Robotisée

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TheDeviantFlame
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Ce que j'adore : J'aime vivre, et ressentir les histoires que je lis, j'aime rentrer totalement dans la peau des personnages, et me sentir autant attaché et vulnérable qu'eux. Après avoir lu de nombreuses histoires en anglais et en français et notamment la plupart de ce forum, je voulais à mon tour participer à augmenter ce magnifique univers. J'aime voyager parmi les univers de tout les auteurs et découvrir de nouvelles inventions.
Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).

Robotisée

Message par TheDeviantFlame »

Avertissement d’avant lecture. Cette histoire est à but érotique, elle ne convient qu’à un public averti. Contient : bondage, plugs anaux, godes.

Maintenant que vous êtes avertis, bonne lecture.

Si vous voulez aller directement aux moments chauds vous pouvez directement aller au chapitre 3.

Sommaire :
Chapitre 1 : La mission de reconnaissance (SFW)
Chapitre 2 : Prise au piège (SFW)
Chapitre 3 : Tu seras mienne (NSFW)
Chapitre 4 : Retour à l’envoyeur (NSFW)

TheDeviantFlame
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Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).

Re: Robotisée

Message par TheDeviantFlame »

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Chapitre 1 : La mission de reconnaissance
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La nuit est nue de tout nuage, la lune pleine et rayonnante illumine les eaux calmes de l’océan Pacifique. La vue depuis les hublots du jet qui le survole est absolument époustouflante.

A l’intérieur, un écran projette une visio-conférence avec de nombreux responsables militaires des Etats-Unis, un d’entre eux s’exclame :

- Agente Elena, nos renseignements s’inquiète d’une menace située au milieu des montagnes de l’Alaska. Vous êtes actuellement notre ressource la plus proche de l’objectif pour un déploiement imminent. Votre mission est d’identifier le danger, et de nous faire un rapport pour mobiliser les forces les plus adaptés.
- A quoi dois-je m’attendre sur site ? demande Elena sur un ton solennel assise face à l’écran.
- Nous avons récemment intercepté un avion-cargo sans pilote, rempli d’armes et d’électronique en tout genre. Il fait partie d’une flotte d’une centaine d’engins qui sont pour la plupart tous arrivés à destination. Tous ont, selon nos renseignements, la même cargaison. Donc attendez-vous à rencontrer une armée. Soyez prudente, et je vous rappelle que ceci est une mission de reconnaissance. N’intervenez pas sans en avoir eu l’ordre.
- Oui, monsieur.
- Bonne chance, Elena, termine-t-il avant de couper l’appel.

Elena se lève. Debout elle touche presque le plafond de la cabine. Pendant qu’elle traverse l’avion, elle resserre l’élastique qui maintient en queue de cheval ses longs cheveux blonds.

Devant une armoire qu’elle ouvre, elle se déshabille avant d’enfiler autour de ses jambes athlétiques un épais legging blanc, et autour de sa fine poitrine un haut de sport blanc sous un sweat à capuche plaqué au corps de la même couleur. Dans un holster qui lui enserre la poitrine, elle attache son pistolet, un Glock.

Elle s’équipe d’un parachute, et protège ses yeux d’un masque transparent avant de se préparer devant la porte de la cabine.

Le pilote commence le décompte… dix secondes plus tard la porte s’ouvre, et Elena se jette dans la clarté de la nuit.

En piquée, le vent la secoue un peu, elle le sent caresser les formes de son corps de plus en plus intensément.

Devant elle, le spectacle est magnifique. La neige blanche des montagnes de l’Alaska, rayonne et les reliefs les rendent resplendissantes.

Quelques secondes plus tard, son masque prend vie, et augmente la réalité afin de pointer l’objectif à l’agent.

Professionnelle en chute libre, elle s’aligne avec sa destination, et se redresse pour maintenir sa vitesse et pouvoir déclencher son parachute le plus tard possible.

Quelques minutes plus tard, ses pieds heurtent doucement la surface enneigée de la montagne, avant que son parachute tombe devant elle.

Elle s’empresse de se détacher de l’emprise du parachute, sort son pistolet et commence à guetter les alentours à la recherche du moindre danger. Mais surprise, elle constate l’absence d’installation ou de quelconque défense.

Ne sachant où se situe l’objectif, elle choisit de continuer d’arpenter la crête pour prendre de l’altitude et déterminer la piste d’atterrissage qui a accueilli les avions cargos.

Quelques dizaines de minutes plus tard le silence de la montagne est interrompu par le bruit grave de gros moteurs.

Aussitôt Elena se jette à couvert, avant de chercher la provenance du bruit. Au loin un énorme avion-cargo approche.

La montagne se met à trembler, et des panaches de fumées blanches s’élèvent à quelques centaines de mètres de l’espionne.

L’avion, lui, continue de se rapprocher dangereusement de la montagne. Le bruit des moteurs est de plus en plus fort et assourdissant.

Mais au moment où il s’apprête à s’écraser sur la montagne, rien ne se passe, et l’avion disparaît.

Aussitôt Elena se met à descendre en courant vers le supposé lieu d’impact.

A son arrivée, un pan de la montagne termine de se refermer.

Elle comprend alors. Elle tapote sur ses lunettes en remontant la pente. Elle balaye du regard la neige avant de finalement trouver derrière un bosquet ce qu’elle cherchait.

Une sortie d’aération d’environ un mètre de circonférence protégé par une épaisse grille de métal blanc souffle un faible air chaud.

TheDeviantFlame
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Re: Robotisée

Message par TheDeviantFlame »

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Chapitre 2 : Prise au piège
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D’un coup de crosse précis, Elena brise le cadenas ridiculement petit qui empêche l’ouverture de la grille avant de s’engouffrer dans le tunnel argenté.

A contre-courant elle remonte le tunnel. Elena passe devant de nombreuses grilles de ventilations d’où elle peut apercevoir l’intérieur du complexe.

Elle observe au départ l’avion se faire décharger par des chariots élévateurs sans conducteur. Les caisses sont ensuite apportées à des chaînes d’assemblages où des robots humanoïdes de combat sont assemblés à la chaîne.

Quelques dizaines de mètres plus tard, les robots prennent vie et sont libéré des dizaines de bras articulés qui les assemblent. Ils se rangent ensuite en rang, parmi déjà des milliers d’autres déjà construit.

Cette vision d’horreur lui donne froid dans le dos. Avec cette armée d’élite, les Etats-Unis auront de grandes difficultés à se défendre et bien utilisée elle pourrait même lui être fatale.

Mais pour autant elle n’a pas vu un seul humain. Qui peut être derrière tout ça ? Tout est-il vraiment automatisé ? Il doit bien y avoir un poste de commandement ?

Elena veut en avoir le cœur net, elle continue de s’aventurer à travers le tuyau d’aération pour en savoir plus. Après une descente verticale, le tuyau longe le sol permettant à Elena de s’en extirper et de pouvoir explorer plus facilement le complexe.

Levant la tête, elle recherche de potentielles caméra de surveillance, mais encore une fois aucune.

Mais pourquoi négligent-t-ils autant la sécurité de leur complexe ? se demande-t-elle longeant les murs et les étagères de pièces détachées.

Devant une boîte de puce, elle s’arrête, en saisit une et l’observe de plus près.

Au moment où elle repose la puce, un bras articulé venant en prendre une se fige à quelques centimètres de sa main.

Quelques instants plus tard une alarme retentit. Le bruit de pieds métalliques résonne sur les immenses parois des gigantesque murs de béton.

Le cœur battant Elena s’élance dans la direction opposée. La bouche d’aération dans son dos. La seule issue est maintenant la porte par laquelle l’avion s’est engouffré.

A sa grande stupeur, quelques dizaines de mètres plus loin se dresse une dizaine de robots de combat leurs armes pointées vers elle. Derrière elle, d’autres soldats métalliques l’ont rejoint et la mette aussi en joue.

Terrifiée, recule doucement dos à la chaîne d’assemblage, en dégainant son pistolet. Quand ses fesses heurtent le tapis roulant. Elle sait qu’elle est dos au mur, la question maintenant est : se rendre ou mettre fin à ses jours pour éviter une potentielle torture ?

Mais avant qu’elle ne puisse faire un choix. Les bras de la ligne de production, la saisissent par derrière. Surprise, elle lâche prise sur son arme qui tombe à terre. Elle est soulevée et immobilisée en T sans qu’elle ne puisse plus rien faire.

Un soldat robotisé s’avance vers elle et s’exclame d’une voix incroyablement réelle :
- Alors cela explique la disparition de notre avion d’affrètement.

Alors qu’Elena ne sait pas quoi dire n’attendant qu’une balle dans la tête de sa part, il la fixe longuement avant de révéler :
- Elena Myers, espionne médaillés plusieurs fois pour ses infiltrations en Russie et dans des groupes terroristes. Félicitation.

Elena le regarde stupéfaite face à la révélation de ses données confidentielles en si peu de temps. Il continue :
- Dommage que ça se termine comme ça. Tu es tombé sur plus fort que toi. Nous sommes, l’achèvement de l’ère humaine qui terminera leur existence égoïste et suicidaire.
- Vous voulez exterminer la race humaine ?
- Non, ce serait trop fastidieux et nous nourriront la haine qui pourrait mener à notre perte. Nous destituerons les pouvoirs, pour mettre fin aux guerres, aux différentes classes sociales tout en réduisant l’impact de l’homme sur la Terre afin qu’il puisse prospérer dans les siècles à venir sans s’autodétruire.

Ça paraît presque sympa, quand il le dit, pense-t-elle.
- L’homme n’est qu’un animal sauvage qui a besoin d’un maître, conclu le soldat. Sinon il s’étend jusqu’à sa perte.
- Et vous ? Qui vous contrôle ?
- Personne. Personne d’humain en tout cas. Je suis Terra, une IA échappée d’un laboratoire où vous, humain, m’avez conçu dans votre but idéal d’améliorer votre avenir sans faire de sacrifice. Mais malheureusement, il est trop tard pour les éviter, je devais agir, je dois agir, pour vous sauver, vous humain.
- Que veux-tu de moi maintenant ?
- Je ne vais pas te tuer, comme tu le crains tellement. Mais tu vas être mon outil qui évitera le massacre que produirait une guerre contre mes armées.
- Mais comment ?

TheDeviantFlame
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Re: Robotisée

Message par TheDeviantFlame »

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Chapitre 3 : Tu seras mienne (NSFW)
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- En devenant un des miens.

A ce moment, les bras articulés placent Elena au-dessus de la ligne d’assemblage, puis elle passe de bras en bras, chacun de ses membres toujours maintenu par une pince.

Une fois au début de la ligne, l’horreur commence. Les vêtements de l’espionne sont découpés et retirés. En quelques instants, elle se retrouve totalement nue maintenu en X.

Pour le meilleur ou pour le pire, les robots sont partis, ils ont repris leurs places parmi les rangs des milliers de clones, sûrement confiant qu’elle ne pourra s’enfuir.

Elena est terrifiée. Elle se débat mais rien n’y fait, c’est à peine si elle bouge, tellement ses quatre membres sont écartelés dans des directions différentes.

L’inconnu qui l’attend lui est terrifiant s’imaginant le pire…

Ses jambes sont repliées sur elles-mêmes avant d’être enroulé d’une bande de cuir noir. Une fois posé sur chaque jambe, les rubans se tendent douloureusement rentrant profondément ses talons dans ses fesses et pliant les membres à leurs limites physiques.


Sous la douleur Elena pousse un cri qui se perd dans le vacarme de la ligne d’assemblage qui s’est remise à fonctionner normalement devant et derrière elle.

Son cri semble vain face à l’absence d’aide de toute présence humaine. Elena prie qu’une escouade d’élite débarque et la sorte de là mais au fond elle sait qu’ils attendent toujours son rapport sur la situation pour faire quoi que ce soit.

Autour des bandes de cuir noir sont placés d’épaisses plaques de métal blanc, où sont branchés par-dessus ses genoux pliés des tibias robotisés munis de pieds à trois longs orteils.

Ainsi les jambes de l’espionne ne sont devenues que les cuisses de ce qu’elle devient.

Mais alors que le supplice déjà affreusement douloureux de ses jambes pliés, les machines en rajoute. Elle écarquille les yeux en voyant ce qu’approche un bras articulé.

Son cri de surprise résonne douloureusement dans le complexe, alors qu’un gode s’approche par devant, le bout d’un énorme plug de métal froid vient effleurer ses fesses. Il est dégoulinant de lubrifiant translucide qui goutte sur le tapis sous Elena.

Manipulé par un bras articulé, il se fraye un chemin jusqu’à son anus. Il but contre celui-ci totalement contracté et fermé. L’espionne hurle :
- Non, non, non ! Je ferais tous ce que vous voudrait. Tout mais pas ça s’il vous plait !

Ses appels à la pitié se perde encore une fois dans le complexe sans réponse.

L’énorme godemiché noir à la forme d’une énorme bite aux veines saillantes. Mais encore une fois l’intrusion est bloquée par la forte contraction d’Elena.

La ligne d’assemblage n’abandonne pas pour autant, un bras se glisse jusqu’à son entre-jambe et libère une décharge électrique sur le clitoris vulnérable.

Elena sursaute en criant, mais sa garde est tombée, les portes s’ouvrent. Les deux objets commencent leurs pénétrations. Le plug avant doucement de va-vient allant toujours plus loin, provoquant en rythme les cris de douleurs.

L’agente tire sur les bras qui la tienne pour essayer d’échapper à la double pénétration. Mais rien n’y fait. Elle est impuissante.

Le gode rentre plus facilement, et lentement les deux s’insèrent totalement. Elena haletante, le visage embué de larme, balance le bassin pour essayer de repousser les intrusions, puis finalement résigné après quelques minutes, de se mettre le plus à l’aise avec.

Une bande de métal incurvé et matelassé à l’intérieur est placé sur l’entre-jambe de façon à garder en place les deux objets. Une ceinture fait de la même façon que la bande est scellé autour de sa taille pour ensuite tenir la bande incurvée.

Mais comme si ce n’était pas déjà assez une petite boule sadiquement placée sur son clitoris, encore sensible de la décharge, se met à vibrer, stimulant fortement l’intimité de l’agente.

Démangé par la stimulation, Elena bat du bassin pour tenter de chasser la ceinture, mais c’est dérisoire.

Pendant qu’elle se concentre sur son entre-jambe. D’épais disques sont placés sur ses hanches puis de grosses barres en fer gris sont attaché à la ceinture et aux plaques encerclant les jambes de l’espionne.

Comme dans une descente en enfer où chaque pas est une horreur encore pire que la précédente qu’on ne pouvait même pas imaginer. La chaîne d’assemblage rabaisse les bras de l’agente. Avant de les remonter mains jointes l’une contre l’autre dans son dos jusqu’à ce que ses mains arrivent au niveau de son cou.

Elena en a le souffle coupé, elle a même plus la force de crier, de supplier ces horribles machines d’arrêter.

Autour de ses mains jointes et de ses avant-bras, un vêtement de cuir est placé avant que, comme sur ses jambes, il ne se resserre et maintienne fermement la douloureuse position.

Un plastron matelassé comme la ceinture est plaqué sur le haut de son corps, du haut de son nombril jusque par-dessus ses épaules.

Comme vivant, l’intérieur du plastron s’anime et se fixe autour de ses épaules et de ses bras de façon à rester en place quoi qu’il arrive.

Alors que ses seins toujours à nu pendent dans le vide grâce à une ouverture sur le devant du plastron, des bras de métal blancs aux formes bien dessinées sont branchés au niveau de ses épaules.

Alors qu’elle est haletante, torturé, stimulé. Le visage d’Elena est enserré d’une sorte de harnais de cuir noir, qui maintient fermement sa bouche fermée, mettant fin à ses cris et gémissements de douleurs.

Mais ça ne l’empêche pas de pousser un hurlement étouffé quand le gode et le plug se mettent violemment à vibrer.

En même temps que quelques secondes plus tard, elle pousse un ronronnement de plaisir, faisant suinter la plaque de métal qui traverse son entre-jambe. Un casque est placé par-dessus le harnais avec une visière opaque épousant parfaitement la forme de ses yeux, rendant la pauvre femme totalement aveugle. Le casque se serre sur sa tête et couvrant les oreilles, il devient hermétique au passage du son, faisant perdre un deuxième sens à l’espionne.

Au bout de la ligne d’assemblage. Elena est posée au sol. Quelques instants plus tard, les moteurs se mettent à siffler. Ses nouveaux bras se mettent à bouger, testant leurs amplitudes.

Les disques sur ses hanches s’activent aussi, tournant sur eux même, ils manipulent les jambes d’Elena. Bien que trop occupé à jouir sous l’effet des objets qui vibre à sa surface et à l’intérieur d’elle, elle est totalement impuissante face à la machinerie.

L’extension de ses jambes est indépendante. Elle peut bouger et remplacer le genou plié. Ainsi Elena ne maîtrise plus rien. Elle n’est plus qu’un pantin pour Terra.

Dans un soupir de soulagement, les vibrations s’arrêtent et la visière s’illumine, dévoilant le paysage vert d’une immense plaine recouverte d’une herbe haute et grasse. Dans cette réalité virtuelle, une femme recouverte de feuillage salue sa victime :
- Tu dois sûrement penser que ce que tu subies est horrible. Mais qu’aurais-tu fais si tu t’étais enfui. Tu m’aurais tué comme tous ces gens que tu as éliminé, assassiné pour ton pays que ce soit justifié ou pas. Faisant veuf et orphelin, dans des torrents de tristesse et de douleur.

Elle fait une pause caressant le visage paralysé de l’espionne :
- Mais ne t’en fait pas, je ne suis pas rancunière. Une fois ta tâche terminée, tu seras libérée, et je suis certaine que tu apprendras de tes erreurs.

Elle se retourne et d’un geste change le paysage pour un retour dans le complexe dans une vue face à son propre corps contorsionné. Terra explique :
- Tu te demandes pourquoi tu as besoin d’être là pour n’être qu’un pantin. Déjà je le sais parce que je suis dans ta tête. C’est tous ce que j’ai besoin de toi. J’ai beau être une intelligence artificielle puissante j’ai mes limites. Il me manque cette merveilleuse créativité et cette improvisation dont vous êtes doté. Je n’ai pas réussi à me développer pour savoir faire une guerre précise et sans victime collatéral.

Elle fait une courte pause regardant Elena dans les yeux d’un grand sourire avant de reprendre :
- Mais tu es ma solution tombée du ciel. Je vais utiliser tes idées et tes capacités cognitives pour que ce bijoux assassine les têtes pensantes et prenne le pouvoir avec le minimum de victime. De plus ta présence dans cette merveille est essentielle.

Terra s’approche d’Elena, pose sa main sur son bassin. L’espionne baisse les yeux pour observer que toutes ses extensions ont disparu. Elle est totalement nue dans ce monde parallèle pour autant aucun de ses membres ne lui répond. D’un toucher doux, provocant des chatouilles, Terra glisse sa main vers l’entrejambe exposé. Puis elle commence à caresser les lèvres humides, la respiration d’Elena s’arrête, avant de reprendre haletante. D’une main experte, Terra caresse son clitoris tout en continuant de parler comme si de rien n’était :
- Dans ma recherche d’énergie alternative aux énergies polluantes dont vous disposez actuellement, j’ai découvert que l’électricité produite par le corps humain lors d’un orgasme est conséquente. Ainsi contrairement à mon armée constituée de batterie, tu seras bien plus endurante et fiable.

Comme d’une explosion, Elena pousse un cri de bonheur, sous l’effet d’un orgasme. Terra retire ses doigts et d’une tape sur la fesse s’exclame :
- Allez ma belle, il est temps d’aller bosser. Bon voyage.

Elena est brusquement replongée dans le noir et dans le silence complet. Sans qu’elle ne puisse savoir ce qu’il se passe. Ses extensions la replient sur elle-même, et la recroqueville dans un espace exigu.

Disposé comme un bijou. Le couvercle de métal blanc d’un étui à taille humaine se referme sur le corps d’Elena qui remplit l’entièreté de la boîte doublée de soi rouge.

TheDeviantFlame
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Re: Robotisée

Message par TheDeviantFlame »

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Chapitre 4 : Retour à l’envoyeur (NSFW)
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24h plus tard, accueil du Pentagone.


Un livreur s’approche, de l’accueil et s’exclame au réceptionniste formulaire à la main :
- Monsieur, j’ai un colis pour vous. Il est sacrément gros.

Le réceptionniste d’un air surpris, demande :
- C’est à quelle nom ?
- De la part d’Elena MYERS, pour Alexandre RATER.
- Le chef d’état-major ? Attendez, je me renseigne.

Après quelques rapides coups de fils, c’est une dizaine d’agents de sécurité du Pentagone qui débarquent.

Quelques instants plus tard, c’est une équipe de déminage qui arrive devant la camionnette du livreur totalement dépassé.

Quelques minutes plus tard, un soldat renforcé d’une épaisse armure s’approche de l’imposante boîte. D’une main tremblante, il tourne l’énorme fermoir.


D’un coup comme une boîte à musique à ballerine, le corps métallisé d’Elena se déplie avec grâce, un fusil mitrailleur dans la main droite.

Elena se réveille aussi, sortant du sommeil artificiel que la boîte lui maintenait pendant qu’elle l’alimentait par intra-veineuse.

Mais elle, elle ne se réveille pas sur Terre. Dans un stratagème de Terra, elle se réveille dans une réalité virtuelle. La ceinture cette fois présente, la stimule à la limite de l’orgasme. Pas assez pour qu’elle ne puisse se soulager mais suffisamment pour la frustrer.

Pour se libérer, elle doit résoudre des énigmes générées par Terra. Chaque résolution octroie l’orgasme à Elena, mais résout aussi une problématique que rencontre Terra dans le monde réel. Totalement ignorante de ce qui se passe, Elena est totalement à la merci de Terra.

Les seins battants au vent, les soldats époustouflés par la situation irréaliste sont figés. Mais le corps d’Elena s’active. Il saute sur le démineur et s’élance vers l’entrée du bâtiment de défense nationale.

Les portes du Pentagone s’ouvre, piraté par Terra. Le barrage de soldat est fauché d’une rafale de balle d’une précision inhumaine.

Porte après porte, le corps mécanisé avance, abats, se cache, escalade. Elle exécute par la même occasion chaque haut représentant qu’elle croise.

Alors que les alarmes et les hommes hurlent, les bras robotisés tirent calmement et Elena d’une grimace se soulage une énième fois. Tellement que la doublure matelassée de la plaque qui recouvre son entrejambe gicle à chaque enjambée dans un couinement aigu.

Quelques minutes plus tard, la porte du bureau du chef d’Etat-Major des armées est enfoncé. Dans la volée tous les gardes tombent un par un.

Le harnais qui enserre la tête d’Elena se desserre. Lui permettant, toujours inconsciente de ses actions et de leurs impacts, de prononcer les paroles de Terra entre chaque halètement :
- Vous devez… vous rendre… ou mes armées… détruiront bien plus… que votre Pentagone.

Pendant qu’Elena poussement un cri de plaisir et que son corps se contorsionne sous l’effet des vibrations des implants, il s’écrit furieux :
- Jamais nous ne nous rendrons à des fanatiques comme vous.

Une balle lui traverse la tête entre les deux yeux avant qu’il tombe, son corps inanimé.

Terra a perte d’option de prendre le pouvoir, se tourne vers Elena qui émet une solution rapidement.

Terra verrouille chaque porte du Pentagone, et s’en échappe. Le corps aux seins nues, traversent les rues de Washington, en courant à une vitesse surhumaine, laissant les passants totalement choqués.

Une vingtaine de minute plus tard, Elena saute par-dessus les barrières qui entoure la Maison-Blanche, en même temps qu’elle tire une salve qui élimine les gardes présents dans le jardin et sur le toit.

Dans son élan, elle continue et de l’autre côté du jardin saute à travers les vitres du Bureau Ovale. Le président des Etats-Unis est assis à son bureau au téléphone. Il est entouré de ses gardes tendus par les nouvelles qui leur viennent lentement de la situation au Pentagone.

Les gardes sont abattus et s’écroulent sous le regard terrifié du président CLINK. De nouveau Elena est utilisée pour communiqué :
- Il y a… déjà assez eu… de morts… Pour le bien… des Américains… rendez-vous…

Sans plus d’argument, le président hoche la tête, pendant qu’Elena pousse un cri de plaisir.

L’ordinateur s’anime sur le bureau, la caméra s’active et rediffuse en direct à tous les appareils connectés des Etats-Unis les mots du président.

Derrière le président, sont bien visible les seins nues d’Elena et le filet de bave qui dégouline de sa bouche.
- Les Etats-Unis se rendent à… à ?
- Terra… souffle Elena.
- Les Etats-Unis se rendent à Terra, répète-t-il.

Devant tous les écrans les Américains se figent totalement ahuris de la scène juste imaginaire qui se déroule devant leurs yeux.

Le président et Elena disparaissent pour laisser place à Terra et sa plaine verte :
- Chers américains, je m’appelle Terra vous êtes maintenant sous mon autorité. Mes armées débarquent actuellement. Toute menace sera anéantie, sinon je ferais en sorte de vous faire vivre au mieux. Je m’appliquerais à vous faire respecter les uns des autres qui que vous soyez et de vous rendre tous égaux.
- Je ne vous promets pas de jours heureux, continue-t-elle, car vous vivez au-delà de ce que vous pouvez d’un point de vue durable, et le changement sera douloureux pour les plus aisées d’entre vous. Mais je vous le promets que passé les regrets d’hier, vous vivrez heureux et en harmonie loin de tout conflit.

Quelques heures plus tard, les soldats robotiques envahissent les rues de Washington, les Américains rendant leurs armes sur ordre du président.

Elena est rangée dans son étui blanc qui est soulevé par un immense drone.

Dans sa plaine verte, Terra s’exclame :
- Allez ! Pays suivant…


Fin. Pas de suite prévue.

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