[LIVE] Les Vénus préhistoriques : du Paléolithique à nos jours (RAN 2020) Alors en effet il semble que depuis très longtemps et sans interruption que le sexe féminin ait fait l'objet de représentation pour le plaisir de ces messieurs, un peu comme si des extaterrestre tombait sur des vestiges archéologiques et tombaient sur une collection pornographique, il pourrait être tenté au premier abord de dire que l'on vénérait la Femme, était respectueux qu'elle était spérieure aux mâles humains.
Bon ensuite avec le porno dominant qui présente la femme comme un produit pour les hommes, qui jamais ne dit non et lorsqu'elle dit non tout le jeu consiste à la violer. DIre qu'avec la diffusion du porno aux mineures, ça n'influe pas les pratiques sexuels et les relations amoureuses, ne pousse pas les filles à se mettre en tête qu'il serait "normal" de se faire bailloner et malmener, coucou le Bdsm.
[inspiré par la lecture de
PornLand de Gail Dines
Selon plusieurs enquêtes menées ces dernières années, aujourd’hui, dès l’âge de 11 ans, 95% des enfants ont déjà été exposés à des images pornographiques. Certains ont à peine six ans lorsqu’ils en visionnent pour la première fois ! Avec Internet et les smartphones, il n’est pas étonnant que les jeunes consomment de plus en plus de porno, de plus en plus tôt.
En vue d’alimenter cette consommation, d’alimenter le marché qu’ils ont créé, qui repose en grande partie sur une excitation et une stimulation croissantes, les producteurs de porno cherchent inlassablement et inexorablement à le rendre toujours plus dur, violent, dégradant, sexiste ou raciste. Ainsi, au fil des ans, à mesure qu’elle se fondait dans la culture pop et qu’elle changeait de forme, c’est l’ensemble de notre société que la pornographie a changé, avec des conséquences pour le moins désastreuses.
Dans cette investigation incisive, Gail Dines examine le processus ayant permis au porno de s’immiscer dans la sphère grand public, son contenu et les conséquences de son expansion. En montrant comment et combien le porno dégrade et mutile les femmes qu’il exploite, nous désensibilise, nuit à notre sexualité et à nos relations sociales, Gail Dines expose indéniablement son omniprésence désormais banale comme un problème de santé publique majeur que nous ne pouvons nous permettre d’ignorer.
et des émission d'arretsurimages
https://www.arretsurimages.net/emission ... s-du-porno Sommé de prendre des initiatives concrètes pour combattre les violences faites aux femmes, Emmanuel macron a répondu, le 25 novembre, en ciblant le porno, qui aurait franchi la porte des établissements scolaires. Le porno est-il un suspect habituel de ce type de débat, ou bien sa banalisation, son accès facilité sur internet influent-ils vraiment sur les violences faites aux femmes? Pour répondre : Stephen des Aulnois, rédacteur en chef et fondateur du Tag Parfait, magazine en ligne de "culture porn", Fatima Benomar, féministe membre des Effronté.e.s et signataire de l'appel à Macron dans Le Parisien pour un plan d'urgence au sujet des violences sexuelles, et Marc Rees, rédacteur en chef de NextINpact.
Le porno en ligne, gratuit et abondant, exerce-t-il une véritable dictature sur les comportements et les représentations sexuelles ? Doit-on au porno en ligne la fellation quasi-obligatoire dès le collège ou encore l'épilation du maillot totale pour les femmes ? Un autre porno est-il possible ? Telles sont quelques-unes des questions posées par le documentaire diffusé cette semaine sur France 2, intitulé A quoi rêvent les jeunes filles. Avec nous pour en parler : Ovidie, auteure de ce documentaire, ancienne actrice porno, écrivain et réalisatrice; Clarence Edgard-Rosa, journaliste à Causette et blogueuse pour Poulet Rotique et Ariane Picoche, journaliste au Tag Parfait.
https://www.arretsurimages.net/emission ... o-du-porno