Episode 1 : Sommeil agité ....
Valentine est secrétaire médicale, âgée de 45 ans, elle est coiffée par une longue chevelure blonde, des yeux noisettes, elle s'habille toujours de façon très stricte : chemisier, jupe courte et chaussures à talons.... Cependant, depuis plusieurs mois, elle a des troubles du sommeils : insomnies, jambes sans repos, apnées régulières.... Sa santé est en jeu et tout cela est dû aux derniers évènements auxquels elle a été confrontée depuis ces cinq dernières années durant lesquelles elle a perdu son mari suite à une longue maladie, elle a fait une dépression qui l'a amenée en surpoids et pour revenir à sa silhouette d'avant le chemin a été long ... Mais les restes provoquent toujours ces difficultés pour dormir ...
Son médecin traitant et un spécialiste, un pneumologue lui conseillent de faire un enregistrement du sommeil pour analyser la cause de ses troubles et de ses insomnies .... De plus, elle confie à un psychologue, qui la suit depuis les évènements difficiles, qu'elle se sent prisonnière, qu'elle aimerait débarrasser sa conscience de cette captivité et étant véritablement restreinte dans des liens, réduite au silence ... Bien évidemment, tout ceci est mentionné dans son dossier médical et va influencer fortement l'examen prévu en clinique quelques jours plus tard ....
Elle se présente donc en clinique un mercredi soir afin d'y passer son enregistrement... Elle se retrouve installée dans une chambre assez grande, repas servi en chambre, télévision et bouteilles d'eau mises à disposition .... Une fois habillée en chemise de nuit, Elle voit un technicien arriver avec une très grande mallette et lui dire les protocoles à suivre durant la nuit ... Cependant son équipement ne va pas se passer comme prévu ...
En effet, le technicien commence à lui équiper, un capteur sur la trachée, treize électrodes, neuf sur le seul visage et 4 sur les jambes, toutes connectent des petits câbles qui seront reliés à un boitier central qui enregistrera tout, des sangles thoraciques et abdominales ainsi qu'une canule à oxygène, le tout relié à l'appareil .... Une fois équipée, le technicien s'approche de Valentine et lui demande de joindre les mains devant elle, elle s'exécute donc, pensant que cela fait partie des protocoles, et il lui entoure de plusieurs tours de sparadrap les mains jointes .... Il lui demande de s'allonger sur le lit et là, avec des sangles utilisées pour maintenir les patients psychiatriques, elle se retrouve les jambes et le corps bloqué sur le lit .... Il achève l'équipement avec une compresse insérée dans la bouche et recouverte de plusieurs couche de sparadrap .... Elle était désormais prisonnière pour son examen, elle avait beau gémir elle devait passer la nuit ainsi ...
Le lendemain matin, l'infirmière qui vient la libérer est surprise de trouver une patiente ainsi harnachée au lit ... Elle jette un regard curieux au dossier médical et dit à Valentine en la libérant :
J'espère que la nuit a été bonne, pour être honnête j'aurais aimé être à votre place !
Sa captivité d'une nuit, son enregistrement ... Tant de réponses sur un si court terme : elle a vaincu sa crainte de la captivité et se passionne désormais pour le bondage et les jeux de liens mais aussi, les résultats ont permis à Valentine d'avoir un suivi grâce à un appareillage poussé pour, peut-être, vaincre définitivement ses démons ....
Petites histoires ....
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- Mars34230
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- Ce que j'adore : Menottes, cordes, tape, bâillon, travestissement, soumission
Petites histoires ....
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
- Mad Hatter
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- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Petites histoires ....
De l'Ordre nait le Chaos.
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Re: Petites histoires ....
EPISODE 2 : Silence !
Léonie est une étudiante en art dramatique qui entre dans sa dernière année d'études à quelques semaines d'obtenir son diplôme, âgée de 25 ans, une belle chevelure brune des yeux bleus. Elle mesure 1 mètre 80 et ambitionne de devenir une grande actrice, son caractère discret lui a permis de travailler au mieux afin de réussir ses examens ... Elle a su s'entourer d'un groupe d'amis avec qui elle répète pour des auditions auxquelles elle rêve, avec qui elle révise pour une entraide bénéfique à chacun .... Cependant, lors des révisions à la bibliothèque, leurs révisions ne respectaient pas la règle primordiale du silence et semblaient gêner les usagers ainsi que Carole, la surveillante de la bibliothèque.
Carole est surveillante de bibliothèque depuis environ une vingtaine d'années, âgée d'une cinquantaine d'années, elle a su faire respecter l'ordre dans son établissement et est passionnée par différents styles de lecture. Ces dernières semaines, lorsque Léonie et son groupe venaient réviser elle a du les rappeler à l'ordre surtout Léonie qui semblait la plus agitée et une fois le retour (temporaire) au calme acté, elle retournait à son guichet et se plongeait dans des ouvrages parlant de bondage, de liens, de bâillons .... Une envie naissante peut-être de donner une bonne leçon à cette étudiante particulièrement perturbatrice....
Un samedi, la bibliothèque était vide, pas un usager dès l'ouverture ... C'est alors que Léonie, pour une fois seule, se présente au guichet de Carole, dès le matin, et, de sa voix la plus calme demande :
"Excusez-moi madame,
Je viens vous voir car j'aurais besoin de vos conseils pour trouver un ouvrage, ma demande va sembler un peu particulière, sur les demoiselles en détresse, les captives au cinéma .... Je veux m'imprégner déjà de ce côté captif en vue de ma future carrière ...."
Carole, réhausse ses lunettes, fixe la jeune étudiante et lui dit :
"Bien ma jolie,
Malgré toutes les fois où j'ai dû vous rappeler à l'ordre pour faire silence avec ta bande de copains, Je vais te conseiller, même si je n'en ai pas envie, mais aucun ouvrage ne te sera utile, crois-en ma connaissance de cette bibliothèque... Rendez-vous ce soir, ici-même, à 18h à la fermeture, vêtue d'une jupe en cuir, d'un haut noir et de chaussures à talons... Je t'initierai volontiers à ce rôle de demoiselle en détresse"
Léonie comprend que Carole lui en veut pour les débordements qu'elle a pu causer dans l'établissement mais elle est soulagée que la bibliothécaire accepte de l'aider dans son projet.... Le soir, la jeune étudiante, vêtue comme cela lui a été demandé, attend que les derniers usagers venus passer l'aprés-midi à la bibliothèque s'en aillent et elle rentre dans les lieux.... Une fois à l'intérieur, pas de bibliothécaire... Elle entend le bruit sourd d'une porte qui claque et de clés qui verrouillent les serrures, les lumières sont éteintes.... Elle s'avance vers le guichet et entend une voix derrière elle dire :
"Bien jeune fille !
A nous deux ! Tout d'abord on va faire les présentations pour établir un climat de confiance... Je m'appelle Carole, je suis la maîtresse de ces lieux ! A partir de l'instant où tu te seras présentée, tu n'auras droit à la parole que si je te la donne et tu devras obéir à mes ordres ... Mais je doute que la parole te serve ce soir ...."
La jeune fille comprend qu'elle ne peut plus reculer et se présente donc :
"Je m'appelle Léonie, je rêve de devenir actrice ... Je me remets à vous ce soir pour ressentir le rôle d'une demoiselle en détresse et j'accepte de respecter vos ordres, y compris la règle du silence ...."
Elle se tient debout alors qu'une présence dans son dos lui attrape les bras et commence, avec une corde, à lui attacher les poignets ensemble, les liens semblent si serrés mais si sécurisants à la fois.... La jeune étudiante se laisse faire comme si elle semblait s'abandonner à cette personne ... Carole lie ensuite les coudes de Léonie et après avoir assise sa captive sur une chaise, elle lui passe les bras attachés derrière le dossier, elle effectue plusieurs tours de corde autour de sa poitrine, qu'elle serre aux barreaux de la chaise .... Une fois l'étudiante attachée à la chaise, la bibliothécaire se trouvant désormais face à sa captive, vêtue d'une robe en cuir, demande :
"Alors Léonie, est-ce que tout va bien pour l'instant ?
L'étudiante surprise réponds :
"Oui Carole, les liens sont efficaces mais j'ai l'impression que ce n'est pas terminé... je me trompes ?"
La bibliothécaire ne réponds pas et elle attache les chevilles de l'étudiante avant de faire pareil à hauteur des genoux .... elle relie les poignets aux chevilles ... Voici Léonie prisonnière au sein de la bibliothèque et, malgré quelques futiles tentatives de se débattre, impossible de se libérer .... cependant le travail est inachevé ... Carole passe derrière l'étudiante, lui carresse les cheveux, puis en tirant assez fortement sur les longs cheveux de Léonie, elle l'oblige à pousser un petit cri, suffisant pour ouvrir sa bouche afin de lui insérer un bâillon boule ! La bibliothécaire, dominatrice et maîtresse, sangle le bâillon au cran maximum et l'étudiante ne peut que pousser un gémissement étouffé ! Pour achever le tout, Carole place un épais foulard noir sur les yeux de sa captive et lui murmure à l'oreille :
"Maintenant Léonie, tu es une demoiselle en détresse.. Bien attachée, bien silencieuse et aveugle ... Ton silence va durer plusieurs heures, tu ne sortira pas d'ici avant la fin du week-end ... Cela t'apprendra à respecter les règles de ma bibliothèque ! Je verrai quel sort je te réserve pour la suite .....
Frustrée, Léonie comprends qu'elle est prise au piège .... Elle tente de crier, de se débattre mais hélas, l'ouvrage de Carole est tel qu'ele doit se résigner assez rapidement à son sort .... Le lendemain après presque 12 heures de captivité, Carole ôte le bâillon en premier et la jeune étudiante demande, les larmes aux yeux :
"Je vous en prie Carole, libérez-moi, j'ai bien compris la leçon, je promets d'être silencieuse à chaque fois que je viendrai à la bibliothèque mais laissez-moi partir ...."
Carole ôte le bandeau, voit la détresse de Léonie sur le visage et réponds à sa captive :
"Bien, je vais te libérer mais j'ai quelques conditions auparavant ... La leçon est apprise, j'attends des garanties. Tout d'abord, tu me tutoies, plus de vouvoiement de politesse, ensuite je te propose un contrat : celui de m'être soumise à la bibliothèque, ta mission sera de ranger les livres, faire le ménage, et aussi à mon domicile, tu viendras habiter avec moi, tu t'habilleras en soubrette et tu seras attachée, bâillonnée et à mes ordres selon mes désirs ... Si tu acceptes, j'ai passer ma nuit à veiller sur toi et à rédiger le contrat en deux exemplaires, il n'y a plus qu'à le signer toutes les deux...."
Laissant le temps de la réflexion à Léonie, la bibliothécaire détache lentement sa prisonnière .... Une fois libre, un petit baiser déposé sur les lèvres de l'étudiante apaise les choses ... C'est alors que sans hésiter Léonie signe le contrat, sous le regard de la bibliothécaire, et lui dit en réponse :
"Carole, je t'appartiens ! Merci pour cette découverte !"
La bibliothécaire signe à son tour le contrat et remet aussitôt le bâillon à Léonie en disant :
"Et maintenant, SILENCE !!!!"
Léonie est une étudiante en art dramatique qui entre dans sa dernière année d'études à quelques semaines d'obtenir son diplôme, âgée de 25 ans, une belle chevelure brune des yeux bleus. Elle mesure 1 mètre 80 et ambitionne de devenir une grande actrice, son caractère discret lui a permis de travailler au mieux afin de réussir ses examens ... Elle a su s'entourer d'un groupe d'amis avec qui elle répète pour des auditions auxquelles elle rêve, avec qui elle révise pour une entraide bénéfique à chacun .... Cependant, lors des révisions à la bibliothèque, leurs révisions ne respectaient pas la règle primordiale du silence et semblaient gêner les usagers ainsi que Carole, la surveillante de la bibliothèque.
Carole est surveillante de bibliothèque depuis environ une vingtaine d'années, âgée d'une cinquantaine d'années, elle a su faire respecter l'ordre dans son établissement et est passionnée par différents styles de lecture. Ces dernières semaines, lorsque Léonie et son groupe venaient réviser elle a du les rappeler à l'ordre surtout Léonie qui semblait la plus agitée et une fois le retour (temporaire) au calme acté, elle retournait à son guichet et se plongeait dans des ouvrages parlant de bondage, de liens, de bâillons .... Une envie naissante peut-être de donner une bonne leçon à cette étudiante particulièrement perturbatrice....
Un samedi, la bibliothèque était vide, pas un usager dès l'ouverture ... C'est alors que Léonie, pour une fois seule, se présente au guichet de Carole, dès le matin, et, de sa voix la plus calme demande :
"Excusez-moi madame,
Je viens vous voir car j'aurais besoin de vos conseils pour trouver un ouvrage, ma demande va sembler un peu particulière, sur les demoiselles en détresse, les captives au cinéma .... Je veux m'imprégner déjà de ce côté captif en vue de ma future carrière ...."
Carole, réhausse ses lunettes, fixe la jeune étudiante et lui dit :
"Bien ma jolie,
Malgré toutes les fois où j'ai dû vous rappeler à l'ordre pour faire silence avec ta bande de copains, Je vais te conseiller, même si je n'en ai pas envie, mais aucun ouvrage ne te sera utile, crois-en ma connaissance de cette bibliothèque... Rendez-vous ce soir, ici-même, à 18h à la fermeture, vêtue d'une jupe en cuir, d'un haut noir et de chaussures à talons... Je t'initierai volontiers à ce rôle de demoiselle en détresse"
Léonie comprend que Carole lui en veut pour les débordements qu'elle a pu causer dans l'établissement mais elle est soulagée que la bibliothécaire accepte de l'aider dans son projet.... Le soir, la jeune étudiante, vêtue comme cela lui a été demandé, attend que les derniers usagers venus passer l'aprés-midi à la bibliothèque s'en aillent et elle rentre dans les lieux.... Une fois à l'intérieur, pas de bibliothécaire... Elle entend le bruit sourd d'une porte qui claque et de clés qui verrouillent les serrures, les lumières sont éteintes.... Elle s'avance vers le guichet et entend une voix derrière elle dire :
"Bien jeune fille !
A nous deux ! Tout d'abord on va faire les présentations pour établir un climat de confiance... Je m'appelle Carole, je suis la maîtresse de ces lieux ! A partir de l'instant où tu te seras présentée, tu n'auras droit à la parole que si je te la donne et tu devras obéir à mes ordres ... Mais je doute que la parole te serve ce soir ...."
La jeune fille comprend qu'elle ne peut plus reculer et se présente donc :
"Je m'appelle Léonie, je rêve de devenir actrice ... Je me remets à vous ce soir pour ressentir le rôle d'une demoiselle en détresse et j'accepte de respecter vos ordres, y compris la règle du silence ...."
Elle se tient debout alors qu'une présence dans son dos lui attrape les bras et commence, avec une corde, à lui attacher les poignets ensemble, les liens semblent si serrés mais si sécurisants à la fois.... La jeune étudiante se laisse faire comme si elle semblait s'abandonner à cette personne ... Carole lie ensuite les coudes de Léonie et après avoir assise sa captive sur une chaise, elle lui passe les bras attachés derrière le dossier, elle effectue plusieurs tours de corde autour de sa poitrine, qu'elle serre aux barreaux de la chaise .... Une fois l'étudiante attachée à la chaise, la bibliothécaire se trouvant désormais face à sa captive, vêtue d'une robe en cuir, demande :
"Alors Léonie, est-ce que tout va bien pour l'instant ?
L'étudiante surprise réponds :
"Oui Carole, les liens sont efficaces mais j'ai l'impression que ce n'est pas terminé... je me trompes ?"
La bibliothécaire ne réponds pas et elle attache les chevilles de l'étudiante avant de faire pareil à hauteur des genoux .... elle relie les poignets aux chevilles ... Voici Léonie prisonnière au sein de la bibliothèque et, malgré quelques futiles tentatives de se débattre, impossible de se libérer .... cependant le travail est inachevé ... Carole passe derrière l'étudiante, lui carresse les cheveux, puis en tirant assez fortement sur les longs cheveux de Léonie, elle l'oblige à pousser un petit cri, suffisant pour ouvrir sa bouche afin de lui insérer un bâillon boule ! La bibliothécaire, dominatrice et maîtresse, sangle le bâillon au cran maximum et l'étudiante ne peut que pousser un gémissement étouffé ! Pour achever le tout, Carole place un épais foulard noir sur les yeux de sa captive et lui murmure à l'oreille :
"Maintenant Léonie, tu es une demoiselle en détresse.. Bien attachée, bien silencieuse et aveugle ... Ton silence va durer plusieurs heures, tu ne sortira pas d'ici avant la fin du week-end ... Cela t'apprendra à respecter les règles de ma bibliothèque ! Je verrai quel sort je te réserve pour la suite .....
Frustrée, Léonie comprends qu'elle est prise au piège .... Elle tente de crier, de se débattre mais hélas, l'ouvrage de Carole est tel qu'ele doit se résigner assez rapidement à son sort .... Le lendemain après presque 12 heures de captivité, Carole ôte le bâillon en premier et la jeune étudiante demande, les larmes aux yeux :
"Je vous en prie Carole, libérez-moi, j'ai bien compris la leçon, je promets d'être silencieuse à chaque fois que je viendrai à la bibliothèque mais laissez-moi partir ...."
Carole ôte le bandeau, voit la détresse de Léonie sur le visage et réponds à sa captive :
"Bien, je vais te libérer mais j'ai quelques conditions auparavant ... La leçon est apprise, j'attends des garanties. Tout d'abord, tu me tutoies, plus de vouvoiement de politesse, ensuite je te propose un contrat : celui de m'être soumise à la bibliothèque, ta mission sera de ranger les livres, faire le ménage, et aussi à mon domicile, tu viendras habiter avec moi, tu t'habilleras en soubrette et tu seras attachée, bâillonnée et à mes ordres selon mes désirs ... Si tu acceptes, j'ai passer ma nuit à veiller sur toi et à rédiger le contrat en deux exemplaires, il n'y a plus qu'à le signer toutes les deux...."
Laissant le temps de la réflexion à Léonie, la bibliothécaire détache lentement sa prisonnière .... Une fois libre, un petit baiser déposé sur les lèvres de l'étudiante apaise les choses ... C'est alors que sans hésiter Léonie signe le contrat, sous le regard de la bibliothécaire, et lui dit en réponse :
"Carole, je t'appartiens ! Merci pour cette découverte !"
La bibliothécaire signe à son tour le contrat et remet aussitôt le bâillon à Léonie en disant :
"Et maintenant, SILENCE !!!!"
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
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Re: Petites histoires ....
L'Empire Contre-Attaque en 15 minutes #PARODIEHan Solo : Est-ce que je peux vous embrasser ?
Leïa : Vous le pouvez.
Han Solo : Est-ce que j'ai votre consentement ?
Leïa : Oui je vous le donne.
Han Solo : Non, parce que je ne voudrais pas donner un mauvais message aux enfats qui nous regarde.
bisous
C-3PO arrivant
C-3PO : Vous avez bien exprimé votre consentement mutuel ?
Han Solo : Évidemment pour qui tu nous prends ?

http://www.hentai-foundry.com/pictures/ ... ie-6-24-21
Bon dans la vie réelle, il s'agit de prendre la décision après avoir laissé du temps au temps…"Maintenant Léonie, tu es une demoiselle en détresse.. Bien attachée, bien silencieuse et aveugle ... Ton silence va durer plusieurs heures, tu ne sortira pas d'ici avant la fin du week-end ... Cela t'apprendra à respecter les règles de ma bibliothèque ! Je verrai quel sort je te réserve pour la suite .....
Frustrée, Léonie comprends qu'elle est prise au piège .... Elle tente de crier, de se débattre mais hélas, l'ouvrage de Carole est tel qu'ele doit se résigner assez rapidement à son sort .... Le lendemain après presque 12 heures de captivité, Carole ôte le bâillon en premier et la jeune étudiante demande, les larmes aux yeux :
"Je vous en prie Carole, libérez-moi, j'ai bien compris la leçon, je promets d'être silencieuse à chaque fois que je viendrai à la bibliothèque mais laissez-moi partir ...."
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Horizon - Les chemins de la censure
Et bien c'est une façon de poser un contrat qui n'est pas très librement et éclairement consenti.

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- Régulier(ère)
- Messages : 36
- Inscription : 05 févr. 2016, 12:04
- Ce que j'adore : Liens multiples, baillons, menottes
Re: Petites histoires ....
Merci pour ce partage car tes histoires sont toujours aussi agréable à lire 
