Une journée imprévisible

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Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Il faut bien laisser un peu de suspense ;) . Le nom qu Anastasia allait dire sera révélé dans le prochain épisode de Nina. Cela dit, ce nom a déjà été évoqué dans l histoire, dans un seul récit. .. :)

nonobound
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

j'ai bien une idée, et quelques pistes, mais je dévoilerais rien pour ceux qui n'en ont pas ^^

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fredchl
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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

Je note plusieurs répétitions, qui a force, finiraient par devenir... répétitives : Nina qui prends sa douche et s'habille pour l'intro...
Et la police qui débarque systématiquement à la fin pour la liberer ! :langue:

C'est toujours le problème lorsqu'on écrit un récit... Il faut faire preuve d'imagination pour se renouveler ! ;)

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

C'est vrais qu'il y a des événements qui se répète. Mais j aime que l on sache comment je suis habillée avant d être attachée. La douche c'est tous les jours qu'on la prend :) et pour la police... Selon les situation c'est souvent le seul moyen d être sauvée. Pour ce dernier point je vais tenter d innover. Cela dit, les aventures d Alicia sous justement différente de ce côté là :)

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Voici la suite de mes aventures...1ère partie à suivre...bonne lecture à tous :)


Les clients
Nous sommes samedi, je suis en ce moment même en voiture avec Yuri. Il est 09h00 du matin. Je porte une jupe grise, courte m’arrivant au-dessus de genoux. Je l’ai attachée avec une ceinture noire très fine. Je porte un top blanc pour le haut, et j’ai enfilé des talons noirs aux pieds. Je porte une montre à ma main gauche, le bracelet est en cuir noir et le cadran doré. Mes cheveux sont longs et lisses. Nous allons en direction de la prison. C’est là que se trouve Anastasia, en attendant son procès. Elle est prête à nous confier des informations, dit-elle. Je suis prête à parier qu’elle voudra négocier sa liberté. Mais je ne me fais pas de soucis, aucune chance qu’elle soit libre, après ses affaires crapuleuses et surtout après m’avoir kidnappée et tenté de me tuer. Mais voilà que nous sommes arrivés à destination.
Nous entrons avec Yuri, les gardes nous installent aux visite, Anastasia est derrière une vitrine menottée. Yuri et moi nous nous asseyons face à elle. Anastasia prend la parole :
« Vous ne manquez pas une occasion de vous faire élégante, ma chère Nina »
« Vous disiez avoir des informations importante à nous communiquer Anastasia, auriez-vous menti ?» reprend Yuri.
« J’ai effectivement quelque chose qui pourrait beaucoup vous intéresser. Je suis sûr Nina, que vous désirez savoir qui m’a expliqué que c’était vous qui aviez renseigné la police lors cette précédente affaire ».
« En effet. Mais j’imagine que vous désirez quelque chose en échange ? » je reprend.
« Vous êtes perspicace Nina. Je veux une immunité contre cette information. »
« Même si nous serions prêt à vous l’accorder, ce qui n’est pas le cas, nous ne disposons pas de ce pouvoir. En aucun cas une tentative de meurtre ne pourra être oubliée. Voilà ce que nous vous proposons : vous pourrez regagner votre résidence, sous surveillance, vous porterez un bracelet électronique au pied. Vous ne serez pas libre, mais ce sera plus confortable que la prison. Je ne pense pas que la prison soit quelque chose de très agréable pour une femme riche comme vous » termine Yuri. Anastasia reprend :
« Mmmm, effectivement je ne pense pas pouvoir obtenir beaucoup plus. Très bien, montrer moi le document »
Je sors le contrat émanent du juge. Anastasia relis le document et le signe. Aussitôt elle réplique :
« Je ne connais pas nom, ni son prénom, juste son pseudonyme, mais étant donné que ce n’est pas n’importe qui, je pense que cela devrait largement suffire. Toutes les informations ont été faites pas échange de mail, le pseudonyme de cette personne est : Thémis. »
« Nous demandions une identité, pas juste un pseudonyme. Il va falloir que nous ayons accès à votre ordinateur ainsi que tous vos mails échangé avec …Thémis » réplique Yuri.
« Bien sûr, je vous aiderai aux mieux, vous avez ma parole » termine Anastasia.
Nous quittons la prison, une fois dans la voiture je fais à Yuri :
« Thémis… l’affaire Thémis… ce que contenait la clé USB que tu avais remis à Clara. Vas-tu me dire enfin de quoi il s’agit Yuri ? »
Yuri soupire. Puis après quelques instants il reprend parole.
« Thémis est le pseudonyme d’un pirate informatique. Un des plus doué que l’on ait connu. Son plus gros coup est d’avoir infiltré le système informatique sécurisé du…du MI6 en Angleterre !! On ignore les motivations de ce pirate informatique. La clé USB que j’ai remis à Clara, contenait toute l’enquête de A à Z menée sur Thémis »
« Pourquoi mené vous cette enquête en France » je réponds
« On a pas été épargné non plus. Des informations confidentielles du gouvernement ont été piratée par Thémis. Clara cherche peut-être à savoir qui est Thémis, si elle s’empare de ce pirate, elle pourrait infiltrer n’importe quel système informatique. »
« Oui je comprends. Nous verrons si l’ordinateur de Anastasia nous en dira plus sur l’identité de Thémis. Comme si le geôlier ne suffisait pas, il fallait un autre anonyme !! » je réplique.
« C’est ma priorité pour le moment » réplique Yuri.
Nous prenons la voiture, Yuri me ramène chez moi. Il retourne au poste. Aussitôt qu’il repart, je prends ma voiture et me met en route. En ce qui me concerne j’ai mené beaucoup de recherche sur le Centre, dans lequel j’avais été emmenée en Roumanie par Alicia. Mes recherches ont porté leurs fruits : j’ai découvert que le Centre était gardé par Yvan Soumarov, a qui j’avais déjà eu à faire lors de ces activités de prostitution en France, une chance qu’il n’ait jamais su que j’avais été emmenée dans son centre. Il m’avait déjà capturé une fois, j’avais été sauvée de justesse, la police avait négocié l’abondant du mandat à son encontre contre ma libération. Mais j’ai trouvé mieux encore : le Centre se trouve dans une ville non loin de Sibiu. J’ai donc épluché les vols dans cette destination depuis Lyon, grâce à ma profession, et à la raison de l’enquête, les identités des passagers m’ont été fournies. Afin de filtrer j’ai recherché les voyageurs les partaient le plus souvent dans cette destination. Une cinquantaine de personnes voyageaient régulièrement dans cette ville. Parmi ces personnes, j’ai recherché les informations bancaires de ces voyageurs. Malgré un motif pourtant des plus important, les informations quant aux comptes ont été difficile à lever, heureusement Yuri m’a aider à convaincre les banquiers. Les comptes de huit personnes ont retenu mon attention : ces huit personnes retiraient des sommes colossales, peu de jour avant chacun de leurs voyages en Roumanie. Il y a de grande chance que parmi ces huit personnes, certains soient des clients réguliers du Centre. Alicia m’avait dit qu’ils seraient payés une fortune quand ils m’auraient livrée au Centre.
Parmis ces huit personne, deux d’entre eux vivent à deux heures de chez moi. Je vais commencer par eux. Lorsque j’espionnait Yvan, j’avais découvert un site internet, très confidentiel, sur lequel des images des filles étaient présentées, la somme était indiqué juste à côté pour coucher avec ses filles. Il y a des chances que ce site soit également utilisé pour les clients du Centre. L’homme que je vais voir se nomme Théodore, Pdg d’une entreprise de fabrication de ceintre, assez fortuné. La deuxième personne, Henry, habite à quelques pas. Il est moins fortuné mais dispose également d’une bonne situation professionnelle. Plusieurs vols avaient pour les deux personnes avaient été enregistré par Théodore, ils sont amis, et font sont peut-être tous les deux clients du centre. A quelque part, j’espère me tromper, Théodore est marié, et le Henry est marié et père de famille, de trois enfants. Mais après tout ce que j’ai vu, je dois tout de même m’attendre au pire. Et si tel est bien le cas, je les remettrai à la police, ils témoigneront de l’existance du Centre et pourront surement révéler de précieuses informations sur le Centre et même Sumarov.
Après deux heures de route je parviens à la résidence de Theodore. Je me dirige vers la porte, je sonne. Theodore ouvre la porte et me fait :
« Bonjour…charmante demoiselle ! Que puis-je pour vous ? » Theodore doit avoir la quarantaine, cheveux noir en bonne condition physique. Je réponds :
« Bonjour M. Theodore Salace, je m’appelle Nina Averine, je suis journaliste de L’Instant. Je rédige un article portant sur le succès des PME. Cela porte sur les entreprises partant de rien sur un concept simple, gagnant succès et promouvant de larges offres d’emploi. J’ai lu votre parcours ainsi que celui de votre entreprise que vous avez créé à partir de rien et vous êtes une personne idéal pour une interview. »
« Ah je vois. Oui en effet, c’est un bon résumé de mon parcours. » réplique-t-il, je reprends :
« J’avoue que je tombe un peu à l’improviste, mais comme je devais passer par ici aujourd’hui, je me suis permise de passer vous voir directement. Si vous n’êtes pas disponible et que vous préférez planifier un entretient, je comprendrais parfaitement »
« Non, non non non. Je serais honteux de ne pas vous recevoir alors que vous êtes venu spécialement. Ce sera avec grand plaisir …puis-je vous appeler Nina ? »
« Bien sûr » je réplique avec un grand sourire « vous êtes très aimable !! ». Il me fait entrer. J’étais sûr qu’il tomberait sous mon charme.
Une personne se trouve à l’intérieur. Je le crois pas, il s’agit de Henry, il me fait timidement :
« B…Bonjour….Mademoiselle »
« Nina Averine, très enchentée, Monsieur »
« Mon nom, euh…je…je m’appelle Henry. Oui, appeler moi Henry. »
« Henry, cette Nina est une journaliste qui désire faire une entretien sur mon entreprise. Excuser mon ami Nina, il ne s’attendait pas à ce qu’une aussi jolie fille débarque ici. »
« Vous êtes gentil, mercii ! Heureuse de faire votre connaissance également Henry »
« Moi aussi mademoiselle…Averine ! » termine Henry. Henry est un peu plus petit que Theodore, brun il porte des lunettes. Je fais à Théodore :
« Auriez-vous un ordinateur et une imprimante. Toutes mes questions sont sous clé USB. Je suis partie un peu précipitamment de chez, je m’excuse, c’est vraiment exagéré de ma part. »
« Non, non ne vous excusez pas. J’ai absolument tout ce qu’il vous faut. » réplique Théodore. Il me fait assoir sur le fauteil et y installe un ordinateur portable.
« Voici mon ordinateur personnelle, vous pourrez vous en servir pour imprimer vos questions ! Puis je vous offrir quelques chose à boire à cette charmante demoiselle ? »
« Vous me flattez !! Oui je prendrais bien un thé s’il vous plait ».
« Avec grand plaisir Madeoiselle. Henry, tu peux m’accompagner dans la cuisiine ? »
Les deux amis quittes la pièce. C’est parfait. Je consulte immédiatement l’historique de son ordinateur. Il y a des films pornographique dans l’historique d’aujourd’hui, quelle honte ! Je regarde le jour précédent. Je ne m’étais pas trompé, le site mis en place par Yvan. Je tombe aussi sur des confirmations de paiement sur le site. Parfait, j’imprime le tout, l’imprimante est tout près de moi. Rien ne sort. Peu importe, ils sont encore dans la cuisine, je prends leurs téléphone et appelle immédiatement la police locale. Pendant que je fais le numéro je entends Theodore :
« Hé hé t’a vus ça ! Putain bien roulée la journaliste, ah oui sacrément sexy !! Celle-là je vais l’inviter au resto après l’interview. Et après, qui sait… »
Décidément quel pervers. Soudain la police décroche :
« Police communale bonjour ? »
« Bonjour, je m’appelle Nina Averine, je me trouve au chemin du plancher 13, je vous demande d’envoyer immédiatement deux agents »
« Puis-je vous demander quel est le motif de cette intervention ? »
J’entends Theodore et Henry en train de revenir, je termine :
« C’est urgent, je vous expliquerai » puis je raccroche. Heureusement, Theodore et Henry n’ont pas vu que j’étais au téléphone.
« Et voilà mademoiselle. Vous avez réussi à imprimer vos questions ? »
« Ah euh, merci !! C’est gentil. Hélas non, j’ai lancé l’impression, mais rien n’est venu. Mais, je suis vraiment bête, je viens de me souvenir que mes questions sont dans un dossier dans ma voiture, ne bougez-pas je vais les chercher. » je leur répond en me levant. »¨
« Oui, très bien, je vous attends » répond Théodore.
« Veuillez m’excusez, je n’en ai que pour 5 minutes » puis je me dirige vers la porte d’entrée, il s’agit de filer maintenant, pas question de prendre de risque !
Alors que je commence à avancer, l’imprimante se met en marche, oh non. Theodore me fait :
« Ah ! voilà que ça imprime. Ma machine a un petit temps d’attente ça arrive, inutile de vous déplacer »
« Oh, euh…en fait…je… je n’ai pas imprimé le bon document. La dernière version et bien dans ma voiture ! Désolé, j’ai vraiment la tête en l’air aujourd’hui !! » je réponds très stressée. Le document est déjà imprimé, je me déplace vers la sortie pendant que Theodore me fait en prenant le document :
« Pas de soucis, c’est vous qui voy…eh mais…AH D’ACCORD !! »
Il a vu que j’avais imprimé sa commande, je saisis la poignée mais il arrive aussitôt près de moi. Alors que je commence à ouvrir la porte, il la referme et me fait :
« Non non non, pas question que vous partiez maintenant. » il vient de tourner le verrou de la porte.
« Votre interview n’était qu’un prétexte, vous vous êtes bien fichue de moi Mademoiselle !! »
« Laissez-moi sortir Théodore ! » je réponds.
« Qu’est ce qui se passe » reprends Henry qui vient également vers nous.
« Tiens regarde par toi-même » répond Theodore en lui montrant la commande. Henry, très gêné, réponds :
« Oh euh…Non…Mademoiselle, c’est…c’est pas ce que vous croyez…c’était..c’était juste une mauvaise blague, un délire entre pote, je vous jure, jamais nous ne.. »
« Oh mais ferme la abruti » s’écrie Théodore « elle est pas dupe, elle sait tout, elle est là pour ça ! »
« Theodore ! » je réponds fermement « Je vous sommes de me laisser sortir maintenant ! »
« Tu vas nulle part ma belle ! » me répond-il.
« Très bien, me retenir constitue une privation de liberté, interprété dans ce cas comme une séquestration. Vu votre situation, je ne vous conseille pas de l’aggraver d’avantage en me privant de me privant de mes droits et en me retenant d’avantage ! »
« Vos droits je m’en fout !!!Je t’ai dit que tu n’iras nulle part c’est clair !!! » me fait Théodore.
Eh zut. Je pensais que je pouvais l’intimider en étant ferme, mais il ne se laisse pas impressionner. Je commence à avoir peur. Il faut que je trouve un moyen de filer d’ici ! Je réponds péniblement :
« Désolé, je…vraiment… je pense pas que nous ayons besoin de nous emporter comme ça… » Je n’arrive plus à trouver mes mots. Oh me voilà de nouveau dans une sale posture.
Soudain une voiture arrive, Theodore se dirige vers la fenêtre en fait :
« C’est quoi ça encore…les flics !!! SALOPE !!!! »
Ouf, me voilà tirée d’affaire. Je défais le verrou est leur dit :
« Vous ne pouvez-vous en prendre qu’à vous-même !! ».
Alors que je commence a ouvrir la porte, soudain, Theodore plaque sa main contre ma bouche, et utilise son autre bras pour enlacer mon corps, je crie de toute mes forces :
« GGGGMMMMMMHHHH !!!MMMMMMMHHHH !!GGGGMMMMMHHHHHHHH !!!!! »
Soudain, Theodore utilise sa main pour prendre un couteau et la plaque sous ma gorge il me fait :
« Ta gueule maintenant ou je te promet que je te tue ».
Effrayée, je me tait instantanément. Il reprend :
« Suis moi, et surtout fait pas la maligne. Henry amène toi !! »
Nous nous déplaçons dans le couloir proche des chambres, il n’y a pas de fenêtre. J’entends crier à la porte :
« Police, c’est la police, ouvrez !! »
« Oui, j’arrive, j’arrive !! » crie Theodore. Il fait à Henry :
« Mets ta main sur sa bouche et empêche la de parler !! » Henry qui semble presque aussi paniqué que moi obéis, il pose fermement sa main sur ma bouche, Theodore lui donne le couteau et lui fait :
« Garde ça sous sa gorge, si il crie tue là ! T’as pas intérêt à hésiter, sinon c’est moi qui te tuerait !! »
Je sens le couteau juste sous ma gorge. J’ai peur, mais je devrais peut-être essayer, Henry n’osera peut-être pas me tuer. Quoi que, avec cette menace je ne peux pas en être sûr. Si seulement je pouvais parler, je suis sûr que je parviendrais à résonner Henry. Theodore ouvre la porte aux polices et leurs fait :
« Bien le bonjour messieurs les agents ! Que me vaut ce plaisir !! »
« Bonjour, nous avons reçu un appel d’urgence venant d’une femme, nous venons inspecter les lieux ! »
« Oh, seigneur, elle fait vraiment chi…. Pardonnez mois, c’est ma fille qui… elle a de gros problème c’est un peu la mauvaise période pour elle ces temps. Elle a fréquenté des mauvaises personnes, et a commencé à se droguer, elle est arrivée dans un état ce matin. Je ne la reconnaissais plus. Elle était dans un de ces délires, elle voulais appeler la police, la CIA… enfin vous imaginer le délire. »
« Oui, à vérité on n’a pas eu beaucoup de détails, on s’est d’abord demander si ce n’était pas simplement une mauvaise blague » réplique l’un des agents.
Espèce de pourriture de menteur !! Rien de surprenant de la part de quelqu’un qui trompe sa femme !! Theodore reprend auprès des agents :
« Oh je comprends, vous devez en avoir des cas dans votre métier. Elle a disparue depuis, je sais pas où la chercher, vous pourriez transmettre son signalement : c’est une jeune fille de 18 ans, blonde, elle prote un blouson en jeans et… elle a vraiment mauvaise mine. »
« Oui, on va transmettre l’info. Si on la trouve on vous appelle immédiatement, on a déjà votre numéro de maison. Bon courage Monsieurs » termine l’un des agents.
« Oh, hélas je vais encore en avoir besoin ! » termine Theodore.
Oh non, ils s’en vont. J’aurais dû crier, ils m’auraient entendu !! Mais Henry, je ne sait rien, il m’aurait peut-être tuée ! J’entends la voiture partir. Theodore crie :
« C’est bon Henry amène toi !! »
Henry me relache et me fait :
« Je suis désolé Nina, vraiment » il est presque aussi tendu que moi, il se dirige vers Theodore.
« Espèce de cinglé » je réponds.
« Je … je reviens, restez là d’accord !? » me fait Henry. Puis il rejoint Theodore. L’escalier qui donne au garage est juste derrière, je descends immédiatement, J’entends après quelques instant Theodore hurler :
« Ah te voilà… mais…FALLAIT VENIR AVEC LA FILLE CRETIN !!! »
Je descends à toute vitesse. Avec un peu de chance la porte du garage sera ouverte. Je prendrais ma voiture et je serai sauvée. Je suis en bas de l’escalier, je vois la porte du garage, je m’y dirige au plus vite. Soudain, Theodore arrive au bas des escaliers. Je tourne la poignée. Oh non bloquée. Je panique, je tourne cette fichue poignée plusieurs fois en secouant !!!Soudain je remarque qu’il y a un verrou sur le côté. Mais aussitôt je sens Theodore me saisir !! Il m’emmène de force vers l’escalier, je crie :
« AU SECOURS, A L’AIDE !!!A L’AIIIIIIIDE !!!!!!GGGGMMMMMHHHH !!!! »Sa main est à nouveau plaquée sur ma bouche. Il me fait :
« Putain t’y étais presque ma belle !!Maintenant arrête de crier ou je t’assomme !! » me fait Theodore. Henry arrive en bas de l’escalier, Theodore lui fait :
« Tu vois ça !! Tu te rends compte !! Elle était à deux doigts de s’enfuir à cause de toi !! »
Puis il rapproche son visage contre ma joue, inspire intensément et me fait :
« Mais je dois quand même avouer…j’ai jamais vu une fille aussi jolie et aussi craquante !! »
Il a l’air en transe, après quelques minutes Henry lui fait :
« Je crois qu’elle est calme, tu peux enlever ta main de sa bouche, je pense… »
Theodore attend quelques secondes et fait :
« Ouais…Tu vas rester sage, hein ma belle ! » je fais oui de la tête. Il me relache. Je commence à vraiment avoir peur. Theodore à l’air…complètement dingue de moi ! Il me fait :
« Euh…en fait…je sais pas quelle heure il est.. il est quelle heure ma jolie, tu as une montre ! »
Je redresse mon bras, avant de prononcer un mot, il s’empresse de saisir mon poignet, il regarde ma montre et ma main comme si il s’agissait d’une paire de sein. Puis il caresse mon poignet, glissant sa main sur montre également. Je lui fais paniquée :
« Il…Il…Theodore il est 15h45….c’est bon, vous pouvez relâchez mon poignet ?? » Il attend un instant et me relâche. Oh tout ça me fait vraiment peur. Theodore fait :
« Allez on remonte tous ! »
Je prends l’escalier devant lui, Henry suit Theodore. Theodore est vraiment excité, je le ressens à sa respiration. Nous sommes remontés au salon. Theodore me fait :
« Assieds-toi Nina »
J’obéis terrifiée, je m’assieds sur le canapé. Theodore et Henry sont debout en face de moi. La respiration de Theodore m’effraye. Il fait à Henry :
« Bon…bien… La journaliste Nina, on peut pas laisser partir Henry tu es d’accord. »
« Ben euh » répond Henry très angoissé « On…on..Tu ne parles quand même pas…non tu ne vas pas la tué Theodore, n’est-ce pas ? » Theodore répond :
« Ah, non, bien sûr que non, on ne peut pas la tuer. On est pas des criminels ! » je réponds péniblement :
« Oui, vous n’êtes pas des criminels, vous êtes raisonnables, vous avez raison » Theodore fait à Henry, avec une respiration qui s’accélère :
« Mais elle a failli partir, tu as vu, il suffisait de peu. On a pas le choix Henry, t’es d’accord on peut pas prendre de risque…il faut l’attacher !!!! » Je réponds :
« Non, s’il vous plait, vous l’avez dit, vous n’êtes pas des criminels. Je vais rester sage, je vais plus essayer de m’enfuir, mais s’il vous plait ne faites pas ça ! »
« C’est vrai Theodore, je pense qu’elle va rester calme, c’est pas nécessaire je pense » reprend Henry. Theodore reprend :
« Non Henry, c’est trop dangereux. Il faut l’attacher. Il faut l’attacher, on pas le choix, il le faut…T’A COMPRIS !! »
« D’accord, d’accord…oui….c’est vrais… il faut qu’on attache la fille !! » réplique Henry effrayé.
« Oui, je savais que tu comprendrais. Va dans ma chambre, dans le dernier tiroir de ma commode j’ai une corde, apporte la moi, je reste avec la fille !! »
« Oui, d’acc…d’accord » répond Henry tremblant. Il se déplace dans la chambre en question pendant que je reste assise face à Theodore. Je vois, son pantalon…il… il est progressivement en train de bander !! Oh j’y suis, l’idée me ligoter l’excite !! C’est pour ça qu’il caressait mon poignet tout à l’heure. Il doit bientôt être en pleine extase !!
Henry redescend avec la corde, corde en chanvre de plusieurs mètres. Ces cordes sont prévues pour le bondage. Theodore lui fait :
« DONNE !! c’est moi qui vais le faire, je m’y connais !! Nina, lève toi ma belle !! »
Je me redresse tout doucement. Puis je me retourne et croise par moi-même mes mains derrière le dos. Theodore me fait :
« Oh, Ouiii !!! Laisses-toi faire maintenant !! »
Puis la corde enlace mes poignets. Vu sa façon de me ligoter, c’est pas la première fois qu’il attache une fille. Il serre le nœud. Me voilà attachée les mains derrière le dos. Theodore s’écrie en caressant mes liens et mes poignets:
« Oui, c’est bien comme ça !!! Assieds-toi, on va discuter un peu Nina»

A SUIVRE…..BIENTOT !!

nonobound
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comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire
Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

elle comprends vraiment pas qu'elle est malchanceuse mdr

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fredchl
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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

toujours à se jeter dans la gueule du loup ! Quelle deveine !... :lol:

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Et voilà la suite, bonne lecture :) :)


Je me rassieds sur le fauteuil, attachée les mains derrière le dos désormais. Theodore me fait :
« Alors, ma jolie Nina c’était moi que tu voulais !! Tu voulais me faire condamner pour mes séjours en Roumanie au centre. … hein avoue ma jolie ! »
« Ce n’est pas à vous que j’en veux » je réplique « c’est le Centre que je veux faire fermer et arrêter ses responsables. Peu importe ce que vous y avez fait dans le passé. Je peux tout faire disparaître. Si vous coopérez, que vous m’expliquez tout ce que vous savez sur ce centre et que vous m’aidez à faire arrêter ses responsables, vous bénéficierez d’une immunité totale pour tout : vos séjour, et même pour m’avoir retenue. »
« Theodore, tu entends. On peut être totalement pardonné. On coopère d’accord ! C’est notre meilleure chance de salut, on est déjà allé beaucoup trop loin ! » réplique Henry.
« Tout ce que vous avez à faire, c’est de me détacher, je contacte la police et je dirais que vous avez coopérer depuis le début » je réponds. Théodore, semble avoir repris son sérieux, bien qu’il semble encore très excité de m’avoir attachée les mains dans le dos. Il reprend :
« Henry mais t’es vraiment con et naïf. Qu’est-ce que tu crois. Dès qu’on la libèrera elle nous fera arrêter, les flics nous forcerons à tout dévoilé, et après ils nous jetterons en prison. »
« Mais Theodore, on va pas pouvoir la garder indéfiniment !! Ta femme doit arriver dans pas loin d’une heure. J’ai des enfants aussi, une famille, tu y penses ?! Alors qu’est-ce qu’on fait d’elle alors ? Dis-moi ?! » réplique Henry.
« On peut pas la retenir ici c’est vrai. Mais j’ai mon chalet, à Chaméry. On peut y être dans même pas une heure. Pour l’instant on la gardera là-bas. J’enverrai un message à ma femme pour dire qu’on mes collègues et toi m’avez fait une surprise en m’offrant un weekend de sortie. On peut rester là-bas en tout cas jusqu’à demain soir. On avisera sur place. T’es avec moi Henry ? »
« Ecoutez, vraiment je ne penses pas que me retenir soit une bonne idée, vraiment, je vous ai dit, je ne veux pas m’en prendre à vous, juste au Centre… » je tente de leur dire.
« Ben je…ouais, c’est vrais ce que tu dis…mais… » fait Henry très hésitant. Il semble complètement dépassé.
« Hey Herny, tu te souviens de la première fois où je t’ai fait venir au Centre » reprend Theodore. « Tu flippais à mort, tu avais peur de te faire pincer….et finalement tu m’avais dit toi-même que tu avais adoré. Tu t’étais même excusé d’avoir autant flipper et tu m’avais dit que ça valais vraiment le coup, tu te souviens ?? »
« Oui, c’est vrai » réplique Henry.
« Alors tu peux me faire confiance sur ce coup non ? Je sais ce que je fais, toi-même tu me le répète » reprend Théodore.
« Oui, c’est vrai » termine Henry. « Oui, et de toute façon on verra sur place, une fois au chalet, on pourra prendre la bonne décision, on ne fait rien de mal au fond »
« Exactement Henry, exactement. Tu vois quand tu veux. » termine Théodore.
Oh non, c’est bien ce que je craignais. Théodore n’a pas envie de me relacher !! Theodore reprend son air excitant et inquiétant. Me deux ravisseurs prennent quelques affaires Theodore fait à Henry :
« C’est pas un weekend sympa ça, au chalet avec une jolie minette super sexy !!! On va prendre ma limousine, les vitres sont teintés, tu prends le volant, je reste à l’arrière avec Nina, il faut bien la surveiller !» Il vient vers moi et me fait :
« Lève-toi ma jolie ». J’obéis et avance devant lui. Il est surement en train de jouir en regardant mes mains attachées.
Je ressens quelque chose de tellement étrange. J’ai toujours détesté être attachée jusqu’à…depuis que j’ai été retenue par le geôlier. C’est très bizarre, car en ce moment, bien que ma situation soit très délicate…je…une part de moi aime être capturée, et attachée. Reprends toi Nina, à force de te faire kidnappée tu deviens folle ! Nous descendons au garage et montant dans la limousine, Henry prend le volant alors que Théodore reste à l’arrière avec moi ! J’aurais pourtant bien préférée qu’il conduise. La voiture à démarrer, nous avons quitté la maison. Pendant que nous roulons, Théodore me fait :
« Tu sais tout à l’heure, quand tu t’es tournée toute seule et que tu as rassemblé tes mains derrière le dos. C’était vraiment bien de ta part. Si tu coopère, je te promet que tout va bien se passer Nina. »
« Je vais coopérez, c’est promis, Théodore !! » je réponds, il me fait :
« C’est très bien, tu vois que l’on peut s’entendre à merveille ».
« Oui, c’est beaucoup mieux comme ça. Je, tu sais Théodore, je ne pense pas que ces liens soient indispensable, tu peux me détacher tu sais. Pi en plus, je ne vais pas me jeter de la voiture pendant que nous roulons ! » je réplique. Theodore me répond :
« Non non non… Tu vas rester attachée Nina. Tu n’as pas besoin d’avoir les mains libre, je m’occupe de toi !! »
Rien d’étonnant. Aucun doute, il aime voir des filles attachées. Il fait à Henry :
« Arrête toi au centre commerciale, j’ai des courses à faire »
La voiture s’arrête dans le parking d’un immense centre commercial.
« Surveille là Henry, je vais faire les courses pour ce weekend. Allez à tout » Puis Théodore quitte la voiture, me laissant seule avec Henry. Je lui fais :
« Henry, vous ne semblez pas être quelqu’un de mauvais. Vous vous rendez bien compte que Théodore est cinglé ! »
« Théodore n’est pas cinglé, il est juste…il sait ce qu’il fait…mais ce n’est pas une criminel, je vous assure !! »
« Il m’a kidnappé et m’a menacé de mort Henry. Est-ce que vous en êtes conscient ! Vous vous rendez compte que vous participez à mon enlèvement ! »
« Je…euh, mais…c’est juste en attendant…au chalet on va prendre le temps de réfléchir et…et je pense que Théodore va revoir votre proposition »
« Théodore n’a pas l’intention de me relacher, il veut me garder sa prisonnière. Vous le savez très bien. Vous êtes quelqu’un de normal, c’est pour cela que ça vous angoisse de faire cela. Lui il y prend plaisir !! c’est un malade !! »
« Non, arrêtez Nina s’il vous…vraiment, je, je …. »
« D’accord, je vais arrêtez, vous pouvez au moins me détacher. Vous avez verrouillé les portes, ces liens ne sont pas utiles vous êtes d’accord ? » je poursuis.
« Non, Théodore a dit que c’était trop dangereux de vous détacher !.. »
« Théodore ma ligoté les mains dans le dos pour la seule raison que ça l’excite. A votre avis qu’est-ce qu’il est allé acheter. Il va prendre d’autres cordes pour m’attacher d’avantage une fois que l’on sera au chalet. »
« Mais non…euh…il…c’est pour avoir de quoi nous restaurer »
« Okay, croyez ce que vous voulez, vous verrez bien quand il reviendra » je réplique. « Est-ce que ça vous a vraiment plus de faire ça au Centre ? De violer une pauvre femme prisonnière ? »
« Je, euhm…Ah de toute façon si je l’avais pas fait ça aurait été quelqu’un d’autre. Pi Théodore m’a dit que c’était des putes qui avaient disjoncté, ce n’est pas des filles…normal ou bien…comme vous .. vous comprenez Nina »
« Oui, vous croyez à tout ce que Théodore vous raconte. Je vais vous expliquez pourquoi je veux faire fermer le Centre. J’ai moi-même été enlevée de force au Centre. Si je ne m’étais pas échappée à temps, j’aurais passé le reste de ma vie à être violée par toute sorte de montre…comme Théodore…Peut-être même vous Henry !! »
« Non, non, non !! J’aurais pas fait ça !! Je ne suis pas comme ça, je suis pas un monstre ! »
« Pourtant vous me gardez prisonnière !! Que dirais votre femme ? Que dirais vos enfants Henry ?? »
« Non, arrêtez, s’il vous plait Nina, je panique déjà assez comme ça !! » me fait Henry. Je lui réponds :
« Alors mettez-y fin. Démarrer cette voiture, allez au poste de police le plus proche, je dirais que vous m’avez sauvée, vous serez pardonné, votre famille sera même fière de vous !! »
« Non je…je sais plus quoi faire !! » Henry est en train de s’effondrer, je lui fais :
« Si, vous savez quoi faire, c’est maintenant qu’il faut agir !! »
Soudain la porte s’ouvre, Théodore est de retour, il s’écrie :
« Regarde ça, regarde ce que j’ai trouvé de beau !! des cordes, bonnes cordes de chanvres, du scotch aussi. On a tout ce qu’il faut, on peut y aller. » Henry se retourne et lui fait :
« Mais…Théodore..elle est déjà attachée, en plus notre chalet est isolé, même si elle s’échappait elle n’aurait nulle part où aller. Et puis pourquoi la bâillonnée, il n’y aura que nous dans ce chalet ? »
« Henry, réfléchis. C’est pour elle, c’est pour la protéger justement. Plus elle sera ligotée, moins on aura besoin de la surveillée, et moi elle aura de risque de s’enfuir et de mourir dans le froid. Pi le scotch c’est si on a pas assez de corde pour l’attacher, j’ai jamais dit que j’allais la bâillonner. Tu vois c’est pour son bien. Allez démarre maintenant, j’ai tellement hâte d’arriver au chalet !! »
Je regarde Henry, en lui faisant comprendre que j’avais raison. Henry me regarde avec pitié puis il fait à Théodore :
« Non attends, vraiment… je trouve qu’on va trop loin là… »
« Mais qu’est ce qui t’arrive tout à coup, on t’a hypnotisé ou quoi !!? » reprend Théodore. Puis il me regarde et il fait :
« Ah ouais, je comprends, elle t’a amadoué avec des mots doux, j’aurais dû m’en douter d’ailleurs. T’inquiète pas, j’ai pensé à tout, et je vais mettre fin à ce problème !! » Théodore coupe un morceau de scotch gris argenté je fais :
« Non, je, arrêter, je n’ai p….mmmmmhhhhhh »
Puis il s’empresse de couper un autre morceau et de l’ajouter sur ma bouche. Me voilà bâillonnée.
« Voilà » reprend Théodore « comme ça elle arrêtera de te prendre la tête avec ses petites paroles. Regarde là tu la trouves pas mignonne comme ça ? Allez démarre maintenant !! »
Henry démarre la voiture, nous quittons le centre commercial et prenons la direction de Chambéry. J’avais pas besoin de lui donner de grand prétexte pour qu’il me bâillonne. Je tente de crier :
« GGGMMMHHHHH !!!MMMMMMMHHHHH !!! »
« Hahaha, tu l’entends !! Ah tu fais moins la maligne maintenant hein !! Mais je te rassure t’es toujours très craquante avec ton bâillon !!» réplique Théodore.
Autant arrêter, ça ne ferais que l’exciter d’avantage !!Quel dommage, quelques minutes de plus et je pense que Henry aurait quitté le centre et j’aurais pu retrouver la police. Mais c’est quand même incroyable !! Comment peut-on se laisser manipuler par un tel cinglé !! Dire que cet idiot obéis aveuglément à Théodore ! Leur femme méritait bien mieux !!
Voilà une bonne demi-heure que nous sommes partis. Je sens toujours mes liens, il m’a bien attaché. Je ne peux même plus leur parler à présent. Théodore meurt d’impatience de m’attacher d’avantage. Je sais à quoi m’attendre. J’ai pourtant essayé de me dégager de mes liens pendant le trajet discrètement pour ne pas provoquer Théodore. Mais rien n’y fait. Je n’ai hélas plus qu’à attendre…
Nous sommes arrivés au chalet en question. Totalement isolé, en pleine montagne, un chalet en bois de plusieurs étage. La voiture est garée dans un immense parking souterrain du chalet. Théodore fait :
« Eh ben c’est pas trop tôt, après vous Nina ». Nous sortons de la voiture et montons à l’étage. Nous sommes dans la pièce principale. Théodore amène une chaise et me fait :
« Asseyez-vous je vous prie ma chère journaliste !! »
Je m’assieds. Mes bras sont derrière le dossier de la chaise. Aussitôt, il assemble mes pieds puis commence à attacher mes chevilles. Les cordes sont vraiment très serrées, il fait :
« Ahhh, ouais !!!mmmmm !!bien ligotée comme ça !!! »Puis il serre le nœud en y mettant toute son énergie. Puis il continue, attachant mes jambes, juste au-dessous de mes genoux. Puis il fait de même, passant une autre corde au-dessus de mes genoux. Puis il prend encore une corde et attache mon corps au dossier de la chaise. Puis il serre le nœud. Il s’éloigne et me contemple :
« Voilà, ma prisonnière !! Ouais, ça c’est bien ! Tu ne t’enfuiras pas comme ça !! » Son pénis est complètement dur, évidemment, il est aux anges de m’avoir ligotée et de me regarder comme ça maintenant.
« Théodore, il faut qu’on réfléchisse maintenant. Qu’est ce qu’on va faire d’elle… »
« Ouais ouais, demain, on a pas le feu » réplique Théodore. « Profite, c’est un bon weekend pour décompresser, met toi à l’aise okay !! »
« Oui..d’accord » répond Henry.
Je n’ai pas encore essayé de me débattre, mais je sens que les cordes sont bien serrées.
« Hey, Henry, amène toi »
Henry redescend et nous rejoins. Théodore lui fait :
« Regardes la, je suis sérieux regarde la bien !! Alors qu’est-ce que tu en dit»
« ben euh…Elle est très jolie !! » répond Henry. Théodore réplique :
« Ouais elle est carrément canon !!! mais la voir comme ça attachée !!!?? »
« Euh, oui elle est belle…elle est plus belle attachée… » réplique Henry terrorisé.
« Ouais, c’est ça !!!Toi aussi tu kiffe ça hein. Tu kiffe quand elles sont ligotées !! »
« Oui, oui j’aime beaucoup c’est…j’adore ! » réplique Henry.
« Ouais, c’est comme ça qu’elle sont plus craquante. D’ailleurs elle aime toutes ! Tu savais que 95% des filles éprouve un orgasme lorsqu’elle sont attachées ? »
« Ah, euh…non…tu m’apprends quelque chose » répond Henry presque aussi effrayé que moi.
« Ah ben oui j’en sais des choses. Tu vois !! Là en ce moment, notre minette, est heureuse d’être ligotée, c’est ce qui lui plait le plus, tu vois c’est un fantasme pour elle »
Alors que Théodore continue de raconter son tissu de mensonge, je reste ligotée sur cette saleté de chaise et toujours bâillonnée, obligée d’écouter ces théories totalement abracadabrantes.
« Bon allez je vais prendre un douche, tu devrais faire pareil. En plus, pas besoin de la surveiller, tu vois que j’avais raison de l’attacher !! » réplique Théodore. Les deux amis me laisse seule dans la pièce principale. Surement pas pour longtemps hélas.
Je tente en vain de me débattre. Evidemment rien à faire, il m’a bien attachée. Il doit bien y avoir des couteaux dans la cuisine. Je pourrais difficilement me déplacer sur cette chaise. Et en plus si ils se rendent comptent que j’ai bougé il m’attachera encore plus !! Non merci !!
Je pense à la tournure de cette journée. Quand je pense que si cette fichue imprimante aurait fonctionné tout de suite, ou juste un peu plus tard, je m’en serais tirée, ces deux monstres seraient au poste de police, et nous aurions d’autres piste pour le Centre. Non au lieu de ça, me voilà prisonnière de ces deux pervers, l’un complètement cinglé et l’autre totalement manipulé ! j’aurais du prévenir Yuri de ce que je faisais. Comment pourra-t-il me retrouver maintenant ?
Après une demi-heure, Theodore redescend. Il caresse mes poignets et mes liens en me faisant :
« je me suis fait tout beau pour toi ma minette !!! Regardes toi !! Toute sexy ligotée dans mon chalet !! » Puis voilà qu’il m’embrasse sur le cou, il commence à me lècher comme un chien, je ne peux pas m’empêcher de crier :
« GGGMMMMMHHHHH !!!MMMMMMMHHHHH !!! »
Il ignore mes couinements et continue. Soudain son portable sonne. Il regarde l’écran et fait :
« Ah putain, mais qu’est-ce qu’elle veut celle-là encore ».
Il décroche et fait :
« Allô. Bonjour Marie comment allez vous ?....Oui tout va bien, toujours bien, dites moi… »
La personne qui l’a appelé se nomme Marie ? non ce ne serait pas… ??
« Quoi le paiement…mais je viens au centre que dans une semaine, il y a pas le feu….Quoi ?...Oui je sais que c’est le règlement mais pas besoin d’en faire tout un plat…. »
Une personne du Centre !! Marie c’était le faux nom que Alicia Duca m’avait annoncé lorsqu’elle était venu chez moi !! ça ne peut être qu’elle. Leur conversation continue, attachée bâillonnée, je ne peux qu’écouter :
« Eh en plus je vous ai rendu service aujourd’hui, j’avais une journaliste qui voulais me faire coffré et obtenir des infos de moi pour que la police ferme le centre….Quoi….Mais qu’est ce que ça peut f…bon d’accord elle s’appelle Nina, Nina Averine…..Quoi ?? Non je vous dit je l’ai pas laissé partir, je l’ai emmenée de force à mon chalet….Quoi…..A Chamonix…putain chemin de la brebis 23, bon vous voulez aussi un point GPS ou quoi ??...Mais je vous dit qu’elle est en ce moment attachée et bâillonnée chez moi !!! Mais non on va pas partir avant lundi…Bon et pour le paiement….ah…d’accord….oui je ferai le virement la semaine prochaine….Marie, allo…Allo !! Putain elle a raccroché, c’est quoi son problème à celle-là !! »
Oh non, c’est pas vrai, Alicia va venir, elle va vouloir me ramener à Yvan !!Elle sera surement là d’ici demain. Il faut à tout prix que je trouve un moyen de m’échapper !! Même si j’ignore encore comment…
Puis Théodore fait à Henry :
« Putain il sont vraiment à la masse au centre. Il faut que j’aille acheter des bières. Tu restes là avec la fille, surtout sous aucun prétexte tu ne lui enlève son bâillon, c’est compris !! »
« Oui, j’ai bien compris, elle reste bâillonnée et attachée !! » réplique Henry.
« Bon c’est bien, elle à toi autrement, tant qu’elle reste ligotée et bâillonnée tu fais ce que tu veux !! Fais toi plaisir, c’est rare une aussi jolie fille !! »
Puis il quitte le chalet. Aussitôt je crie de toute mes forces :
« GGMMMHHHHH !!!MMMMMHHHH !!!GGGMGMMMMHHHH !!!! »
« Nina, je…je…je peux pas enlever votre baillon !! Vous avez entendu Théodore !! »
« GGGGGGGGGMMMMMMMMMMMMMMHHHH !!!!!!!!!!!!! »
« Bon d’accord, d’accord clamez-vous, je vous l’enlève… » il ôte le scotch, je lui répond immédiatement :
« Henry il faut que vous me libériez tout de suite »
« Nina je… »
« Non écoutez-moi Henry » je lui fait en le coupant « Cette fille Marie du Centre, elle se nomme en réalité Alicia Duca, c’est elle qui m’a emprisonnée au Centre. Maintenant qu’elle sait que je suis là elle va revenir me chercher, elle va me renfermer au centre….qui sais peut-être même me tuer..je ne veux pas mourir » je termine en pleurant.
« D’accord, d’accord, je vais vous détachez Nina !! » réplique Henry. Il commence à défaire mes liens aux poignets…..voilà mes mains sont libres je lui fait :
« Merci, merci infiniment, vous êtes quelqu’un de bien, vous n’êtes pas comme ce monstre » je fais en détachant la corde enlaçant mon corps à la chaise, il me répond en détachant mes chevilles :
« Nina je suis désolé, désolé !! J’aurais dû vous écouter depuis le début, c’est allez trop loin !!Je suis pas comme Théodore, j’aurais dû lui tenir tête !!! »
Mes chevilles sont libres, mon corps est détaché du dossier. Je détache instantanément mes jambes au-dessus des genoux alors que Henry détache la corde se trouvant sous mes genoux, je lui dit :
« Quand j’étais là-bas, à ce centre !! C’était horrible !!!C’est l’enfer !!! »
« Jamais j’aurais dû allé là-bas » réplique Henry « je ferais tout ce que je pourrais pour vous aider à fermer cet établissement et arrêter ses responsables !! » mes liens sont tous défaits je suis totalement libérée.
« Il faut faire vite, Théodore ne va pas tarder !!! » réplique Henry. Nous descendons au parking je lui fais :
« Comment s’enfuir sans voiture ? »
« Il y a un train pas très loin d’ici on peut y aller à pied » Nous nous apprêtons à prendre la porte, mais la porte s’ouvre Théodore vient d’entrer avec la voiture, il descend et crie :
« MAIS C’EST PAS VRAI T’ES DEVENU CINGLE HENRY !! JE BAILLONNE ENCORE CETTE SALOPE POUR PAS QU’ELLE TE MANIPULE ET TOI T’ES ASSEZ CON POUR LA LIBERER !! T’ES VRAIMENT IRRECUPERABLE !!! »
« C’est fini maintenant Théodore, je suis plus avec toi, je veux plus être un violeur !!! »
« Enculé de traitre » s’écrie Théodore qui s’acharne sur lui, les deux hommes se battent. Vois les clés de la voiture tomber au sol, je les ramasse discrètement et je me dirige vers la voiture. J’entre à l’intérieur, et referme la porte. Soudain je vois dans le rétroviseur Théodore frapper brutalement Henry sur la tête avec un bouteille, Henry s’écroule au sol et semble inconscient. Je démarre la voiture, Théodore crie :
« Saloooope, sors de là tout de suite !!! Attends un peu».
Je mets plein gaz , la voiture avance brusquement, en quelques secondes je m’approche de la sortie, je suis tirée d’affaire !!
Soudain la sortie du parking se referme, je n’ai pas le temps de freiner…
BOOOOM !!! La voiture percute violemment la porte et est pliée à l’avant, je n’ai pas été blessée, les airbags m’en ont empêché. En fait je suis presque coincée sur le siège. Soudain, la porte s’ouvre Théodore me sort de la voiture et me fait !!
« Jamais deux sans trois, salope, tu y étais presque hein, mais c’était ta dernière fois, maintenant je te jure que tu n’iras nulle part !!! », Je crie :
« Non lâche moi !!Tu n’as pas le droit de m’enlevée, je suis pas ton jouet, non arrête !! »
« Amène toi, et ne résiste pas ou je te traine salope !!! » me fait Théodore.
Il m’emmène de force, m’enlaçant de ses deux bras et me tenant mes poignets de ses deux mains. Pendant que nous avançons je lui crie :
« T’es un malade Théodore, t’es complètement cinglé !!! Au secours A L’AIIIIDE !!!»
« C’est ça gueule, personne peut t’entendre de toute façon salope !! »
Nous arrivons près de l’escalier, Henry est toujours à terre, inconscient, Theodore me fait :
« Henry viendra plus jouer les samaritain !! »
Nous remontons l’escalier et sommes à nouveau dans la pièce principale. Théodore me fait :
« Tourne toi et croise tes mains dans le dos maintenant !!! »
J’obéis, mes mains sont dans le dos. Il prend une grande respiration et commence à enlacer mes poignets en me disant :
« Aaaahh !! Tu m’en auras fait vu de toutes les couleurs toi !! Mais tu resteras MA prisonnière Nina !! »
Il serre le nœud. Mes mains sont attachées derrière le dos, croisées. Il s’empresse de prendre le rouleau de scotch et en colle deux morceaux sur ma bouche me voilà à nouveau baillonnée !!
« Et voilà, ceux là vont rester sur ta bouche cette fois !!! »
Il prend une autre corde et commence à attacher mes bras, passant la corde autour de mes bras et mon corps, en même temps il me fait :
« Pi au fait !! Oui je suis un malade !! ça m’excite de faire ça !!!Je prends carrément mon pieds en attachant une fille !!! ça me donne encore plus de plaisir que de baiser !!! »
Il serre le nœud. Puis il me jette sur le fauteuil, je suis assises pendant qu’il s’empresse d’attacher mes chevilles et me faisant :
« Tu sais au centre !! C’est un des trucs super, on a le droit d’attacher les filles comme on le veut !! Je les violais même pas toute le temps !! Tout ce qui m’intéressait c’était de les attacher bordel !!! »
Puis mes chevilles sont à nouveau ligotées. Il termine en ligotant mes jambes au-dessus de mes genoux en me disant :
« Oh elle sont sacrément jolie au centre !!C’était une sacrée extase, mais toi Nina !! T’es de loin la plus canon !! Dès que je t’ai vue à ma porte j’étais….vow, qu’est-ce que t’es belle !! Et quand j’ai su que tu voulais me remettre au flic que j’avais un motif pour t’attacher…là c’était vraiment l’extase !!! »
Il serre le nœud, me voilà ligotée au poignets à l’arrière, aux bras, aux jambes et aux chevilles, et je suis bâillonnée par ce scotch. Le corde sont de nouveau bien serrées. Il me fait :
« Ouais, et à chaque fois que tu tentais de t’enfuir, j’avais une de ces frousses !!!Là encore, j’ai vraiment cru que tu allais filer !!! Mais je t’ai recapturé, et ça, ça me file un de ces orgasmes !!! »
Puis il baisse son pantalon, il bande comme jamais !! Il enlève son slip et se met à se masturber en me regardant :
« Ahhh,Ouiii,Ouiiiii attachée, bâillonnée…… !!!!!!!!! OOOHH OUIIIIII !!!!!!»
Puis le voilà qui éjacule, juste sous mes yeux !!! ça sort comme jamais !!! Il s’essuie, puis renfile son slip. Il commence à me porter puis me fait :
« Allez ma jolie, tu vas dormir dans ma chambre avec moi !!»
« GGGGMMMMHHHH !!!MMMMMMMHHHH !!! » je peux pas prononcer un mot. Il me porte dans sa chambre, me dépose sur le lit, il ferme la porte à clé, il n’y a aucun objet coupant dans sa chambre, il me pose sur son lit double, il se couche à côté de moi et commence à s’endormir. Je suis ligotée, bâillonnée, tout près de mon ravisseur et pourtant incapable de faire quoi que ce soit si ce n’est qu’attendre !! Qu’est ce que la suite me réserve !!!??

A SUIVRE, ENCORE!!!

nonobound
Squatteur(se) de JdL
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Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire
Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

toujours aussi intéressantes tes histoires, j'adore :)

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Mad Hatter
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Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

Une très belle demoiselle en détresse qui va servir de doudou à son geolier :sifflote: .
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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