meuble de télé et je me retourne pour voir où il en est, mais Alex est là.

Elle vient d’atteindre le mur pile comme je m’y attendais. Ma main droite tremble, je la sens, cette excitation, elle vient de comprendre, elle a peur, elle essaye de me fuir, mais elle ne peux rien faire. Je sens mon cœur battre, mes tempes tambourinent comme jamais, je sens tout mon sang chauffer et bouillir dans mon corps.
« Alex nan ! »
Je saisi rapidement le chiffon que j’avais laissé sur le bord du meuble télé et l’introduit dans sa bouche encore ouverte avant même qu’elle puisse pousser le moindre cri.
Surprise, j’essaye alors d’enlever ces mains de ma bouche mais les miennes étant toujours solidement ligoté dans mon dos, je me retrouve complètement démuni. J’essaye qu’en même de bouger la tête, les épaules pour me dégager mais rien a faire. Il ne me faudrait qu’une seconde, une seconde avec ce chiffon en dehors de ma bouche et je pourrais crier. Ainsi tout serrai fini, je serais sauve.
Oui ! Vas-y Eve ! Débat toi ! Te laisse pas faire ! Bon sang, tout mon corps tremble d’excitation ! Je la vois vainement se débattre mais je suis bien trop fort pour toi. Regarde Eve, regarde qui je suis vraiment ! Je suis ton dresseur, ton dompteur. Et ce chiffon que je vois apparaître entre tes dents blanches en est la preuve. Je prends alors l’autre morceau de tissu que j’avais préparé, je la saisi, la met sur le ventre et passe le tissu dans sa bouche pour ensuite en faire un nœud à l’arrière de sa tête

Nan ! C’est bon, je ne pourrais plus hurler, j’ai beau essayer d’articuler les appels à l’aide, se ne sont que des bruits sourds qui sorte de ma bouche. Des bruit étouffé par ce bâillon qu’Alex vient de me faire. Alex… il vient de me retourner me mettant sur le dos, face à lui. Son visage est toujours aussi inerte, aussi mort. Mais je remarque qu’il sert énormément la mâchoire, et alors qu’il pose sa main droite sur ma joue, je la sens trembler discrètement sur le bord de ma peau.
Il saisi alors la dernière pièce de tissu que j’avais vu sur le meuble tout à l’heure et le noue délicatement sur mes yeux. Je ne peux plus rien dire, je ne peux plus rien voir, tout est fini…

Ho Eve ! Voilà, on va pouvoir commencer…

J'attends la suite (au niveau des persos on s'en sort mieux)

Nous voilà lundi, ce qui signifie la suite de cette courte nouvelle sur le bondage. On arrive déjà à la moitié de l'histoire et j'espère qu'elle te plais. Bonne lecture à toi

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CHAPITRE III
J’ai rencontré Alex quant on était en primaire. Je m’en souviens très bien. Avec des amis on jouait aux cowboys et aux indiens, le but était simple : les cowboys courent après les indiens pour les faire prisonnier. On jouait toujours à ce jeu. Mais Alex lui ne jouait pas, jamais. A chaque récré je le voyais aller s’asseoir sur un banc, toujours le même, il posait ses mains sur ses genoux et il attendait que la cloche sonne pour rentrer en cours. A cette époque il était discret et silencieux, rien dans son comportement ou son visage ne témoignaient la moindre émotion.
Je trouvais ça triste, donc un jour je l’ai invité à venir jouer avec nous. Il est resté silencieux, comme s’il étudiait chaque mots de ma question, en visualisait chaque lettres. Mais il a finit timidement par nous rejoindre, il est aller dans le groupe des cowboys et a commencé à me poursuivre moi qui étais chez les indiens. Et lorsqu’il m’a attrapé et qu’il m’a ramené dans son camp, pour la première fois je l’ai vu sourire. Et depuis ce jour il déborde de joie de vivre. Au collège il a fait partie de la troupe de théâtre, il était vraiment doué. Au lycée il a eu ça première copine, mais ils se sont brusquement séparés. Le temps a passé, on ne sait pas perdu de vue.
Mais aujourd’hui, aujourd’hui il est différent, ce visage que j’ai vu, ce n’était pas le sien. C’était un visage sans émotion, sans vie. Je ne le reconnais plus, il n’est plus le même. Il me regarde différemment.

Elle est là, elle est enfin là. Juste là devant moi, allongée au sol en train d’essayer de ramper, de se défaire de ces liens que je lui ai mis. Je l’ai vu chercher de ces doigts le nœud de ces poignets, surement pour essayer de le desserrer. Mais j’ai bien fait mon travail, le nœud est placé le plus haut possible, de manière a ce qu’elle ne puisse pas l’atteindre. Elle joue des poignets et essaye tout un tas d’autres méthodes mais il n’y a rien à faire, je me suis préparé longtemps à faire ces liens, elle ne pourra pas s’en défaire. Sinon, elle pousse quelques gémissement, mais le bâillon que je lui ai fait étouffe complètement ses plaintes. Je suis le seul à avoir la chance de les entendre. Mais bon, arrêtons d’admirer la scène, il faut maintenant passer à la suite.
« J’ai toujours été fasciné par tes jambes, elles sont si longues, si fines, si inoffensive. Mais maintenant que le produit que je t’ai fait inhaler commence à se dissiper, tu pourrais bien les utiliser pour fuir, et il ne faudrait pas que ça arrive… »

Quoi ? Qu’est ce que ça veut dire ? Je ne comprend pas… qu’est ce qu’il va faire ? Je ne peux pas le voir mais je l’entend se déplacer dans la pièce, mais mon cœur bat trop fort, impossible de savoir avec précision où il va. Ils s’éloigne ? Vers le canapé peut-être ? J’entends le bruit d’un tiroir, il y en a justement un à côté du canapé. Qu’est ce qu’il a pris ? Et où va-t-il maintenant ? Je ne l’entend plus, il est immobile ? Il me regarde ? Mais qu’est ce qu’il regarde ? C’est comme si je pouvais sentir son regard se poser sur chaque partie de mon corps, ce bandeau sur mes yeux me rend folle ! Il regarde ma poitrine ? Mes jambes ? Mon ventre ? Impossible de savoir. Où alors… HA ! UNE MAIN VIENT DE SE POSER SUR MA CUISSE !
« Mais avant de te priver de tes jambes, j’aimerais pouvoir les admirer, les toucher. Ça te dérange si je t’enlève tes bas ? »

Elle commence à bouger, à se débattre, je l’entend essayer d’articuler quelques mots mais ils restent parfaitement incompréhensibles, comme je les aime… elle est paniqué, mon petit jeu à donc bien marché, j’avais mis des cordes dans le tiroir à côté du canapé, comme ça lorsque j’irai les chercher, elle pourrait se faire une idée d’où je serai. Et une fois cela fais, je me suis approché discrètement d’elle, et, la voyant immobile, sûrement en train d’essayer de savoir où je suis, j’ai doucement approché ma main de ces jambes, je les ai longé, caressé à 2 cm de distance, et je me suis retrouvé sous sa jupe, là je n’ai pas pu résister et je l’ai saisi. Elle continu d’essayer de parler.
« Pas de non ? J’en déduis que tu m’autorises à enlever les bas. »

Nan ! Il ne peut pas faire ça ! C’est trop proche, trop intime ! Je me débat, il faut que je trouve un échappatoire ! Mais c’est trop tard, je sens ces doigts passer sous mon premier collant et le tirer vers le bas. Il a une main du côté extérieur et une du côté intérieur de ma cuisse. Je les sens descendre doucement, progressivement le long de ma jambe. Il est presque au niveau du genou. Mais une fois passé, il s’arrête. Je n’ose plus bouger. Et là, je sens une caresse sur ma cuisse maintenant dénudé. Je sens ce mouvement lent et profond appuyer sur ma peau… j’ai la chaire de poule…

Ça peau est si douce. Je sens une boule se former dans ma poitrine. Une boule chaude et agréable. Elle se laisse faire, a-t-elle décidé d’abandonner ? A-t-elle peur ? Ou bien aime-t-elle ce qu’il se passe ? En tout cas, je dois maintenant continuer. Je reprend le collant et continu à le tirer, je vois maintenant toute sa jambe, la boule dans mon torse devient plus grosse, plus puissante. Je suis maintenant à la cheville. Je tire doucement le collant, je vient d’enlever le talon, je remonte jusqu’au bout des doigts et enfin, je les libère eux aussi du vêtement. Son pied est si beau. Je m’approche alors.

Et la je sens qu’il pose ces lèvre sur le dessus de mon pied, je suis surprise, mal à l’aise. Mais sans vraiment savoir pourquoi je reste immobile. Puis il dépose un nouveau baisé sur ma cheville, puis il remonte sur mon genou, puis à mi-cuisse. Et bien que je ne le vois pas, je sens sa tête monter encore et se rapprocher de… Nan ! Je réussi à me retourner, je recommence à essayer d’appeler a l’aide !
« Tu as raison… c’est encore trop tôt, on verra ça plus tard… »

Et je recommence le même rituel pour l’autre jambe. Bon sang, comme c’était intense ! La boule dans ma poitrine est sur le point d’exploser ! Je viens de retirer intégralement le second collant, et je peux enfin voir ces jambes, ces longues jambes fines et gracieuses. Je la met alors sur le ventre, et je me saisi de ma corde pour commencer à l’enrouler autour de ces chevilles. Elle se débat un peu mais avec moins de fougue qu’au début, je crois qu’elle a été toute retourné par cette petite expérience. Je réussi donc assez aisément à boucler le nœud qui dorénavant entrave ces pieds. Elle est belle… si belle, avec ces liens qui la retiennent, et elle est toujours en train de se dandiner pour s’en défaire. Et ces jambes, ces jambes enfin sont à ma disposition, enfin ne sont qu’à moi et rien qu’à moi.

Pourquoi ? Pourquoi le petit Alex que j’ai connu me fait-il ça aujourd’hui ? Pourquoi m’impose-t-il un tel supplice ? Pourquoi a-t-il si brusquement changé ? Et pourquoi je ne me suis pas débattu quand il m’enlevait mes bas ? C’était si étrange, si délicat… j’avais l’impression qu’il me touchait avec autant de précaution que si j’étais un vase en porcelaine. Comme si j’étais quelque chose de précieux et de fragile. Comme s’il tenait énormément à moi.

La qualité s'améliore J'aime beaucoup

j'avoue c'est très intéressant

Salut à tous, je suis ravi de voir que ça commence à vous plaire ! Et en parlant de ça nous somme lundi, ce qui signifie qu'il est temps pour moi de vous diffuser l'avant-dernier chapitre de Pulsions (et oui, déjà ) Bref, j'espère que cela va vous plaire et bonne lecture

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CHAPITRE IV

Depuis mon plus jeune âge j’ai ce problème, cette absence totale d’émotion et d’attachement envers les autres. Ce désir intense de leur faire du mal... Mais j’ai aussi rapidement compris qu’il fallait que je combattent cette envie, cette pulsion démoniaque qui sommeil en moi. Durant les récréations en primaire, j’allais m’asseoir sur le même banc tout les jours, je regardais les autres, en train de crier, rigoler… des choses que je ne comprenais pas. Des pulsions me prenait à ces moments là, du coup je posais mes mains sur mes genoux et je serrais le plus fort possible pour essayer de les contenir. Je devais les renfermer, les inhiber. Ces pulsions n’était pas bien, je pourrais faire du mal à des gens si je les laissais s’exprimer.
Mais un jour, Eve est venue me voir pour me demander si je voulais jouer avec elle et ces amis. Elle était si proche, si insouciante. Mais je ne pouvais pas aller avec elle, si je perdais le contrôle, si mes pulsions prenaient possession de mon corps ? Mais j’ai finalement accepté. Si j’essayais de noyer ces pulsions sous les jeux je pourrais peut-être m’en débarrasser. J’ai donc commencé à lui courir après, je la voyais rire et crier, comme les autres. Mais moi rien, toujours ce même vide, cette absence totale dans mon cœur. Puis j’ai finis par l’attraper, elle se débattait. Et c’est là que quelque chose c’est passé, mon cœur c’est soudain allumé, je venais de la capturer, je la tenais prisonnière, les mains dans le dos, et je sentais ce plaisir… enfin je ressentais une émotion, un courant électrique qui se propageait dans tout mon corps, pour la première fois je souriais. Et cela a valu qu’elle me proposa de jouer avec eux le lendemain, et le surlendemain.
A partir de ce jour j’ai décidé de m’intégrer dans la société, de rester proche d’Eve pour assouvir discrètement mes envies. Au collège j’ai rejoins la troupe de théâtre pour apprendre à simuler les sentiments et émotions que ressentent les autres. J’ai eu ma première copine mais dès que j’ai essayé de calmer mes pulsions avec elle, elle a pris peur et est partie. Seul Eve est resté près de moi tout ce temps. Mais plus le temps passait, plus elle s’éloignait, à cause de son travail et de toutes ces responsabilités. Et plus elle s’éloignait plus mes pulsions grandissaient. C’est pourquoi j’ai planifié cette soirée, pour pouvoir enfin calmer mon appétit, pour ne plus avoir à me cacher…

Après avoir ligoté mes pieds, Alex a ajouté une corde au dessus de mes genoux. Elles sont bien serré, le seul mouvement que j’arrive a faire c’est de battre mes pieds d’avant en arrière sur quelques centimètres. Et je commence à sentir le carrelage froid sur mes jambes et mes bras, la position devient vraiment inconfortable. Par moment, je sens la main d’Alex qui vient caresser mes bras, mes jambes. A cause de ce bandeau sur mes yeux je ne vois jamais rien venir, je suis toujours surprise de le sentir, car toute mon attention se tourne vers se contact sans que je puisse rien y faire. Que va-t-il toucher ensuite ? Mon cou ? Mes pieds ? Plus le temps passe plus ces caresses deviennent agréables.

Tout mon corps est en ébullition, j’entend Eve gémir par moment, souvent au contact de mes caresses. J’aime entendre ces petits bruits étouffés par ce tissu que je lui ai mis dans la bouche. Je suis allongé par terre, face à elle, et je la regarde. Je suis content qu’elle soit là, à moi, tout à moi. Je commence à regarder ces formes se dessiner entre les plis de son débardeur et de sa jupe. J’arrive a voir sa poitrine timidement cachée dans son soutien-gorge noir, sa fine taille et son ventre fin, ces hanches marquées en une belle courbe qui se prolonge jusqu’à ces jambes. Il est temps de passer à la suite.
« Tu sais Eve, je ne peux m’empêcher de regarder ta silhouette, tes belles courbes, l’harmonie de ton corps… »

Hein ?! L’harmonie de mon corps ? Mes courbes ? Qu’est ce que ça veut dire ? Qu’est ce qu’il va faire cette fois ? Je pensais qu’il en avait déjà fais assez, à quoi dois-je m’attendre ? Je recommence à avoir peur, comme si ça devenais une habitude lorsqu’il me parle…
« Je voudrais le voir, le voir mieux que maintenant. Le voir sans masque. Je voudrais voir ton corps à nu, qu’il se montre à moi, et qu’il ne puisse pas se cacher. »
Nan ! J’ai peur ! Je ne veux pas. J’ai beau vouloir me défendre, me faire comprendre ça ne change strictement rien à cause de ce fichu baillon, et de ces liens ! Alex, tu ne peux… Je le sens qui me saisi au niveau du bras et de la taille, et mon corps se soulève alors légèrement du sol pour passer sur le dos. Il me déplace, il me contrôle avec tant de facilité. J’ai l’impression de n’être qu’un objet, qu’un coussin qu’il tourne et retourne pour son petit confort. Et je sens alors ses mains. Elles se sont posées sur ma jupe. Non, elles agrippent ma jupe ! Et je les sens maintenant tirer vers le bas. J’ai beau gesticuler, essayer de me retourner, rien à faire. Tout est trop bien penser, il est trop bien préparer, je commence à me rendre compte que je ne pourrais jamais rien faire. Et la jupe est désormais entièrement enlevé…

Ha oui ! Je les vois, je les vois enfin ! L’entièreté des jambes d’Eve. Je n’ai plus qu’à la retourner pour admirer ces fesses, elles qui sont toujours si joliment dessiné au travers de son pantalon. Et sa culotte noir fais ressortir sa peau, dessine sa taille. Tu es si belle Eve, à te trémousser ainsi, à gesticuler inutilement pour mon grand plaisir. Toi que je désir depuis notre enfance. J’en veux plus.

Je l’entend qui s’éloigne, où va-t-il ? Il va encore chercher une corde ? C’est si humiliant… je suis maintenant allongé à même le sol en petite culotte, sans pouvoir rien y faire… par chance il ne pourra pas m’enlever mon haut, ni rien d’autre d’ailleurs. En m’aillant attacher les mains et les pieds ensemble, cela rend totalement impossible d’enlever mes autres vêtement car ils sont enfilé, il faudrait donc qu’il me détache pour m’en défaire. Et si c’est vraiment ce qu’il souhaite faire, ce sera ma chance. Je n’ai pas besoin de me détacher entièrement. J’aurais juste besoin de quelques secondes pour pouvoir enlever le bâillon et crier. J’ai juste besoin d’une ouverture, d’une toute petite ouverture. Je l’entend qui revient, je dois rester calme, je peux le faire. Mais c’est alors que j’entends un bruit métallique, comme deux lames de frottant l’une contre l’autre. Quoi ? Nan ? C’est pas vrai !? On dirait.. Des ciseaux.

Si je veux pouvoir enlever ton haut ma chère amie, le plus simple et le plus sûr est encore de le découper. Je la vois qui réagis au bruit des ciseaux que je viens d’actionner. Je vais enfin pouvoir te voir comme j’ai toujours rêvé de te voir ma vieille amie. Toi qui a toujours été là.. je vais le faire. Je dois le faire, j’ai tout prévu pour pouvoir en arriver là. Et toi tu m’as fais confiance, tu as été là, présente lorsque j’étais seul, contraint de m’isoler pour me contenir. Tu es venu vers moi… et moi je vais t’imposer ça… Nan, je ne peux pas te faire ça. Toi qui avais confiance en moi, qui t’es préoccupé de moi. Je vais vraiment te faire ca ? Mais j’en ai besoin, dès le premier jour si j’ai décidé de jouer avec toi ,c’est pour ça, pour combler mes pulsions une bonne fois pour toute. Il faut que je le fasse, il faut que tu le fasses Alex ! Regarde là, n’est-elle pas responsable de ce qui lui arrive ? Elle est resté tout ce temps près de toi sans jamais se rendre compte de qui tu étais, elle n’a jamais fais attention à toi, elle n’a jamais essayé de savoir qui tu étais vraiment ! Mais voilà qui tu es, tu es celui qui aime la voir ainsi tienne, celui qui dans la cours de récré à ressenti un plaisir fou à la faire prisonnière et qui aujourd’hui cherche encore désespérément cette même émotion. Alors vas-y, assouvi tes pulsions...

Je l’entend s’approcher. Le son des pas est de plus en plus fort. Puis je sens une main se poser sur ma cuisse. Elle remonte lentement jusque sous mon débardeur et le saisi. Je sens alors le métal froid du dos des ciseaux glisser sur ma peau, au plus bas de mon ventre. Je n’ose plus bouger, je ne peux rien faire. Moi qui habituellement ai toujours le contrôle sur tout, moi qui me dois de tout diriger, c’est moi qui n’as plus aucun pouvoir. J’entends le bruit des ciseaux commencer à couper le tissu. Je peux me visualiser chaque fibre du vêtement se détacher les unes après les autres. Le débardeur retombe sur ma peau, et je le sens glisser jusqu’au sol au fur et à mesure que les ciseaux montent. Maintenant mon ventre est entièrement découvert, et les ciseaux arrivent sous mon bras. La coupure est finie. Je sens qu’on saisi maintenant ma première bretelle. Je sens à nouveau le métal glacé posé sur ma peau, juste entre mon épaule et mon coup. Et en un sifflement rapide je sens la bretelle céder et le débardeur tomber encore plus bas. Un frisson parcours mon corps lorsque l’aire froid vient frôler le haut de ma poitrine. La deuxième bretelle cède tout aussi facilement. Le tissu meurtri est délicatement tiré, puis entièrement enlevé. Je suis maintenant en sous vêtements, ligotée, bâillonnée, les yeux bandés.
La main d’Alex se pose sur mon ventre, et vient se glisser dans mon dos tout en frottant intensément ma peau. Je ne peux m’empêcher de cambré le dos. Je prend une grande inspiration. La main descend maintenant, passant sur ma fesse et s’arrêtant juste dessous, au début de la cuisse. Je la sens soudain serrer ma peau, progressivement mais de plus en plus. Je sens alors une nouvelle main, celle-ci se pose sur ma joue, pour descendre jusqu’à mon cou. Je ne saurais expliquer pourquoi mais je lève alors le menton, découvrant ainsi mon cou. Et le bout des doigts continue à descendre, jusqu’à arrivé vers ma poitrine. La main tourne autour d’un de mes seins avant de commencer à y monter. Je sens alors la paume s’aplatir en haut et cette mains sert alors ma poitrine comme l’autre a serré ma cuisse. Quelque chose se passe alors en moi, une sorte de petite boule de chaleur agréable au niveau de mon ventre, un petite boule commençant à grossir… Puis, sortant de je ne sais où, je sens sur mon torse tomber une goutte d’eau, qui vient ensuite glisser entre mes seins. Qu’est ce que cela peut-il bien être ? Une larme ?

un peu de mal par moment à savoir qui parle ou ressent, mais sinon c'est vraiment intéressant comme histoire

Idem pour moi, le récit est bien construit, il faudrait juste donner une petite indication à chaque changement de personnage...